Japon : Les pratiquants continuent à protester contre le camp de concentration de Sujiatun

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Une grève de la faim en signe de protestation devant le consulat chinois à Fukuoka

Les mots inscrits sur la bannière : Condamner le camp de concentration du PCC à Shenyang qui prélève des organes sur des pratiquants vivants et qui brûlent leurs restes humains. Condamner la violence des espions du PCC en outremer.

Dénoncer les atrocités du PCC dans le camp de concentration de Sujiatun devant le Parlement japonais

Dans l'après-midi du 23 mars, l'Association de Falun Dafa du Japon a tenu une conférence de presse devant le Parlement japonais afin de dénoncer les atrocités du PCC dans le camp de concentration de Sujiatun. Plus tard, les pratiquants ont remis une lettre de pétition au Premier Ministre japonais, Junichiro Koizumi, et ont lancé un appel au gouvernement japonais afin qu'il aide à faire cesser la persécution, à sauver les pratiquants illégalement emprisonnés à Sujiatun et à protester contre la brutalité barbare du PCC.


Un pratiquant lance un appel urgent pour sauver les pratiquants de Falun Gong dans le camp de la mort

Les pratiquants de Falun Gong ont déployé de grandes bannières devant le Parlement japonais et ont installé une grande photo montrant le corps d'un pratiquant qui a été torturé à mort. La photo montrait que ses organes internes avaient été retirés et qu'il y avait des trous et des cicatrices méconnaissables sur son corps. Les pratiquants ont distribué des lettres de pétition, des articles spéciaux sur le camp de concentration de Sujiatun ainsi que d'autres prospectus au personnel du Parlement, aux gens venant pour des réunions, à la police et aux passants.

Lors de la conférence de presse, un pratiquant a lancé un appel pour aider à sauver les pratiquants dans le camp de la mort. Il a dit que le PCC a établi le camp de concentration secret de Sujiatun et qu'il y a emprisonné plus de 6000 pratiquants de Falun Gong. Trois quarts d'entre eux ont été tués et leurs organes ont été prélevés alors qu'ils étaient encore vivants. Leurs restes humains ont été incinérés afin de détruire les preuves. Il a lancé un appel aux représentants du Parlement pour qu'ils prêtent une attention urgente à la survie des milliers de pratiquants qui sont emprisonnés à Sujiatun.


Une pratiquante est interviewée par un journaliste


Une grève de la faim en signe de protestation devant le consulat chinois à Fukuoka

Le 20 mars, plus de 20 pratiquants d'Hiroshima et de Fukuoka se sont rassemblés devant le consulat chinois et ont entamé une grève de la faim en signe de protestation contre les atrocités commises par le PCC à l'intérieur du camp de concentration de Sujiatun. Les pratiquants se sont exprimés à haute voix devant le consulat afin de dénoncer la brutalité fasciste du PCC au camp de concentration de Sujiatun. Au jour d'aujourd'hui, plus de neuf millions de chinois ont démissionné du PCC et les pratiquants souhaitent que les fonctionnaires du consulat comprennent les faits et quittent le PCC dès que possible afin de rétablir leur propre conscience.

Durant la manifestation, beaucoup de japonais se sont arrêtés pour apprendre les faits. Un japonais très gentil a écouté les explications d'un pratiquant et s'est montré solidaire des pratiquants de Falun Gong persécutés en Chine. Il a voulu prendre des photos de la manifestation pour les publier sur des sites Internet au Japon afin que davantage de gens apprennent les faits.

A cause du son fort sortant du haut-parleur, un policier japonais s'est approché et a dit que cela pouvait perturber les résidents voisins. Après avoir appris les atrocités du PCC, il n'a plus fait mention du volume. Un résident voisin, en entendant la protestation des pratiquants, s'est également approché. Il a dit qu'il se joindrait à la manifestation la prochaine fois.

Les mots d'un journaliste japonais

Lorsque les pratiquants expliquaient les faits aux médias japonais et dénonçaient la sauvagerie du camp de concentration de Sujiatun, un journaliste a levé sa tête et a dit: "Alors, c'est cela." Il a poursuivi: "Il n'est pas étonnant que dernièrement autant de japonais se soient rendus en Chine pour recevoir des organes transplantés. Les médias japonais ne comprennent pourquoi il y a tant d'organes humains disponibles en Chine pour les étrangers. Maintenant, j'en connais la raison.

Traduit de l'anglais :
http://www.clearharmony.net/articles/200603/32167p.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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