La lettre suivante a été écrite par une pratiquante dans la prison pour femmes de Jinan dans la province de Shandong. Elle a pu passer de nombreuses couches de blocages et a pu sortir avec beaucoup de difficulté. La lettre expose la violence du parti communiste pervers et de son régime. Nous avons rendu la lettre publique dans l’espoir que davantage de gens dans le monde se joignent aux efforts pour s'opposer la persécution et mettre fin à la violence contre les pratiquants en Chine.
Voici cette lettre inachevée écrite en prison :
Une fois je vous ai dit que la situation ici s’était améliorée. Nous finissions de travailler à 20 heures chaque jour et nous avions une pause le dimanche. En fait, cette règle n'a été appliquée qu'une semaine. J’ai entendu que nous avions cette réglementation de courte durée à cause de la dénonciation du règlement de la prison par un journal de Hong Kong. Le journal a rapporté que nous travaillions de longues heures dans de misérables conditions de vie et que nous étions persécutés. La perversité a peur d’être exposée.
Ils ont essayé toutes sortes de choses contre les pratiquants ces dernières années. Tous les pratiquants arrêtés avant 2002 ont tous été électrocutés. A présent, ils ne permettent plus l’utilisation des bâtons électriques. Une fois que les pratiquants entrent en prison, ils sont détenus d’abord dans la division d’exécution et on les force à écrire " quatre déclarations " pour abandonner le pratique et diffamer Dafa. Si ils refusent, ils sont privés de sommeil et d’utiliser les toilettes. L’alimentation est également restreinte. Ils sont forcés à s’accroupir, à se tenir debout pendant longtemps ou sont placés en cellules d'isolement . Les gardes et les prisonniers armés de matraques se relaient pour surveiller les pratiquants. Lorsque les pratiquants bougent un petit peu, ils sont battus. Un pratiquant de Dafa a une fois été forcé à s’accroupir pendant plus de 40 jours et il ne pouvait plus se tenir debout après ça. La sévérité de la torture et des coups va au delà de la description. Certains pratiquants ont été forcés d’écrire les "quatre déclarations" et d'autres ont perdu conscience plusieurs fois. Chaque pratiquant a été torturé de cette façon.
La persécution continue ici. Les pratiquants sont obligés de rester dans des cellules d'isolement et on les force à manger s'ils font la grève de la faim. Les pratiquants sont battus et on leur déchire leurs vêtements. L’été 2005, des voyous ont complètement déshabillé un pratiquant et ils l’ont battu sévèrement toute la journée, juste parce qu’il refusait d’être
Depuis que la prison pour femmes de Shandong a été établie en 1997, beaucoup de mauvaises actions ont été commises. Nous sommes forcées de travailler plus de 15 heures par jour—parfois toute la nuit ou même deux ou trois jours d’affilée sans dormir. La police demande aux prisonniers de nous surveiller 24 heures sur 24 et elle ne nous permet pas de dire un seul mot. La torture mentale est severe. Mlle. Liu Zhimei, une pratiquante de 26 ans de l’université de Tsinghua a été persécutée de cette façon jusqu’à ce qu’elle développe un problème mental.
Ci-dessus sont les expériences personnelles de certains pratiquants de la prison pour femmes de Jinan dans la province de Shandong.
date de l'article original : 2/24/2006
Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2006/2/9/120420.html
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