Il y avait un directeur commercial qui avait un critère moral élevé. Il ne ratait aucune occasion de faire une bonne action et d’aider ses employés. Il expliquait souvent, " Quand j’aurais pris ma retraite à l’avenir, j’espère que les gens me loueront, et ne me critiqueront pas, lorsqu’ils se rappelleront de moi. "
Le Falun Gong enseigne aux gens à être bons, profitant aux personnes à la fois mentalement et physiquement ainsi qu’ à la société. À l'origine, le Falun Gong était bien accueilli par tous, en Chine et à l’étranger. Pourtant lorsque le Falun Gong et ses pratiquants ont été brutalement persécutés à un degré sans précédent, la plupart des gens s’en sont simplement tenus à l’écart. Certains se sont même rangés du côté des persécuteurs en raison de la pression et des mensonges fabriqués. Ils ont abandonné leur droiture et moralité. Cependant, ce directeur n’a jamais changé son critère de conduite ; il a à maintes reprises sauvé les pratiquants de Falun Dafa de son unité du Bureau de la sécurité publique.
Un pratiquant avait été illégalement arrêté plusieurs fois, et a été condamné à la " rééducation" par les travaux forcés. Lors d’une arrestation effectuée par le Bureau 6101, il est tombé et a été gravement blessé. A cette période, le directeur mentionné plus haut a été nommé chef de l’unité de travail de ce pratiquant. Lorsque ce dernier a rencontré le nouveau directeur lors de sa libération, celui-ci lui a dit : "Je vous cherchais ! " Puis il a dit, " Si j’avais été là lorsqu’ils vous ont arrêté la dernière fois, je serais allé au Bureau de Sécurité Publique afin de négocier avec eux, parce qu’avant qu’ils n’arrêtent quiconque de notre société, ils doivent d’abord nous en informer. "
Ce directeur agissait selon ses paroles. Quand un autre pratiquant de Falun Dafa de son unité fut arrêté sans aucune garantie juridique, il est personnellement allé à la station de police pour protester. Après toute une journée d’effort, il a finalement récupéré son employé, et demandé à tous les pratiquants d’être prudent.
Un jour en août 2005, la police a bloqué la porte d’entrée du pratiquant après qu’il soit rentré chez lui du travail. Ils ont essayé de l’arrêter et de l’emmener au Bureau de l’agence de la sécurité publique. Le pratiquant et sa famille ont essayé de raisonner la police, et ont demandé de contacter son patron. Dès que le patron a reçu le coup de fil, il a arrêté de manger, s’est précipité chez le pratiquant, et a suivi la police jusqu’au bureau de l’agence. Quand il a appris que la police essayait de s’arranger avec le camp de travail pour envoyer le pratiquant au camp, il s’est précipité chez lui et a contacté des amis qui entretenaient de bonnes relations avec le chef du bureau de la sécurité publique de la ville, et a commencé à travailler avec eux afin d’inverser la décision. Lorsqu’on lui a dit que la police essayait d’effectuer une fouille chez le pratiquant pour rassembler des preuves, il a immédiatement averti la famille du pratiquant et tout fait afin de sauver le pratiquant.
Après que les employés de l’unité de travail et les résidents locaux ont été tenus au courant des efforts du directeur, ils l’ont félicité de tout cœur. C’était totalement différent de l’ancien directeur, qui travaillait avec le Bureau 610 pour arrêter les pratiquants.
En novembre 2005, la police a rendu visite au directeur , sous prétexte d’une visite amicale. Pendant ce temps, ils ont arrêté le pratiquant en question et ont à nouveau essayé de l’envoyer dans un camp de travail. Le directeur a conduit jusqu’au bureau de la Branche de la sécurité publique et parlé avec le chef, mais en vain. Il est retourné à l’unité de travail et a contacté la haute direction, poussant son patron à parler personnellement au chef du Bureau. Une fois de plus, ils n’ont obtenu aucun résultat. Finalement, il est allé avec la police jusqu’au camp de travail qui se situait loin d’ici, et a parlé au chef du camp de travail en personne. Ses actions ont inspiré la police à aider faire libérer le pratiquant. La police a dit au pratiquant : " Nous avons vraiment été touchés par votre directeur, c’est la raison pour laquelle nous vous aidons. » Le directeur n’a même pas fini son déjeuner, et n’a pas dîné avant 10 heures du soir. Pendant le dîner il a dit à la police, "Tout comme le pratiquant nous a dit, peu importe qui fait de bonnes actions ; nous faisons tous de bonnes actions afin d’accumuler de la vertu. En tant que directeur, c’était un honneur de protéger mon employé. Célébrons le retour de ce pratiquant demain par une fête ! "
Le pratiquant de Falun Dafa a été libéré et au dîner de célébration le manager a dit, "Auparavant, vous (la police) avez nuit au Falun Gong." La police a répondu : " Nous sommes heureux de l’avoir récupéré en bon état. Nous arrêtons des gens, mais nous sommes plus heureux d’en libérer. "
Les actions honorables de ce directeur ne recevront pas uniquement l’éloges des gens. Il a sauvegardé les valeurs de la droiture et de la bonté. La magnificence de Falun Dafa lui apportera prospérité et bien-être le jour où la vérité sera finalement dévoilée et où les nuages sombres se dissiperont.
Note:
Le Bureau 610 est un organisme spécialement crée pour persécuter le Falun Gong, avec le pouvoir absolu au-dessus de tous les niveaux de l’administration du Parti et tous les autres systèmes politiques et judiciaires.
Version anglaise :
http://en.clearharmony.net/articles/200512/30641.html
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