Les autorités de l’ "Ecole du système legal" dans le district de Qiaodong, agglomération de Zhangjiakou torturent cruellement les pratiquants de Falun Gong

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L’Ecole du Système Légal du district de Qiaodong, agglomeration de Zhangjiakou, province de Hebei, est en fait un centre de lavage de cerveau. Là bas, les fonctionnaires parmi lesquels Liu Xiaolong, Jia Liyun, Wang Runcheng et d’autres torturent cruellement les pratiquants de Falun Gong qui y sont détenus.

M. Liu Jianjun, pratiquant de Dafa, a été deux fois à l’article de la mort, et la pratiquante mme Zhao Xiaolu a été torturée au point d’avoir des lésions cérébrales. Elle a perdu la vision de l’œil gauche et les muscles de ses jambes se sont atrophiés. Elle n’a pas récupéré. A ce jour, elle trébuche encore en parlant. Le matin du 11 mai 2002, quatre officiers du Poste de police de rue de Gongye ont illégalement arrêté la pratiquante Mme Li Hong chez elle. Ils l’ont emmenée au Centre de lavage de cerveau du district de Qiaodong, où elle été totalement privée de sa liberté personnelle pendant 32 mois et violemment torturée. Elle ne pouvait ni rencontrer ni prendre soin de sa famille. Wang Rucheng, le chef du centre de lavage de cerveau a menacé la pratiquante Wang Zhong en disant « Si tu essaies de t’échapper, je t’abats ! »

La pratiquante de Dafa Mme. Li Hong a été détenue pendant près de trois ans au centre de lavage de cerveau

Mme li Hong, pratiquante de 38 ans, a été témoin de l’amélioration de la santé et du caractère des ses mais après qu’ils aient entrepris la pratique de Falun Dafa. Son mari, M. Miao Chuangzheng, a cessé de boire et renoncé au jeu après avoir commencé à pratiqué, il travaillait dur et se disciplinait lui-même. Elle a rejoint son mari dans la pratique de Dafa. Elle avait souffert d’une sérieuse hyperplasie de la poitrine et en conséquence ne pouvait plus lever les bras. Elle avait consulté des experts médicaux à l’hôpital pour cancéreux de Pékin qui lui avait dit qu’elle devait se faire enlever un sein si elle ne voulait pas développer un cancer. Après trois mois de pratique de Dafa, la tumeur avait diminué et complètement disparu six mois plus tard.

Après que la persécution ait commencé, Mme Li et son mari M. Miao ainsi que le pratiquant Jiang Chunmeil se rendirent à Pékin le 6 octobre 2000 afin de dire aux gens que « Falun Dafa est grand » Ils déployèrent une banderole d’environ quatre mètres de long avec le message « Falun Dafa est la Loi juste » sur la place Tiananmen. Des officiers en civil du Poste de police de la rue Gongye envoyèrent Mme Li au Centre de détention de Shisanli et l’y détinrent pendant treize jours. Les autorités extorquèrent de l’argent à son père avant de la relâcher. Il donna l’argent afin qu’elle puisse revenir et prendre soin de son enfant, qui avait besoin d’elle.

Vers la fin août 2001, des fonctionnaires du Comité du Parti de la rue Gongye forcèrent Mme Li a aller dans un centre de lavage de cerveau financé par la Comité du Parti de la rue Gongye sur une base quotidienne. Un jour on lui dit qu’elle ne serait pas autorisée à retourner chez elle le jour suivant si elle refusait encore de renoncer à sa croyance en Falun Gong. Pour éviter davantage de persécution, Mme Li partit de chez elle avec son fils de sept ans. Huit mois plus tard, le 10 mai 2002, elle revint dans la ville de Zhangjiakou et allait enregistrer son fils pour l’école. Le matin suivant, trois officiers du Poste de police de la rue Gongjie l’enlevèrent de chez elle avec son fils et les emmenèrent au Centre de lavage de cerveau de Jijiafang. Trois jours plus tard, la police envoya son fils chez sa grand-mère. Il tomba gravement malade et eut une forte fièvre pendant trois jours, traumatisée il était au seuil de la mort. Le père de Mme Li dévasté par la détention de sa fille et de son petit fils perdit l’audition de ses deux oreilles.

Le fils de Mme Li fut envoyé d’un foyer à un autre pendant la detention de sa mère et son père fut détenu dans un camp de travail. Il resta un an sans pouvoir aller à l’école. Après ses neuf ans, sa famille dépensa une grosse somme d’argent et l’enregistra en première année dans une école proche de chez sa grand mère. Des officiers du Bureau de la rue Gongye le harcelaient souvent à l’école exerçaient des pressions sur lui pour faire renoncer sa mère au Falun Gong. Effrayé et traumatisé il devint irritable et asocial en résultat du harcèlement.

Mme Li Hong fut détenue à Jijiafang et à Gaomiao : elle fut détenue en confinement solitaire au Centre de lavage de cerveau de Qiaodong. Les autorités payèrent deux personnes pour la surveiller 24 heures sur 24. Chaque jour, ils lui faisaient regarder des vidéos qui calomniaient Falun Dafa. Souvent elle ne pouvait dormir que deux heures par jour. Lorsqu’elle fermait les yeux, les gardes la choquaient à la matraque électrique, lui enfonçaient les doigts dans ses yeux ou la pinçaient. Bientôt, ses jambes et ses pieds enflèrent et elle avait des difficultés à marcher. Elle développa des lésions oculaires et cérébrales. Les fonctionnaires ne lui donnaient pas suffisamment à manger. Deux des personnes assignées à sa surveillance lui volèrent la moitié du peu d’argent qui lui était alloué pour se nourrir chaque mois. Mme Li ne recevait que 3,5 ounces deux fois par jour dans le moindre légume sans parler de viande, et les visites de sa famille lui furent refusées.

Mme Li fit plusieurs grèves de la faim pour protester contre la persécution et sa famille endura aussi une immense pression et angoisse. Les fonctionnaires du Bureau judiciaire de Qiaodong établirent un centre de lavage de cerveau en violation de la Loi et y détinrent de nombreux pratiquants. Jamais ils ne présentèrent un mandat d’arrestation et il n’y avait aucune limite à l’incarcération. Tous les droits des pratiquants leur furent enlevés, et tous les pratiquants furent physiquement torturés et mentalement tourmentés au centre de lavage de cerveau. Le père de Mme Li se rendit au centre de lavage de cerveau et demanda sa libération. Les fonctionnaires du centre le forcèrent à écrire une déclaration de garantie et le menacèrent de diminuer sa pension. Le mari de Mme Li fut licencié de son emploi et sa famille n’avait pas même 3000 yuan. Les autorités ne relâchèrent donc pas Mme li avant la fin de janvier 2005.

Le 7 novembre 2004, le fils de Mme Li Miao Sen rentrait chez lui lorsqu’un policier en civil sur une motocyclette et portant des lunettes noires l’attrapa et l’interrogea à répétition sur l’endroit où se trouvait son père, il essaya d’arrêter l’enfant. Le camarade de classe de Miao Sen alla chercher son père et le père empêcha l’officier d’emmener Miao Sen.

(à suivre)

Version chinoise :
http://minghui.ca/mh/articles/2005/11/14/114531.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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