M. Xu Jishan | M. Xu Jishan et son fils |
Plaignant: Un ami de M. Xu Jishan pratiquant de la ville de Daqing
Raison: Intenter un procès contre la Prison de Daqing où Xu Jishan a été torturé à mort
Résultats désirés en intentant ce procès :
1. Réparation par ceux qui sont responsables de la mort du pratiquant M. Xu Jinshan, comprenant le Chef de la prison de Daqing, Tang Yongfu, le Chef adjoint de la prison Wang Jingjie, et Jiang Shucheng. Parmi les autres prévenus : Guo Chuntang et Wang Depo du
2. Restaurer la réputation du pratiquant M. Xu Jishan et fournir ample compensation pour la souffrance causée par la persécution.
3. Relâcher tous les pratiquants détenus. Restaurer la réputation de tous les pratiquants et leur donner compensation pour les souffrances causées par la persécution.
Details :
1. Comment M. Xu Jishan est mort de la persécution
M. Xu Jishan, 41 ans était employé de l’ancien atelier de l’usine de construction et de réparation de machines affilié à la Compagnie calorifère, Entreprise de Construction de l’Usine pétrolifère et chimique de la ville Daqing dans la province de Heilongjiang. Parce qu’il ne renonçait pas à Falun Dafa, il fut licencié. En mars 2004, M. Xu fut arrêté et détenu dans le Centre de détention Longfeng dans la ville de Daqin pour avoir distribué des documents liés au Falun Gong. Il fut condamné à trois ans de prison et détenu dans la Septième division de la Prison de Hongweixing dans la ville de Daqing.
Le 10 mai 2005, dans la douzième section de la Septième division, un policier, Directeur de l’Education, Zhang Dezhi, le détenu criminel Li Liancai et d’autres ont conspiré contre Xu Jinshan pour lui faire écrire les cinq déclarations dénonçant le Falun Gong. Lorsque M. Xu a refusé, on ne le laissa plus dormir et le fit se tenir debout dans le corridor pendant sept jours et nuits. En conséquence, Les jambes de M. Xu devinrent si enflées qu’il ne pouvait plus se tenir debout. Ensuite ils l’attachèrent à une échelle entre des lits superposées du haut et du bas et l’arrosèrent d’eau froide. Ses vêtements d’hiver étaient trempés. Il appela à l’aide. Après huit jours, M. Xu était devenu extrêmement faible, et ses jambes restaient sérieusement enflées. Les criminels assignés à sa surveillance 24h sur 24 le battirent et le torturèrent cruellement. Chen Zhongyu était le plus vicieux. Il battait et injuriait M. Xu selon sa fantaisie.
Le 1er juin 2005, le Directeur de l’Education Zhang Dezhi annonça qu’ils allaient intensifier la pression et employer diverses méthodes de torture sur les pratiquants qui refusaient d’écrire les cinq déclarations. Tôt le matin du 7 juin, M. Xu Jishan fit le lit, nettoya la cellule, et nettoya la chambre où ils essaient de laver le cerveau des pratiquants. Il prit un bol de soupe de riz et un morceau de pain pour petit-déjeuner. Il était dans une bonne condition physique. Après le petit-déjeuner, il nettoya le crachoir dans la salle de lavage de cerveau, nettoya de nouveau la pièce puis il s’assit. Il était environ 8h40 lorsque Zhang Dezhi et les détenus criminels Li Liancai, Bo Yun et d’autres discutèrent quelles tortures utiliser pour forcer M. Xu à écrire les cinq
A 9h, le détenu Li liancai demanda aux autres criminels d’amener deux planches d’un lit au bout de la pièce. Ils attachèrent les planches en croix et déclarèrent que c’était pour M. Xu. Le détenu Wang Minglong avait une corde. Après que tout soit près, les détenus Guo Liyang, Wang Minglong, Wu Hongyan et Zhou Xiaofei demandèrent à M. Xu de venir les rejoindre. Avant 9h, Wang Minglong dit à tous les autres prisonniers dans la salle d’étude d’aller aux toilettes. Il leur dit, « Celui qui n’a va pas ne doit pas s’attendre à pouvoir aller aux toilettes avant midi. » M. Xu voulait aussi y aller, mais Wang Minglong l’en empêcha et dit : « Non, attends un moment. » Après que tous les prisonniers aient quitté la pièce, il dit à M. Xu de venir avec lui. Après 9h, ils fermèrent les portes de la salle d’étude et du corridor. Song Yulong surveillait la porte du corridor et ne laissait entrer ou sortir personne. Les criminels assignés à surveiller M. Xu 24h sur 24 surveillaient la porte de la salle d’étude. Ils étaient plus de 10 détenus et le pratiquant Zhao Yu’an enfermés de l’extérieur dans la salle d’étude. Les criminels Guangyao et Zhao Fugang le surveillait. Tous les autres détenus criminels assignés à la surveillance des pratiquants commencèrent à persécuter m. Xu.
Ils dévêtirent complètement M. Xu et l’attachèrent à la croix. Ils lui bâillonnèrent la bouche, portèrent la croix dans la salle de bain et la couchèrent par terre. Ils utilisèrent un jet d’eau noir de 11 centimètres de diamètre et d’environ 4 mètres de long pour arroser d’eau la tête et le corps de M. Xu pendant quatre heures, de 9 à 13h. A ce moment, il tremblait et pouvait à peine respirer et la douleur était insupportable. Il mordit ses lèvres et essaya d’appeler au secours.
Le policier Zhang Dezhi entra plusieurs fois dans la salle de bain pour contrôler M. Xu aux environs de 9h, 11h et 12h. M. Xu ne répondit pas. Ils ne le laissèrent pas manger son déjeuner. Le détenu LI Liancai dit : « Nous t’avons donné une chance mais tu as refusé de la prendre. A présent tu n’as plus le choix. ».
A 10h, le détenu Wang Anhui se rendit dans la chambre disciplinaire, paraissant nerveux. Il cherchait Zhang Dezhi. A ce moment, Ils sortirent M. Xu de la salle de bain et le posèrent par terre dans le corridor, à environ 4 mètres de la salle de bain. Plus tard, Yang Qinghua et les détenus Guo Liyang et Wang Anhui mirent un sous-vêtement sur la tête de M. Xu. Sa tête tombait inerte d’arrière en avant et il paraissait très mal en point. Ils tentèrent d’aider M. Xu à se lever, mais il ne répondit pas. Ils ne pouvaient pas sentir son pouls ni son souffle. Quelqu’un déclara alors que M. Xu feignait d’être mort.
Bu Yun tint sa main sous le nez de M. Xu pour contrôler son souffle. Il confirma qu’il ne respirait plus. Bu Yun ordonna aux autres de porter M. Xu sur le lit. Bu Yun, LI Liancai, Wang Anhui et Guo Liyang essayèrent de ressusciter M. Xu. Le pratiquant Zhao Yu’an arriva de la salle d’étude et essaya de s’approcher de M. Xu mais Li Liancai, Bu Yun et d’autres criminels l’en empêchèrent. Li Liancai et Bu Yun crièrent en colère : « Qui a ouvert la porte et l’a laissé entrer ? » Bu Yuan entra dans la salle d’étude pour crier après ceux qui étaient responsables et il ferma la porte personnellement. Il était 13h passées.
Le policier Zhang Dezhi, bavardait avec les autres détenus en se tenant sur les escaliers à l’extérieur de la cellule . Il entra dans la cellule et demanda aux détenus d’envoyer M. Xu à l’hôpital. Après quoi, Li Liancai et Bu Yun convoquèrent tous les criminels impliqués et ceux qui avaient surveillé les pratiquants. Ils dirent que M. Xu était mort de mort naturelle et que chacun devait se tenir à cela en évoquant sa mort. Ils placèrent aussi le pratiquant Zhao Yu’an sous étroite surveillance et refusèrent de le laisser parler ou s’approcher de quiconque. La police essaya de dissimuler la vérité de la mort de M. Xu. A environ 2h de l’après midi, il fut ramené de l’hôpital. Les détenus le mirent sur son lit, changèrent ses vêtements et le portèrent dehors.
Durant la torture de M. Xu, la porte de la salle d’étude faisait face à la salle de bain. Ceux qui étaient enfermés dans la salle d’étude jetèrent un coup d’œil depuis la porte et purent voir le bas du corps de M. Xu. Les gens remarquèrent qu’il était resté étendu par terre pendant plus de quatre heures. Le policier Zhang Dezhi est la première personne responsable de la mort de M. Xu. Les meurtrier sont Li Liancai, Guo Liyang, Wang Anhui, et Bu Yun. Les complices sont Zhou Xiaofei, Wu Hongyan, Yao Haile, Wang Minglong, et Song Yulong. Il y avait encore 17 ou 18 criminels présents.
Un témoin oculaire a dit que la bouche et le nez de M. Xu étaient ensanglantés et le coin de sa bouche avait des marques de morsure. M. Xu a été torturé à mort.
2. Comment la prison de Qaqing a dissimulé la vérité de la mort de M. Xu Jishan's.
(1) Après que Xu Jinshan a été torture à mort la nuit du 10 juin, Wang Jigjie convoqua tous ceux impliqués dans sa mort. Il leur ordonna de ne pas s’éloigner de l’explication convenue de la mort de M. Xu. Ils devaient dissimuler le crime. Le 11 juin, les fonctionnaires de la
(2) Zhang Dezhi, le Directeur de la Septième division, a ordonné aux détenus criminals d’assassiner le pratiquant Xu Jishan, et la police de la prison de Daqin sont à présent en train de contacter différents fonctionnaires en essayant de couvrir leur crime. Ils veulent que la mort de M. Xu soit enregistrée comme « une mort due à des causes naturelles. » Le 10 juin, durant une réunion de tous les prisonniers, la police a menacé que quiconque n’obéirait pas à leurs ordres et révéleraient l’information en dehors de la prison serait enfermé en cellule de confinement, et personne n’a donc osé révélé la vérité de la mort de Zhu.
(3) La Prison de Daqing essaya secrètement de faire taire la famille de Xu Jishan en leur donnant 150 000
(4) Pour détourner l’attention de la mort de M. Xu et échapper à la responsabilité, le Secrétaire du Comité du Parti communiste de la Prison de Daqing, Tang Guofu, a été transféré à un autre poste, loin de la prison de Daqing. L’ancien secrétaire du Comité du Parti communiste dans le district de Hulu a repris son poste.
(5) Le 8 juin, après que M. Xu ait été assassiné, son frère aîné n’a eu qu’un court moment pour voir le corps et était surveillé de près par le personnel de la prison. Aucun autre membre de la famille n’a été autorisé à voir le corps. Le Chef de la Septième division a dit : « Nous ne pouvons pas les laisser le voir. Et s’’ils allaient prendre des photos ? » La prison a ordonné à l’hôpital de les appeler si la famille de M. Xu voulait voir son corps. Sans permission de la prison et la présence de cadres de la prison, personne n’était autorisé à voir le corps. Le Chef de la Sécurité publique de la branche de Hulu a dit aux pratiquants : « Rentrez chez vous et dites aux autres pratiquants qu’il n’y a pas de conclusion quant à la mort de Xu Jishan. Celui qui ose investiguer sera arrêté. »
Li Lancai, le principal criminel responsable de la mort de Xu Jinshan, a dans une certaine mesure un lien avec le chef de la Septième division Li Fengjiang. Li liancai a acheté Li Fengjiang avec 10 000 yuan et est devenu le chef des criminels dans la cellule. D’après ce que nous avons appris jusque là, Li Fengjiang a ordonné à Li Liancai de tuer M. Xu.
La politique de la prison de Daqing concernant le Falun Gong
Le 11 mai 2005, le Comité du Parti communiste de la prison de Daqing a fait une réunion et décidé d’intensifier la persécution du Falun Gong. Quelqu’un a annoncé durant la réunion que la mort suite à une grève de la faim serait traitée et comptée comme une mort naturelle. Ils ont fait préparer par l’hôpital un grand nombre de tubes pour le gavage forcé des pratiquants qui faisaient une grève de la faim. Ils ont aussi ordonné que la « nourriture » soit une solution concentrée d’eau salée avec de la farine de maïs à la place de la poudre de lait. Guo Chuntang a annoncé tout en discutant de la persécution du Falun Gong : « C’est sans conséquence de persécuter quelques pratiquants à mort. » Le policier Pan Shaolin de la division des prisonniers malades a incité des criminels tout en appliquant l’instruction de Guao Chuntang en disant : « Vous pouvez battre les pratiquants à mort ! »
Li Fengjiang hurlait en persécutant M. Xu Jishan : « Incinérez le s’il refuse d’être
Ils ont pris 15 jours pour torturer M. Xu à mort. Le chef de la division des prisonniers malades a instruit les criminels à persécuter le pratiquant Cheng Peiming et a dit devant tous les détenus : « Je n’en doute pas, je peux vous faire renoncer. Vous n’avez pas peur de la mort. Je peux aussi faire ce que je veux avec la loi. La pire situation serait pour moi de quitter ce boulot. » Il a dit aussi au criminel de service de suffoquer Cen Peiming avec une corde si ce dernier allait aux toilettes, puis de le rapporter comme un suicide di Cheng mourrait. Pan Shaolin a dit aussi au criminel Zhen Yingjie que lorsqu’un pratiquants était torturé à mort, et si il n’y avait pas de témoin, que la mort pouvait être rapportée comme suicide.
La souffrance des pratiquants détenus dans la Prison de Daqing dépasse l’imagination. Le personnel de la prison suit les méthodes les plus cruelles que le Parti communiste chinois a pu trouver. En fait, des gens aux plus haut niveau contrôlent les plus bas niveaux. La prison a assigné la persécution du Falun Gong aux détenus, qui ont été assignés à surveiller les pratiquants 24h sur 24. Si un pratiquant refuse d’écrire les cinq déclarations, le criminel sera puni et n’aura pas de chance d’obtenir une réduction de peine. La police a incité les criminels à utiliser des moyens malins et cruels de torturer les pratiquants, tels que la privation de sommeil, les tremper dans de l’eau froide, les passer à tabac, les ligoter avec des cordes, leur enfoncer des aiguilles dans le corps, et les priver de l’usage des toilettes. La police prétend ne rien entendre et ne rien voir, quel que soit le crime perpétré. Tout accident sera dissimulé par la police. En avril 2003, un pratiquant de la seconde division est mort après avoir été torturé pendant une longue période. Mais la police et les criminels ont dit aux autres que la mort était due à une hémorragie cérébrale. Plus tard, le détenu dans la même cellule que le pratiquant a non intentionnellement dévoilé la vérité, que le pratiquant avait été souvent passé à tabac. Trois jours avant la mort du pratiquant, le détenu Ai l’avait battu. En décembre 2004, la police a battu le pratiquant Zhang Zhong jusqu’à la paralysie. Après avoir été hospitalisé pendant six mois, la situation de Zhang Zhong a empiré. Par la suite, Zhang Zhong a été relâché sur parole médicale. En avril 2005, le pratiquant Wang Hongde de la Troisième Division est mort. C’était 15 jours après qu’il ait été relâché sur parole médicale. Son corps était couvert de blessures. Le 7 juin 2005, le pratiquant Xu Jishan a été torturé à mort par plusieurs criminels. Le 23 juillet, le pratiquant Yuan Qingjiang a été torturé à mort par plusieurs criminels. Le 23 juillet, le pratiquant Yuan Qingjiang est mort de la torture dans cette prison.
Pourtant la prison de Daqing n’admet pas qu’il y ait de persécution du Falun Gong ; A l’intérieur de la prison, la persécution est inhumaine. Les méthodes qu’ils utilisent sur les pratiquants de Falun Gong sont méprisables et au-delà de toute description. La prison a perpétré la politique de génocide envers le Falun Gong selon les ordres des plus haut niveaux : « Ruinez leur réputations, épuisez les financièrement, et détruisez les physiquement. Personne ne sera tenu pour responsable s’ils sont battus à mort. Leurs morts seront comptées comme suicides. Incinérez les sans enquête. » Durant les trois mois depuis le 14 mai 2005, le personnel de la prison et les détenus ont tué trois pratiquants qui suivaient le principe “Vérité, Compassion, Tolérance” et qui voulaient être de bonnes personnes. Ces pratiquants étaient : Wang Hongde, male, 56 ans, employé à l’Usine de courant Xinhua dans le district Datong de la ville de Daqing, Xu Jinshan, le pratiquant dont parle cet article, et Yuan Qingjiang, male, résident dans le district Xiangfang de la ville de Harbin.
La Constitution de la Chine énonce clairement dans les Articles 35, 36 et 37 : “Les citoyens ont le droit de croyance. Les citoyens ont le droit de liberté d’expression. La liberté physique des citoyens ne peut pas être violée. Il est interdit de détenir illégalement ou de priver illégalement un citoyen de sa liberté physique ou de la limiter. » L’Article 19 du Pacte commun International déclare : « Chacun a le droit d’exprimer librement son opinion par l’intermédiaire des médias sans limites de pays et recevoir et envoyer des messages par oral, par écrit, imprimés, sous forme d’art ou d’autres formes. » Dans la « Déclaration Universelle des Droits de l’Homme » les Articles 18 et 19 déclarent « Chacun a le droit à la liberté de pensée, de conscience et de croyance religieuse. Personne ne devrait être délibérément arrêté ou détenu. »
Le Falun Gong et ses principes “Vérité, Compassion, Tolérance » fournit un standard moral aux êtres humains. Ces principes appartiennent à toutes les personnes dans le monde. Plus de 78 pays à travers le monde et plus de 100 millions de gens pratiquent le Falun Gong. Le Falun Gong a reçu des louanges et des proclamations de nombreux endroits dans le monde entier. En Chine, il n’y a pas de loi spécifique interdisant le Falun Gong. Par conséquent, tous les pratiquants détenus en prison sont persécutés.
La prison de Daqing en tant qu’entité de l’application des lois enfreint la loi. Elle ignore la Constitution, la loi pénale et la loi carcérale. Ceux qui perpétuent ces crimes, parmi lesquels, le personnel, la police et les criminels, doivent être traduits en justice
Nous continuerons l’investigation des parties et des individus responsables dans la persécution du Falun Gong.
Remis à :
La Cour Suprême du Peuple de la République populaire de Chine
La Procurature suprême de la République populaire de Chine
Le Congrès national du peuple
La Cour suprême de la province de Heilongjiang
La Procurature suprême du peuple de la province de Heilongjiang
La Cour intermédiaire du Peuple de la ville de Daqing
La Cour intermédiaire du Peuple de la procurature de la ville de Daqing
Le Congrès du peuple de la ville de Daqing
Le Syndicat des travailleurs de la ville de Daqing
CC:
Organisation Mondiale pour Enquêter sur la Persécution du Falun Gong
Organisations Internationales des Droits de l’Homme
Magistrature et Procurature des Nations Unies
Version chinoise :
http://minghui.ca/mh/articles/2005/8/8/107972.html
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