M. Guo Shijun était un pratiquant de Falun Dafa de la région administrative de Hongqi, ville de Harbin, province de Heilongjiang qui a été torturé à l’âge de 52 ans. En février 2004, les officiers de police du Département de la Sécurité Publique dans la ville de Shuangcheng l’ont enlevé pour avoir distribué des matériaux du Falun Gong
Video : M Guo Shijun, un pratiquant de Falun Dafa du comté de Hongqi, ville de Harbin, il est cruellement battu au Camp de travail forcé de Changlinzi.
M. Guo Shijun, une personne aux multiples talents, était le directeur de l’Usine de modèles de charpenterie de Guoshu et lui-même charpentier dans le comté de Hongqi, ville de Harbin, province de Heilongjiang. Il avait 52 ans lorsqu’il est décédé. Sa polyvalence était évidente dans les nombreuses capacités artisanales qu’il avait maîtrisées. Au travail, il était attentif et prêtait attention au détail.
M. Guo vivait avec sa mère âgée, sa femme et une petite fille dans une petite maison de brique avec deux chambres du côté nord d’un réservoir adossée à une colline. M. Guo mesurait 1mètres 70 et avait une forte constitution.
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| M. Guo Shijun et sa fille | M. Guo Shijun et sa famille |
En 1997, M. Guo obtint Dafa et était conscient de sa chance. Sa mère et sa femme étaient également pratiquantes. En 2000, il signa un contrat de direction d’une charpenterie et assuma la position de directeur de l’usine. Par la suite il quitta l’emploi qui ne faisait pas de profits. Toute sa famille déménagea dans le comté de Tonghe, où il créa une nouvelle entreprise de charpenterie.
Parce que M. Guo persévérait dans la
M. Guo Shijun était un pratiquant déterminé. Il persévéra dans la cultivation de Dafa et clarifait les faits de la persécution aux gens. M. Guo et sa femme étaient tous les deux pratiquants, sa femme fut arrêtée par le personnel du
M Guo fut forcé à vivre sans foyer après l’arrestation de sa femme. Sa mère prenait soin de la petite fille, et toutes les deux vivaient dans l’usine. Durant cette période de temps, les officiers de police du Bureau 610 du comté de Tonghe ne cessèrent de les surveiller sept jours d’affilée dans l’espoir d’attraper M. Guo. La mère de M. Guo fut mentalement traumatisée par la peur.
M Guo n’avait pas de moyen de secourir sa femme, aussi ramena-t-il sa famille au quatrième village de Zhengdong dans le comté de Hongqi. Le personnel du Bureau 610 du comté de Hongqi alla par deux fois harceler sa famille. La mère de Guo fut de nouveau effrayée. Elle resta longtemps alitée et décéda après qu’en traitement médical ait échoué à la guérir.
La persévérance de M. Guo dans la cultivation de Dafa et la clarification de la vérité
Après que M. Guo ait enterré sa mère, il distribua des matériaux clarifiant la vérité à beaucoup de gens et fabriqua des bannières de clarification des faits pour exposer les mensonges que le groupe de Jiang fabriquait pour diffamer le Falun Gong et tromper les gens. Il prit la responsabilité de confectionner des bannières pour quatre comtés. M. Guo fit une fois une bannière de 7 mètres de long et de 1m 50 de large avec les mots « Falun Dafa est grand ! » chaque caractère faisait 1m 80 de hauteur. La veille du Nouvel an chinois il grimpa sur une tour de transmission de 50mètres et suspendit une immense bannière au sommet. Ce fut un grand choc pour la perversité.
Le 13 février 2004, M. Guo et son ami pratiquant, Mu Xiuqing, allèrent distribuer des matériaux clarifiant la vérité au village de Dongguan, agglomération de Dongghuan. Ils furent arrêtés par la police du Département de la Sécurité publique dans la ville de Shuangcheng. Les pratiquants furent envoyés au Second centre de détention de la ville de Shuangcheng. Durant la détention, M. Guo fut soumis à une sévère torture. Par la suite ils lui donnèrent trois ans de travail forcé à purger au Camp de travail de Changlinzi, dans la ville de Haerbin.
La torture à l’électricité et la chaise de metal au Camp de travail force de Changlinzi
M. Guo fut brutalement passé à tabac par la police au Camp de travail force de Changlinzi. Il reçut des décharges électriques et fut férocement battu. Son dos vira au pourpre sombre et ses hanches s’infectèrent suite aux chocs électriques. Il fut enfermé dans une petite cellule deux fois – une fois deux jours d’affilée. L’autre fois quatre jours. Il fut privé de sommeil pendant quatre jours et quatre nuits. Dès qu’il fermait les yeux la police lui donnait des décharges avec une matraque électrique. M. Guo fut torturé si sévèrement. Ce n’est que lorsqu’il fut au bord de la mort que le personnel du Bureau 610 autorisa sa libération sur parole médicale. La police dans le centre de détention dit à Guo Shijun : « Tu dois faire de ton mieux pour ne pas mourir ici, car nous ne pouvons pas nous permettre d’en porter la responsabilité. »
M. Guo décéda huit jours après avoir été relâché. Son corps était complètement couvert de plaies et de contusions
Le 23 décembre du calendrier lunaire chinois, Guo Shijun fut renvoyé chez lui. Il était dans le coma. Il toussait malgré cela continuellement et souffrait une grande douleur. La police menaça qu’il n’était pas autorisé à révéler quoique ce soit. La police lui dit aussi : « nous viendrons te reprendre quand tu auras récupéré. »
M. Guo décéda huit jours plus tard, le jour du nouvel an chinois (le 9 février 2005) Tous les villageois savaient qu’il était en parfaite santé et n’avait aucune maladie avant son arrestation. Pourtant un an après qu’il soit arrêté et emprisonné il décéda.
Lorsque M. Guo mourut, la scène était trop tragique pour qu’on la regarde. Son dos était violet sombre et infecté et son dos et ses hanches avaient des plaies, des cicatrices et des contusions partout.
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Il est déconseillé de laisser regarder les six photos qui suivent à des mineurs.
Un homme sain au bon coeur a été torture à mort par les autorités chinoises simplement pour avoir cru en “Authenticité, Compassion, Tolérance, » et clarifié les faits aux gens. Où est l’autorité de la loi en Chine ? Où y a-t-il une justice en Chine ?
Version chinoise :
http://www.minghui.org/mh/articles/2005/3/26/97966.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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