Porter les articles du Maître* dans les camps de travail forcé

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Le désir de porter secours aux pratiquants de Falun Dafa qui sont illégalement détenus dans les camps de travail force ne me quitte pas. J’ai le souhait persistant de les libérer de la détention avec des pensées droites. A cette fin, je crois que l’ensemble des pratiquants doivent constamment émettre des pensées droites pour les aider. En 2001 alors que j’émettais des pensées droites à chaque heure, étudiant Fa (La loi de Bouddha) et pratiquant chaque jour les exercices, je pouvais sentir à chaque moment l’immense pouvoir de Fa. C’est à cette époque que j’ai fermement décidé de secourir d’autres pratiquants illégalement détenus dans les camps de travail, y compris mon mari qui avait été arrêté.

A une occasion, j’envoyais constamment des pensées droites sur mon chemin vers le camp de travail force, me disant à moi-même, « Je ne suis pas seule, Maître, d’autres pratiquants de Falun Dafa, et les Bouddhas, Divinités et Taos dans les autres dimensions me renforcent » je continuai à émettre des pensées droites éliminant le mal dans le camp de travail forcé.

Arrivée à la porte du camp, j’ai demandé aux officiers de police de service de m’autoriser à voir mon mari. Ils ont refusé, j’ai donc attendu à proximité de la porte d’entrée pendant un moment. Peu après, un homme est venu et m’a laissée entrer, j’ai donc saisi l’opportunité de me glisser dans le camp avant que la porte ne se referme. Toutefois, à ce moment précis, un officier de service a jeté un regard dans ma direction. Par chance, la pensée « Je ne veux pas qu’il me voit » m’est venue à l’esprit, et j’ai miraculeusement réussi à m’échapper sans être remarquée. Puis, j’ai couru aussi vite que je pouvais vers le bâtiment dans lequel était mon mari.

Une fois devant le bâtiment, j’ai pensé en moi-même : « Puisque je suis ici, il doit y avoir quelque chose que je peux faire.» Puis lentement j’ai monté les escaliers jusqu’au deuxième étage lorsque j’ai vu mon mari accroupi par terre. Stupéfait, il m’a demandé comment j’avais réussi à arriver jusque là. Je lui ai dit avoir utilisé les pensées droites, et lui ai rappelé de faire de même pour sortir du camp de travail forcé. Je l’ai répété trois fois pour m’assurer qu’il s’en souviendrait. Puis je lui ai remis les articles du Maître avant de redescendre. Comme je me retournais en direction du bâtiment, j’ai pu voir mon mari me regarder à travers une fenêtre.

En approchant de la porte, l’officier de police de service était surpris et m’a demandée comment j’étais entrée dans le camp. J’ai dit « Je ne sais pas, » et il m’a dit de me dépêcher de sortir du camp. J’étais très heureuse, car je savais que cela était du au pouvoir de la Loi (Fa), et que j’avais validé que les pratiquants de Falun Dafa avaient d’énormes responsabilités.

Tant que nos coeurs sont purs, sans aucune notions humaines, je crois que nous pouvons manifester le pouvoir de Fa.

* Shi fu, le plus souvent traduit par Maître. Shi signifie ‘professeur’ en chinois et Fu veut dire ‘père’. Par conséquent, Shifu se rapporte à quelqu'un qui est à la fois votre professeur et votre père. Les Chinois n'appellent pas leurs enseignants habituels Shifu. C'est un terme spécial utilisé seulement dans le domaine de la cultivation.


Version chinoise en :
http://minghui.ca/mh/articles/2005/4/29/100730.html


Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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