Depuis 2001, un pratiquant de Västergötland dans l’ouest de la Suède est allé ici et là dans les bibliothèques et les centres de santé pour éveiller les consciences sur la persécution du Falun Gong en Chine. De nombreux journaux ont aussi rapporté l’exposition.
Dans un interview avec un reporter de Clear Harmony, le pratiquant a expliqué comment il avait bénéficié de la pratique du Falun Gong et révélé ce qui lui donnait l’inspiration pour tenir ces expositions.
: Depuis combine de temps pratiquez-vous le Falun Gong?
J’ai commencé à vraiment pratiquer au printemps 2001 après avoir participé à un séance de présentation.
Le journaliste : Qu’est-ce que le Falun Gong a fait pour vous ?
Beaucoup. Je suis aujourd’hui une nouvelle personne : une très bonne santé et par-dessus tout, j’ai changé en tant qu’être humain. J’étais auparavant timide et taciturne. C’est quelque chose qui a changé. En cultivant et en vivant selon les principes de Vérité, Compassion Tolérance, on change incroyablement.
Le journaliste : Qu’est-ce qui vous a donné l”idée de tenir ces expositions ?
Pour commencer, j’ai participé à une exposition et j’ai appris. Un bon article a été publié dans le journal local. J’ai trouvé que c’était si bien que j’ai eu envie de continuer. Je voulais que davantage de gens sachent que des gens innocents sont torturés et tués en Chine.
Le journaliste : Dans quels endroits avez-vous tenu ces expositions sur le Falun Gong?
Surtout à Västra Götaland, pour commencer dans les principales bibliothèques et aussi dans quelques centres de santé. Je contacte toujours la bibliothèque personnellement. J’ai eu la chance de tenir des expositions partout où j’ai demandé ; seuls deux endroits ont refusé.
Le journaliste : Qu’est-ce que les gens pensent habituellement de ces expositions ?
La plupart des gens disent que je fais là quelque chose de bien, et qu’il n’y a pas beaucoup de gens qui de leur propre gré et bénévolement oeuvrent pour les droits de l’homme et défendent des gens à l’autre bout de la terre. Avec une telle réponse, il n’est pas difficile de continuer.
Le journaliste : Vous collectez aussi des signatures de pétition pour les droits de l’homme en Chine. Les gens signent ils ?
Oui. Je me tiens habituellement à proximité de l’exposition, ou, par exemple, à l’extérieur d’épiceries à proximité de la bibliothèque et je recueille des signatures.
Le journaliste : Avez-vous jamais rencontré des interférences ?
Dans une municipalité, le bibliothécaire avait une image négative du Falun Gong à cause de la propagande du régime chinois. Je lui ai parlé paisiblement en lui montrant une liste de tous ceux qui ont été tués dans la persécution en Chine. Il était d’Askim et à l’époque il y avait une exposition dans cette bibliothèque. Il y est allé et a regardé. Après quoi il m’a appelé et a dit que je pouvais monter mes expositions dès que le lieu était disponible.
Le journaliste : Aujourd’hui, vous êtes allés dans cinquante bibliothèques. Comment avez-vous l’intention de poursuivre avec ces expositions ?
En ce moment, j’envisage de faire une autre tournée, c’est à dire de commencer à nouveau de là où j’ai commence il y a trois ans et proposer l’exposition à des succursales et des bibliothèques plus petites cette fois ci également.
Le journaliste : Combien de temps pensez vous continuer à faire cela ?
Jusqu’à ce que la persécution soit terminée. Nous ne pouvons pas abandonner. Il s’agit de mieux faire chaque fois de sorte que davantage de gens aient la chance d’apprendre la vérité sur la plus grande persécution dans le monde visant des gens aux bons cœurs. Plus de gens connaîtront la persécution en cours, plus rapidement elle finira.
: Alors je finirais en vous souhaitant bonne chance !
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Version anglaise disponible à:
http://se.clearharmony.net/articles/200504/14162.html
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