Un journal allemand publie un article sur un musicien qui chante à propos de la persécution du Falun Gong

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

L’article suivant a été publié sur le journal allemande Rhein-Neckar Zitung le jeudi 24 février 2005

Bien que sa formation soit celle d’un machiniste et d’un jardinier, beaucoup de ses fans se souviennent de Michael Hackmayer en tant que musicien de rock. Il est l’ancien chanteur et joueur de synthétiseur du groupe « Wild Frontier » qui donnait des concerts dans toute la région de Karaichgau dans les années quatre vingt.

Mais c’était dans le passé, aujourd’hui Hachmayer joue pour un public complètement différent. Il a un répertoire et un agenda différents : Il lutte contre les violations des droits de l’homme. On l’a vu récemment avec son ami pianiste et professeur de musique Jacek Wohler dans un concert au Centre Queen Elisabeth de Londres dans un Gala pour le Nouvel An Chinois. Les organisateurs de cet évènement, une chaîne TV indépendante dirigée par des chinois résidant à l’étranger, ne sont pas les seuls à avoir un point de vue désespéré sur la situation des droits de l’homme dans la République Populaire de Chine. Hackmayer et Wohlers ont présenté des chansons et des ballades qui traitent du destin des victimes de la persécution en Chine.

Hackmeyer est employé par l’école Demeter à Gondelsheim, ancien membre de la talentueuse chorale de l’église Hilsbarch. Son répertoire musical a changé et ses chansons parlent de choses nouvelles. Il s’intéresse à présent au répertoire des compositeurs de la période romantique tels que Schubert et Schumann et il entraîne sa voix avec un chanteur d’opéra à Karlsruhe.

Pendant ces trois dernières années Hackmayer a utilise la musique pour lutter contre la torture et la persécution religieuse, politique et celles des minorités ethniques par les pouvoirs politiques de la République Populaire de Chine. Il a déjà sorti deux CD. « “Der friedliche Weg” (“Une journée Pacifique”) est sorti en 2002. Il a été suivi en 2003 par “Freiheit für Xiong Wei“ (“Liberté pour Xiong Wei“), que la Société Internationale des Droits de l’Homme (IGFM) essayait de sortir de la prison grâce à des campagnes de pétitions.

Hackmayer pense que la chanson est un moyen idéal pour “expliquer aux gens ce qui se passe en Chine. » Il a une relation personnelle avec la Chine, bien qu’il ne connaisse que quelques mots de Mandarin et n’y soit jamais allé. Il a rencontré son amie et future femme Zhou, un ingénieur de Hangzhou qui travaillait pour Walldorf, quand il a commencé à apprendre une pratique de méditation de qigong à Mannheim. Grâce aux exercices il s’est débarrassé d’une douleur chronique au dos, que ni les chiropracteurs, ni les médecins ou les médicaments homéopathique n’avaient pu guérir jusque là.

Cette technique méditative particulière a été promue en 1992 avec le soutien du gouvernement. Cependant en 1999, tout a changé quand cette pratique de méditation basée sur les principes Bouddhistes et sur l’intégration harmonieuse du corps et de l’esprit qui n’a aucune structure ou organisation formelle a attiré plus de 100 millions de pratiquants. A ce jour, ils sont arrêtés, persécutés, torturés et envoyés dans des camps de travail.

Hackmayer et ses amis qui pratiquent le Falun Gong et se retrouvent dans la région de Baden pour une pratique en groupe, trouvent normal de prendre l’initiative d’éveiller les consciences sur les violations des droits de l’homme en Chine. Il a pensé que c’était normal d’utiliser ses talents : les ballades, les chansons et les CD qu’il produit en général.

La collection de chansons “Liberté pour Xiong Wei” a attirée l’attention de la IGFM et ils l’ont invité. Cela a donné lieu au Gala de l’IGFM en novembre 2003 qui a été tenu au « Rotes Rathaus » (Centre de la Ville Rouge) sur l’Alexander Platz à Berlin faisant appel pour que la situation des droits de l’homme en Chine soit améliorée. Hackmayer et Wolhers sont apparus aussi dans d’autres galas : en janvier 2004 à Paris et en mars 2004 à Genève qui a coïncidé avec la Journée des Droits de l’Homme. Le Chrétien évangélique n’est pas un fanatique et il utilise de simples mots pour décrire son activisme : « Je prends position pour les droits de l’homme. Quand je peux faire quelque chose, je suis heureux de le faire. En principe il doit se produire cet été. En outre il attend avec impatience son mariage. Le couple sera marié dans la Chapelle Ste Anne à Steinberg.

Publié à l’origine en allemand sur http://de.clearharmony.net/articles/200503/22509.html

Traduit de l’anglais sur http://www.clearharmony.net/articles/200503/25276.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.