M. Li Wenjun est un pratiquant de Falun Dafa de 38 ans du district de Gaoxin, ville de Jilin. Le 16 mars 2004, les policiers du commissariat de Weichang, succursale de Changyi à Jilin l’ont arrêté et torturé. Le 16 avril 2004, les policiers du commissariat de Weichang ont fabriqué une preuve pour condamner Li à trois ans au camp de travaux forcés de Jiutai Yinmahe. Dans le camp de travaux forcés, M Li a subi une torture inhumaine dans le « groupe sous surveillance intensive ». Ce qui suit relate les souffrances de Li et la manière dont les fonctionnaires de différents bureaux gouvernementaux ont repoussé les appels de sa famille. Les photos sont des photos de reconstitution de ce que Li a véritablement subi.
1. Arrestation illégale et interrogatoire sous torture
Dans l’après-midi du 16 mars 2004, cinq à six policiers en civil de la brigade de la sécurité nationale de la ville de Jinlin ont arrêté M. Li Wenjun et deux pratiquantes à l’arrêt d’autobus de Jilin, les accusant de ne pas être assis à leurs places. L'autobus allait à Harbin. Les policiers les ont tout d’abord fouillé au bureau de la station d’autobus, et les ont ensuite emmenés au commissariat de Weichang. Ils leur ont couvert la tête. (Fig.1).
Fig. 1 |
Ce jour-là après 17 h, les policiers Bai Gang, Xu Xinge et des policiers en entraînement du commissariat de Weichang ont interrogé M. Li sans aucune raison légale. Puisque Li n’avait commit aucun crime, il a refusé de coopérer lors de l’interrogatoire. Il a donc été battu jusqu’à ce que son visage soit couvert de bleus. Les policiers l’ont jeté au sol, lui ont piétiné la tête (Fig. 2) en le frappant sauvagement. (Fig. 3)
Fig. 2 | Fig. 3 |
Les policiers lui ont couvert la tête avec plusieurs sacs de plastique et l’ont presque étouffé. Li a presque perdu la vie. (Fig.4) Puis ils lui ont frappé la tête contre le mur (Fig.5). Après 19 h, les policiers l’ont enfermé dans une cage d’acier au commissariat de Changyi. Le 17 mars, il a été envoyé au 3ème centre de détention de la ville de Jilin.
Après avoir été brutalement torturé, M. Li était très faible. Il était souvent étourdi et manquait d’énergie. Il ressentait des douleurs anormales aux poumons et aux reins. Il a menacé la police de poursuite judiciaire d’après les lois existantes et a commencé une grève de la faim pour protester contre la torture. Les policiers du commissariat de Weichang ont fabriqué une fausse « preuve » et l’ont condamné à trois ans au camp de travaux forcés de Jiutai.
2. Brutalité des séances de gavage et de torture
M. Li Wenjun a été envoyé au “groupe sous surveillance intensive” du camp. Les pratiquants qui sont « surveillés intensivement » sont torturés cruellement avec de nombreuses méthodes de torture pour les faire renoncer au Falun Dafa. La torture inclus être passé à tabac, être privé de sommeil, se tenir debout pendant longtemps, être pendu avec les mains menottées, avoir les parties génitales pincées, avoir les yeux enfoncés, être piqué avec des aiguilles, etc. toutes formes qui sont illégales.
Lorsque M. Li a commencé la grève de la faim, Zheng Hailing, le responsable de direction, ne se sentait absolument pas concerné par ces activités illégales. Au lieu d’expédier l'appel de M. Li aux niveaux plus élevés ou à des organisations légales, il a attaché M. Li à une chaise spéciale en acier et l'a gavé de gruau de maïs très salé par le nez. Le tube d'alimentation a été inséré dans l'estomac de Li, ce qui l’a fait saigné à profusion par le nez et l’estomac. (Fig.6)
Fig. 6 |
Le gavage forcé deux fois par jour faisait vomir M. Li fréquemment. La torture a duré plus de 80 jours. En même temps, les gardes ont donné l’ordre aux criminels de le torturer.
M. Li a grandement souffert sous la torture. Sa santé s’est détériorée jusqu’à un état critique. Le camp de travaux forcés a refusé de lui donner des soins médicaux et ont interdit les visites des familles. Les gardes l’ont amené dans un coin isolé pour être torturé davantage et ils ont soutiré 500 yuans de son compte bancaire. Ils ont faussement déclaré qu’ils leur avaient acheté de la nourriture. Ils ont aussi caché ou détruit tous les diagnostics médicaux et résultats d’examen.
3. La mère de M. Li n’a pas pu le voir, et toutes les demandes ont été refusées
La nouvelle que Li avait été torturé jusqu’au seuil de la mort a beaucoup inquiété ses parents. Ils ont demandé l’aide de plusieurs bureaux gouvernementaux. Pendant plus d’un an, la mère de M. Li, qui a presque 70 ans, a fait appel à tous les bureaux gouvernementaux concernés. Elle a parcouru des centaines de kilomètres pour plus de vingt voyages au camp de travaux forcés pour voir son fils, mais elle a été repoussée à chaque fois. Zhen Hailing lui a dit, « Faites appel où vous voulez! On s’en fiche! »
Le 22 mars 2004, les parents de M. Li sont arrivés au camp et ont demandé à nouveau à voir leur fils, mais on les a encore repoussé.
Le 19 avril, la mère de M. Li a parlé avec le chef de la brigade de police, Du Xinze de la succursale de police de Changyi. Du a dit qu’il ne savait rien à ce sujet et a suggéré que la mère de M. Li parle au commissariat de Weichang. Au commissariat de Weichang, la mère de M. Li a parlé avec le policer Yang Zaidi, qui était en charge du cas, mais Yang a trompé la mère de M. Li en lui faisant signer « l’avis de détention du camp de travaux forcés ».
Le 20 avril, la mère de M. Li est allée au camp de travaux forcés de Jiutai. On lui a dit, « Les pratiquants de Falun Gong sont sous surveillance intensive et les visites des familles ne sont pas permises, spécialement si les membres de la famille sont aussi pratiquants. Tous les visiteurs sont forcés de dénoncer le Falun Gong avant qu’une visite soit permise. »
Le 23 avril, les parents de M. Li craignaient que leur fils soit torturé à mort, et ils sont allés faire appel auprès de Wang Yunkun, le secrétaire du parti communiste de la province de Jilin. Wang n’est pas venu. A la place, Li Xinhui, chef adjoint du "Bureau 610 "de la région est venu avec plus de dix policiers. Les policiers tenant des matraques électriques et des haut-parleurs sans fil dans les mains ont menacé d'arrêter les parents de M. Li. Les policiers ne sont partis qu’après que les parents de Li aient résisté avec des mots justes.
Le 11 mai, la mère de M. Li et son beau-frère sont allés lui rendre visite dans le camp, mais seul son beau-frère a pu le voir. M. Li était pâle, émacié et très faible. Il a dit qu'il souffrait de douleurs fréquentes au poumon et au foie, et a demandé de passer un examen physique.
Le 21 mai, la mère de M. Li et un avocat sont allés au camp, mais seulement l’avocat a eu la permission de le rencontrer. M. Li voulait intenter des poursuites judiciaires pour les raisons suivantes :
Le 26 mai, la mère de M. Li et l’avocat sont allés au camp de travaux forcés et ont exigé un examen physique de M. Li. Le camp a accepté et a dit que l’examen pourrait avoir lieu le jour suivant à l’hôpital du département de la police.
Le 27 mai, lorsque la mère de M. Li et l’avocat sont arrivés au camp, les fonctionnaires du camp ont dit que l’examen physique devait être approuvé par le procureur en résidence au camp. Le procureur n’était pas au camp ce jour-là, alors les fonctionnaires ont demandé à la mère et à l’avocat de venir la semaine suivante.
Le 3 juin, la mère de M. Li et l’avocat sont allés au camp pour son examen physique. Trois chefs de brigade étaient à la réunion. Le chef Gao et un autre chef de brigade ont parlé confidentiellement à l’avocat et le chef Zhao a parlé avec la mère de Li. Zhao lui a demandé d’arrêter ses appels ; autrement la peine de M. Li pourrait être prolongée pour 1/3 de plus. L'avocat a dit à la mère de M. Li que les fonctionnaires l’avaient menacé, lui demandant pourquoi il s’occupait de ce cas et lui ont demandé comment il pensait pouvoir gagner. L'avocat a dit que c'était le devoir d’un avocat et que M. Li Wenjun était dans son droit.
Lorsque les chefs du camp se sont rendus compte que leur tactique ne fonctionnait pas, il ont demandé un dépôt de 1 000 yuans, et ont dit qu’ils discuteraient de la question plus tard.
Le 14 juin, l’avocat a téléphoné au chef Gao pour s’informer au sujet de l’examen physique. Gao a répliqué que depuis que M. Li était dans le groupe de surveillance intensive, il n’était plus sous sa responsabilité.
Le 15 juin, la mère et l’avocat sont allés au camp. On leur a dit que M. Li était sous surveillance intensive et qu’aucune visite n’était permise.
Dans l’après-midi du 15 juin, la mère de M. Li a fait appel auprès de la cour de Jiutai. Les fonctionnaires de la cour lui ont dit qu’ils n’acceptaient pas les cas associés au Falun Gong et que la mère de M. Li devrait faire appel localement.
Le 6 juillet, les parents de M. Li sont allés voir leur fils au camp, mais ont été repoussés. Après maintes demandes, on a dit aux parents de M. Li qu’il était nourri de force trois fois par jour, recevait des piqûres et qu’il pouvait mourir n’importe quand.
Le 8 juillet, les parents de M. Li ont demandé une rencontre avec leur fils au chef du camp. Après plusieurs discussions, les parents ont rencontré M. Li. Ils ont constaté qu'il était extrêmement faible. Il a dit à ses parents qu'il était gavé deux fois par jour. Ses parents ont demandé qu'on relâche leur fils pour secours médical, mais Zheng Hailing, le responsable de direction, leur a dit : "Il fait une grève de la faim sans raison. Par conséquent nous n'accorderons pas la remise en liberté pour secours médical."
Le 19 juillet, les parents de M. Li ont demandé sa remise en liberté au camp, mais Zheng Hailing a dit « Non. »
Le 26 juillet, les parents de M. Li ont fait appel au procureur de la ville de Jilin. Le bureau de l’administration leur a demandé de parler tout d’abord au département de la police.
Le 29 juillet, les parents de M. Li ont écrit une lettre au bureau d’appels de la province de Jilin mais n’ont reçu aucune réponse.
Le 4 août, les parents de M. Li ont fait appel au bureau d’appels du département de la police de la ville de Jilin, et on leur a demandé de téléphoner dans une semaine.
Le 10 août, les parents de M. Li ont vérifié avec le bureau d’appels, et ont leur a dit que le numéro du cas n’était pas encore arrivé.
Le 13 août, les parents de M. Li ont téléphoné au bureau d’appel du département de la police, et on leur a dit de parler avec la succursale de la police de Changyi.
Le 17 août, les parents de M. Li sont allés à la succursale de la police de Changyi, et on leur a dit d’aller au bureau légal municipal du département du camp de travaux forcés.
Le 25 août, les parents de M. Li sont allés au camp de travaux forcés, mais on leur a refusé les droits de visites. Le jour même, ils sont allés au bureau légal municipal. Le chef de section Bai et le commis Li, ont dit aux parents de M. Li de retourner chez eux et d’attendre un coup de téléphone.
Le 13 septembre, la mère de M. Li est allée au camp, mais on lui a dit que Li était en isolement et qu’aucune visite n’était permise.
Dans l’après-midi du 13 septembre, la mère de M. Li est allée au bureau légal et a rencontré le chef de section Bai Liang. Lorsqu’elle a demandé pourquoi ils n’avaient reçu aucune réponse, Bai leur a dit qu’il avait téléphoné à Zheng Hailing au camp de travaux forcés le 25 août, et que Zhang lui avait dit que M. Li ne faisait plus la grève de la faim. La mère de M. Li a dit qu’il faisait la grève de la faim le 4 septembre et pourquoi les fonctionnaires mentaient-ils?
Le 17 septembre, Li, employé du département du camp de travaux forcés, a téléphoné et a dit que le 16 septembre il avait parlé en personne avec M. Li pendant une demi heure au camp. L’employé a dit que M. Li Wenjun était dans la période de récupération et qu’il faudrait discuter des détails avec le camp.
Le 21 septembre, les parents de M. Li sont allés au camp. Zhang Hailing ne leur a pas permis de voir leur fils et on ne leur a même pas remis une copie de l’examen médical.
Le 10 octobre, les parents de M. Li sont allés au commissariat de Weichang pour demander la remise en liberté de leur fils. La police leur a dit qu’il était détenu au camp de travaux forcés et qu’ils ne pouvaient pas s’en occuper. Le chef de la police a prévu une rencontre des parents de M. Li avec le bureau 610. Les fonctionnaires du bureau 610 ont dit qu'ils ne faisaient que fixer les règles et qu’ils n’arrêtaient pas les gens. Ils ont proposé que les parents de M. Li aillent au département de la police. Lorsque les parents de M. Li sont arrivés au bureau légal, les fonctionnaires leur ont dit que la date valide d'appel était passée et leur ont demandé de parler au département de la police. Au bureau de révision du département de police de la ville, les fonctionnaires leur ont dit leur que la date d'acceptation était échue et ils ont demandé aux parents d’aller au bureau d'appels du département de police.
Le 18 octobre, les parents de M. Li sont allés au camp pour demander une rencontre avec leur fils. Zheng Hailing a refusé.
Le 24 octobre, les parents de M. Li sont allés au bureau d’appel du congrès populaire de Jinlin. Les fonctionnaires ont accepté une lettre et leur ont demandé de rentrer chez eux et d’attendre.
Le 26 octobre, les parents de M. Li ont appelé le chef de section Bai au camp de travaux forcés et ont demandé pourquoi on leur refusait de rendre visite à leur fils. Bai a dit qu’il vérifierait et les rappellerait.
Le 11 novembre, les parents ont vérifié au bureau d’appels du congrès populaire. L’employé Liu a dit que le cas avait été transféré au comité de gestion du bureau légal au camp de travaux forcés. Alors, les parents y sont accourus. L’employé Yu les a rencontré et a dit qu’il avait lu le cas, pensait que c’était injuste, mais que c’était hors de son secteur. Yu a pris un rendez-vous pour que les parents de Li parlent avec Wang le chef du département légal de surveillance du gouvernement municipal.
Le 12 novembre, les parents de M. Li ont rencontré Wang. Wang a dit que la période de révision était échue et a demandé aux parents de Li de parler avec la cour municipale. La cour municipale a dit que puisque la période de révision était échue, ceci était hors de sa juridiction. Ils n’avaient plus aucune responsabilité.
Le 15 novembre, les parents de M. Li sont allés au camp et ont demandé à voir leur fils. Zheng Hailing a refusé. Zheng a aussi refusé de remettre aux parents le résultat de l’examen physique.
Le 23 novembre, la mère de M. Li est allée au département de police de la ville de Jilin pour vérifier si le cas de son fils était sous révision et on lui a dit que c’était hors de leur domaine. Donc, elle est allée au bureau légal du comité de gestion du camp de travaux forcés à Jilin ou elle a parlé avec les employés du bureau provincial de la police.
Le 25 novembre 2004, elle est allée à la section de révision du bureau provincial de la police et on lui a dit que la date était échue et que le cas n’était plus sous considération. Le jour même, la mère de M. Li a fait appel auprès du chef du bureau du camp de travaux forcés. Le chef lui a dit que les pratiquants de Falun Gong n’avaient pas la permission de rendre visite à un détenu au camp. Le règlement venait du bureau. Quiconque n’accepte pas ce règlement devait faire appel au procureur et au bureau des corrections des faux cas du congrès populaire.
Le 26 novembre, la mère de M. Li a envoyé des documents au procureur du bureau d’appels de la province de Jilin mais le bureau a refusé d’accepter les documents.
Le 10 décembre, lorsque la mère de M. Li a téléphoné au bureau responsable de la province de Jilin, les employés ont refusé d’accepter le cas. La mère de M. Li est alors allée au département de la police, au bureau légal et au bureau du procureur de la ville de Jilin. Aucun fonctionnaire n’a accepté la responsabilité. Le procureur de la ville de Jilin a dit que le département de la police avait créé le problème et que le procureur ne s’occupait pas des questions en relation avec le Falun Gong.
Le 15 décembre, la mère de M. Li a rendu visite au bureau de surveillance des cas à la cour de Jilin mais les fonctionnaires ont dit qu’ils n’acceptaient pas les cas associés au Falun Gong et qu’elle devrait faire appel auprès de la province ou du gouvernement central de Pékin.
Le 24 et le 27 décembre, elle est allée au camp pour rencontrer son fils mais elle a été repoussée. Zheng Hailing a simplement refusé sa requête.
Au mois d’octobre 2004, le père de Li a téléphone au bureau du maire. Les fonctionnaires lui ont dit que le gouvernement municipal ne s’occupait pas des questions associées au Falun Gong.
On a fait courir les parents de M. Li tout partout.
4. Une lettre ouverte écrite par M. Li Wenjun au procureur résident du camp de travaux forcés
Ci-dessous sont quelques paragraphes de la lettre.
“Mon nom est Li Wenjun. Je suis emprisonné au camp de travaux forcés de Jiutai Yinmahe depuis le 16 avril 2004. J'ai subi des blessures mentales et physiques sérieuses en raison de la détention illégale. Si ce n'étaient pour la persécution, je vivrais une vie normale, et contribuerais à la prospérité de la société avec mon travail ardu. Dans cette persécution perverse, des millions de pratiquants de Falun Gong qui croient dans l'Authenticité-Bienveillance-Tolérance ont été diffamés et maltraités. Les exercices du Falun Gong sont interdits. Cependant, des millions de personnes avaient obtenu la santé par la pratique du Falun Gong. »
“Puisque je persiste dans ma croyance dans le Falun Dafa et que je veux dire aux gens ce qu’est vraiment le Falun Dafa, j’ai fait appel au gouvernement et j’ai clarifié la vérité aux gens. Mais j’ai été arrêté et détenu. La bonté sera toujours la bonté. Même si j’ai beaucoup souffert, je dirai encore aux gens que Falun Dafa est bon. L’espoir réel de l’humanité est de se réveiller à la nature bienveillante d’un être humain. »
“Les raisons pour lesquelles je ne suis pas d’accord avec ma peine sont les suivantes:
5. Pendant la période ou j'ai été gavé, la section de gestion du camp a retiré 500 yuans de mon compte bancaire sans ma permission. Ce genre de comportement illégal devrait être arrêté et étudié.
Numéros de téléphone pertinents:
(Note: pour les numéros de téléphone à la maison ou au bureau, composer le code du pays = code régional avant tous les numéros. Pour les numéros de téléphone portable, composez le code du pays avant les numéros. Code du pays en Chine : 86, code régional : 432)
Le commissariat de Weichang, succursale de police de Changyi, Jilin (code postal: 132001): 86-432-2409514
Chef, Li Jifeng, Jiang Hongbin, policiers, Bai Gang, Li Jiping, Yang Zaidi
Le comité politique et judiciaire de la ville de Jilin: #86, Chemin Beijing, Jilin 132084, Tel. 86-432-2010465 (bureau), 2010458 (secrétaire), "Bureau 610 ", 86-432-2010610, 2010612
Le département de police de Jinlin: #51, Chemin Beijing, code postal 132011, Fax: 2454682, Opératrice, 2409221; ligne directe du directeur: 2409110 2488110, bureau, 2454682, section légale, 2409004
Succursale de la police de Changyi, est Jiefang Dada, code postal 132041; brigade de sécurité nationale, 2485537 centre de commande, 2459110, bureau, 2485162 2485940, bureau du directeur, 2485301, bureau du secrétaire du parti communiste, 2499302, bureau du directeur adjoint, 2485303 2485306, chef de la section politique, 2485943, bureau de détective, 2485378;
La cour de Jilin, #5 Chemin Est Songjiang , code postal 132001, Fax, 2489074, opératrice, 2489089
Bureau, 2489031, bureau du directeur, 2489078 (code: 431)
Le camp de travaux forcés de Jiutai, bureau du directeur, 2511058; bureau du procureur en résidence, 2511261; section de discipline, 2511834
Le bureau du camp de travaux forcés de la province de Jilin , #46 Chemin Xinfa, Changchun ; code postal, 130051 Bureau, 2795608, section politique, 2799473, section de gestion 2799874
19/01/2005
Traduit de l’Anglais au Canada le 1 février 2005
Version anglaise disponible à http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2005/1/31/57065p.html
Version chinoise disponible à:
http://www.minghui.ca/mh/articles/2005/1/20/93866.html
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