Ne pas se laisser duper par le lavage de Cerveau

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En Juillet 2000, ma mère et moi-même sommes allées à la Place Tiananmen Square dans le but de clarifier la vérité. En arrivant,nous avons vu les policiers postés tout autour de la place, et plusieurs fourgons de police qui patrouillaient. Nous avons commencé à pratiquer les exercices de Falun Dafa sous le drapeau national sur la place. En moins d’une minute, les policiers en civil nous ont poussé dans un fourgon et nous avons été emmenés dans la Station de Police de la Porte Centrale, deuxième département.
La police nous a détenues dans une seule cellule avec d’autres pratiquants de Dafa. Ces mauvais officiers juraient d’une voix sonore et donnaient constamment des coups de pieds aux pratiquants menottés. Le matin suivant un autre groupe de pratiquants de Falun Dafa étaient arrêtés, et amenés de force au même endroit, où ils étaient illégalement détenus avec nous tous. Dès qu’ils arrivèrent, la police brutale les giflaient au visage un par un sans la moindre considération pour leur âge, jeunes enfants ou personnes âgées.

Nous avons commence à réciter "Hong Yin" et les articles de Maître Li à l’unisson. Ils étaient choqués […] et sont partis sombrement, incapables de nous arrêter de réciter… nous avons échangé des expériences avec nos camarades pratiquants, venus de tous les coins de Chine. A midi, nous fûmes envoyés dans plusieurs prisons en différents groupes. Ma mère et moi fûmes envoyées au District Changping 13 ème prison, dans la ville de Beijing.

La police commença à m’interroger, utilisant diverses méthodes dans un effort pour me faire révéler mon nom et mon adresse. . Je leur dîs, Mon nom est "pratiquant de Falun Dafa" […] Ils étaient si frustrés et exaspérés qu’ils essayèrent de me forcer à marcher sur la photo de Maître Li. J’ai dit […] je ne marcherais pas sur la photo de Maître Li, ce qui serait insulter Maître Li et Bouddha. Comme je continuais à refuser, trois jeunes hommes me traînèrent par les bras et les jambes et essayèrent de déplacer mon pied sur la photo de Maître Li qui était placée par-terre, cependant, je mis toute ma force à repousser leur tentative.
Pendant les quelques jours suivant cet événement, avec plusieurs autres pratiquants, nous commençâmes une grève de la faim pour protester contre la détention illégale. Parce que nous refusions de manger, nous fûmes envoyés en Hôpital psychiatrique pour y être nourris par la force avec du lait. A ce moment, il y avait plus de dix pratiquants nourris de force y compris ma mère et moi.

Lorsque la police vit que nous tenions fermement à nos croyances et que rien ne pouvait nous influencer ils intensifièrent leur persécution en utilisant toute une variété de méthodes de torture. Ils utilisèrent l’électricité pour torturer ceux d’entre nous qu’on disait « inébranlables », dont ma mère et moi. Nous mîmes toute chose de côté, et nous endurâmes fermement la douleur avec notre […] force de volonté et la pensée de "vivre sans recherche et mourir sans regrets, … " (in « Non existence » dans les Hong yin de Maître Li.)
Ils m’emmenèrent dans une cellule où il y avait deux lits et me forcèrent à m’allonger sur l’un d’eux. Ils attachèrent mes bras et mes jambes aux barres de fer du lit, et fichèrent une aiguille de métal dans mon bras gauche et attachèrent une autre pôle à ma jambe gauche, créant ainsi un circuit complet pour le courant électrique. Lorsqu’ils firent passer l’électricité, je ne savais pas s’ils changeaient le niveau d’intensité en augmentant le courant ou la fréquence, mais ressentis sous le courant électrique de sérieuses crampes et douleurs, et même maintenant je continue à avoir une sensation d’épingles et d’aiguilles. Ils essayèrent de me persuader en disant"pourquoi choisissez-vous de souffrir comme cela ? Dîtes-nous simplement votre adresse et vous pouvez rentrer chez vous !" Ils continuaient à me torturer avec l’électricité pendant un moment, lorsqu’il l’arrêtaient pendant un moment pour essayer de me persuader de coopérer. Ils continuaient cette méthode de torture alternative pendant plus de trente minutes. A ce moment j’ai remarqué que ne n’avais plus de sensations dans mon bras et ma jambe gauche, et tout mon corps devenait noir, aussi sombre que le fer. De retour dans la cellule, j’essayai d’encourager d’autres pratiquants en disant d’une voix forte, « En fait la torture électrique est un part de gâteau. » La police l’entendit, devient extrêmement furieuse, gifla mon visage et m’encercla, me coinçant dans un coin, et me battît. Les policiers du 13ème département persécutaient tous les pratiquants de cette manière.

Autant que je sache, un nouveau groupe de pratiquants de Falun Dafa est amené ici chaque nouvelle semaine. Sous l’énorme pression et l’extrême et intense torture, nous fûmes forcés de révéler nos adresses et renvoyés chez nous. Gens de bon cœur dans le monde, pensez combien de pratiquants de Falun Dafa ont souffert cette torture. Comme organisation d’une nation, la prison est censée détenir des criminels, mais maintenant la prison est utilisée pour torturer les pratiquants de Dafa compatissants, qui sont sans armes, et font pacifiquement appel avec compassion. Certains sont même les mêmes personnes qui ont élevé ces policiers.

Lorsque nous fumes renvoyés chez nous, la police locale nous a détenus encore au centre de détention. J’attendais que mon collège m’attribue un travail. Lorsque j’entendis que la compagnie m’avait trouvé un travail, j’étais remplis d’excitation et le gardien prit avantage de ce moment de faiblesse, et nous força à remplir une déclaration de garantie dénonçant Falun Dafa. A ce moment, je ne voulais que sortir de la détention et aller travailler. Cependant, en juste quelques jours, nous regrettâmes nos actions et comprimes comment nous permettions à la police d’utiliser nos attachements et d’interférer, plutôt que de maintenir une ferme résolution. […] Nous fîmes la requête qu’ils nous rendent notre garantie en leur disant que cette garantie avait été signée sous la contrainte et contre notre volonté, mais ils refusèrent de nous la retourner. Maintenant ma mère et moi déclarons solennellement que nos garanties sont invalides […]

Source: http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/2/10/18586.html
Chinese version available at: http://minghui.ca/mh/articles/2002/2/3/24247.html

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