Une institutrice du comté de Gongan Hubei torturée dans un hôpital psychiatrique

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Madame Zhang Lieju est une institutrice à l’école primaire de Douhuti, comté de Gongan, dans la province de Hubei. Elle a souvent été persécutée par le personnel du « bureau 610 », par la police et par ses ex-collègues cadres parce qu’elle pratique le Falun Gong de façon inébranlable. Elle a été au seuil de la mort à plusieurs reprises. On l’a emmenée de force dans des hôpitaux psychiatriques et on lui a injecté des drogues qui endommagent le système nerveux. Elle est devenue handicapée et pourtant, ces gens dépravés affirment l’avoir guérie !

Le « bureau 610 » dans le comté de Gongan, Province de Hubei, est une organisation gouvernementale qui persécute le Falun Gong. Pendant plusieurs années, des policiers dirigés par Liao Xuesheng, ont commis des atrocités contre le Falun Dafa et ses pratiquants. Ils sont responsables d’un décès et de l’emprisonnement de six personnes. Ils ont envoyé de force une douzaine de personnes dans des camps de travaux forcés et de nombreuses personnes sont torturées à case d’eux, dans des hôpitaux psychiatriques. Ils ont essayé de forcer les pratiquants qui suivent « Vérité, Compassion, Patience » à renoncer à leur croyance en utilisant la torture. Chen Xueliang, Yang Zhengfa, Hu Shiyang et d’autres sont devenus le cœur de ceux qui persécutent Falun Dafa et les pratiquants. Ils ont activement apporté leur soutien aux actions illégales du « bureau 610 ».

Le policier Liao Xuesheng a personnellement donné l’ordre à Zhou Liangqing et à d’autres officiers de police de pratiquer des arrestations et il a organisé à trois reprises des prétendues séances de lavage de cerveau. Les pratiquants étaient arrêtés à n’importe quel moment de la journée. Certains ont été arrêtés à minuit, alors qu’ils dormaient, d’autres étaient en train de préparer le repas de midi ou le dîner, d’autres à faire des affaires. Au moment de l’arrestation de sept ou huit pratiquants, la police a empoché l’argent des pratiquants. Ce personnel, sans foi ni loi, avait à son service des officiers de police armés pour persécuter les pratiquants. Ils ont obligé les pratiquants à regarder des émissions de télévisions qui insultaient le Falun Gong. Dans les centres de détention, Chen Gang et Yuan Changjie étaient les éléments forts qui incitaient les gardiens du centre de détention à obliger les pratiquants à écouter ces documents de lavage de cerveau.

De façon à conserver leur emploi et à gagner des bonus, les fonctionnaires du « bureau 610 » violent la loi. Ils ignorent la voix de leur conscience et n’arrête pas de punir les pratiquants qui n’acceptent pas de compromis. Ils utilisent souvent des menottes et des entraves sur les pratiquants. De tels instruments sont réservés d’ordinaire uniquement aux condamnés à mort. Ils frappent et battent les pratiquants, ils les attachent à des planches, ils les nourrissent de force brutalement, ils les envoient dans des hôpitaux psychiatriques de façon pour y être torturés et injectés de drogues abîmant le système nerveux.

Madame Zhang Lieju a subi une torture inhumaine. Elle a été condamnée a un an de camp de travaux forcés parce qu’elle avait fait appel pour le Falun Gong à Pékin. Shayang Farm (le camp de travaux forcés), a refusé de l’accepter. Elle a donc été détenue dans un centre de détention pendant plus d’un an. En outre, elle n’a pas été relâchée après avoir terminé sa peine. Zhang Lieju a entamé une grève de la faim, mais elle a été envoyée de force dans un hôpital psychiatrique pour y subir une persécution supplémentaire. Dans le département de neurologie de l’hôpital du peuple, un groupe de policiers a donné l’ordre au personnel médical, Wu Wei et Li Benyu, de l’attacher fermement à son lit. Ils voulaient être sûrs qu’elle ne puisse bouger ni ses pieds ni ses mains. Ils lui ont injecté un médicament qui endommage le système nerveux central. La dose était bien supérieure à ce qui est médicalement autorisé pour traiter les patients souffrant de troubles mentaux. Chaque jour, Zhang Lieju était attachée à son lit pendant cinq ou six heures. Elle a perdu le contrôle de ses intestins et de sa vessie. Son esprit n’était plus clair, elle avait peur et elle était agitée. Tout son corps la démangeait, comme si des fourmis la mordaient. Elle avait la nausée à chaque fois qu’elle voyait de la nourriture et elle a montré des symptômes graves d’empoisonnement.

Quand elle était nourrie de force, la police la battait souvent et ils lui ouvraient la bouche de force avec des pinces lui coupant la bouche. Elle était enfermée et maltraitée 24 heures sur 24.

Les policiers du « bureau 610 » se sont souvent rendus à l’hôpital et ont menacé Zhang Lieju. Une fois, le policier Chen Yude s’est rendu à l’hôpital. En entendant que Zhang refusait de prendre leurs drogues, Chen a donné l’ordre aux médecins d’utiliser l’électrothérapie et il a dit : « Si elle meure, l’hôpital ne sera pas tenu pour responsable ». A cause de la persécution inhumaine, Zhang a été au seuil de la mort à plusieurs reprises. Zhang n’a pas pu prendre de médicaments pendant trois jours et elle vomissait continuellement quand on lui en donnait. Elle était émaciée et incapable de prendre soin d’elle-même. Ses bras étaient raides et douloureux. Une fois, au centre de détention, elle a perdu beaucoup de sang par la bouche pendant son sommeil. Les détenues avaient peur et ne voulaient pas se retrouver avec elle dans la même cellule.

Zhang Lieju, une jeune institutrice de l’école primaire, a été torturée par ces personnes dépravées, jusqu’à en devenir handicapée. Le personnel du « bureau 610 » a même annoncé qu’ils l’avaient guérie ! La mère de Zhang, âgée de 70 ans, avait entendu dire que la vie de sa fille était en danger, elle a donc demandé à la voir. Cependant, les policiers du « bureau 610 » lui ont extorqué 500 yuans (1). Elle a eu du mal à réunir une telle somme parce qu’elle gagnait son salaire en ramassant du coton à la campagne. Elle n’a vu sa fille qu’une seule fois. Les fonctionnaires on même extorqué près de 20 000 yuans de l’unité de travail de Zhang. Ils ont affirmé que Zhang s’apprêtait à aller à Pékin pour faire appel.

La Constitution en Chine donne aux citoyens le droit de faire appel, la liberté de parole, de croyance et de réunion. Cependant, les pratiquants de Falun Gong qui pratiquent « la Vérité, la Compassion, la Patience » sont victimes de coups montés et sont accusés de façon injustifiée. Les fonctionnaires interdisent aux gens d’expliquer les faits au sujet du Falun Gong. Ils privent les pratiquants de leur droit de croyance et leur ont enlevé leurs droits humains et leur dignité humaine.

Zhang Lieju a été arrêtée alors qu’elle faisait appel à Pékin. La police l’a battue et frappée avec violence, l’a enfermée dans une cage en fer, l’a suspendue et lui a menotté les mains dans le dos, l’a empêchée de dormir, l’a torturée avec des matraques électriques, l’a frappée avec des matraques de la police, l’a trompée et lui a confisqué ses biens. Après avoir été renvoyée dans le comté de Gongan, dans la ville de Jingzhou, dans la province de Hubei, elle a été à nouveau gravement persécutée. Zhang a fait une grève de la faim pendant 14 jours au cours de l’été. Son estomac la brûlait et elle était émaciée. Elle a alors été mise dans une baignoire d’eau pendant toute une journée. Après s’être un peu remise, mais se trouvant toujours au seuil de la mort, elle a été envoyée à l’hôpital psychiatrique pour y être torturée davantage.
Comme elle avait subi une torture brutale et la persécution dans les hôpitaux psychiatriques, à plusieurs reprises, afin de pouvoir rester en vie, elle est arrivée à s’échapper de l’hôpital. A l’hôpital, ces employés dépravés ont prétendu à tort qu’elle avait résisté à son arrestation et qu’elle s’était enfuie. Ils ont envoyé un grand nombre de personnes pour la capturer. Elle est alors devenue sans ressource et sans abri pour éviter d’être à nouveau arrêtée. Elle a cependant été signalée à Jianli et arrêtée à nouveau. Le « bureau 610 » donnait des récompenses financières aux gens qui dénonçaient les pratiquants.

Chen Huamin, l’ancien directeur de l’école primaire de Douhuti dans le comté de Gongan, a activement pris part à la persécution faite par le bureau de sécurité publique et les policiers du « bureau 610 ». Il a suggéré aux membres de la famille de Zhang de détruire ses livres de Falun Gong et le portrait de Maître. Il leur a dit : « Si vous l’emmenez dans un hôpital psychiatrique, elle pourra éventuellement obtenir une libération pour raison médicale avec le certificat du médecin et sa peine sera peut-être réduite ».La duplicité de Chen Huamin a aidé la famille de Zhang à la tromper en la persuadant d’aller à l’hôpital psychiatrique du district de Shashi. Elle y a été attachée, nourrie de force et a reçu des piqûres de substances nocives. Elle a été physiquement et mentalement anéantie. Chen Huanmin a même fabriqué un rapport médical truqué sur Zhang, avec une fausse maladie mentale et il l’a transmis à la police du « bureau 610 » du comté de Gongan dans l’espoir d’obtenir une récompense. C’était leur excuse pour persécuter des gens bons et innocents. En plus, ils ont fait courir le bruit que Zhang était mentalement dérangée. Zhang Lieju a essayé d’expliquer la vérité à Chen Huamin, mais Chen a refusé d’écouter. Chen a licencié Zhang Lieju de son travail et a arrêté de lui payer son salaire. Il a même refusé de lui payer un revenu minimum. Il l’a obligé à écrire la « déclaration de garantie » (2) à plusieurs reprises.

Le « bureau 610 » a également donné l’ordre aux différents directeurs Hu Ling, Hong Yun, Ma Ming et d’autres de surveiller Zhang Lieju. Ils ont également coopéré avec la police du « bureau 610 » à plusieurs reprises et ont joué un rôle majeur dans la persécution des pratiquants. Ils ont suivi et fait des rapports sur Zhang à maintes et maintes fois. Certains d’entre eux faisaient des rapports deux fois par jour au « bureau 610 », le matin et le soir. Une fois, alors que Zhang Lieju était allé voir sa mère, Hong Fu et d’autres l’ont suivie et l’ont signalée à la police. A cause de difficultés financières, Zhang ramassait parfois du coton à la campagne, ce qui fait qu’ils ont envoyé des gens pour la chercher. Une fois, Zhang est allée à l’école et a demandé du travail en 2002, mais elle a été signalée par Hu Ling et a été à nouveau kidnappée et envoyée dans un centre de détention. Elle a été détenue pendant plus de deux mois et a perdu beaucoup de poids. Elle ne tolérait plus aucune nourriture et vomissait dès qu’elle mangeait. Sa vie était en danger. Le « bureau 610 » n’a pas voulu prendre la responsabilité de sa mort et a donc demandé aux membres de sa famille de la ramener chez elle. Les gardiens du centre de détention ont dit que Zhang Lieju était handicapée.

Au lieu de lui payer son salaire, les fonctionnaires de l’école ont payé beaucoup d’argent aux autorités du « bureau 610 » pour qu’elle soit persécutée. Ils ont dit que l’école avait arrêté de lui payer son salaire. L’école lui a retiré le droit fondamental de travailler et de vivre. Le 16 janvier 2004, pendant le Nouvel An chinois, un groupe de policiers dirigés par Xiang Xiaoyang et Zhang Zuoyin, ainsi que de nombreuses personnes de l’école aux côtés de Hu Ling, sont entrés de force chez Zhang, ils ont enlevé le portrait du fondateur du Falun Gong et ont obligé Zhang à suivre un programme de lavage de cerveau.

Les fonctionnaires du centre de lavage de cerveau interdisaient aux gens de parler des principes de Falun Dafa et de dire à haute voix « Vérité, Compassion, Endurance » ou bien « Falun Dafa est bon ». Ils traitaient ceux qui le disaient de malades mentaux. Ils obligeaient les pratiquants de Falun Dafa à regarder des émissions et des films de propagande qui diffamaient le Falun Gong. En cas de refus, les autorités ligotaient les pratiquants et les torturaient, tout cela dans le but de leur faire renoncer à « Vérité, Compassion, Patience ».

Un groupe de fonctionnaires l’a surveillée de près et l’a empêchée de dormir. Ils ont harcelé Zhang sans relâche, et ils lui ont continuellement injecté des drogues nocives qui endommagent le système nerveux central. En conséquence, son corps était bouffi à cause des drogues et sa bouche était déformée. Cependant, le responsable d’équipe des policiers, Tian Ming, a dit : « Zhang Lieju, tu es dans cet état là parce que tu pratiques le Falun Gong. Ne meurs pas ici et ne dit pas que c’est de notre faute. » Leurs actions ont été si diaboliquement indescriptibles ! Zhang Lieju s’est trouvée au seuil de la mort à plusieurs reprises à cause de la torture inhumaine qu’elle a subie. Si elle n’avait pas pratiqué le Falun Gong, elle serait déjà été morte.


Note:
(1) Yuan: 500 yuan est le salaire mensuel moyen d’un ouvrier urbain en Chine
(2) « Déclaration de Garantie » : Une déclaration qui stipule qu’il ou elle est plein de remords de pratiquer le Falun Gong et garanti qu’il ou elle ne pratiquera plus le Falun Gong, n’ira pas faire appel à Pékin et ne fréquentera plus jamais les pratiquants.

Traduit en France le 07/09/04

Version chinoise disponible sur http://www.minghui.org/mh/articles/2004/8/15/81839.html
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/9/3/52038p.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.