L’Epoch Times
1er septembre 2004
Une pratiquante de Falun Gong âgée montre une méthode de torture utilisée sur les pratiquants de Falun Gong en Chine, le 29 août 2004, devant le Waldorf Hotel. Le dernier communiqué de pressed du Centre d’Information de Falun Dafa contient des preuves choquantes sur comment la persécution détruit des vies . (ClearWisdom.net) |
Les photos récemment publiées par le Centre d’Information du Falun Dafa à New York (FDI) , montrent l’image des résultats humains de la persécution du Falun Gong sanctionnée par l’état à travers deux victimes, Mme Wang Xia et M. Zhang Zhong.
Selon des rapports du FDI, Mme Wang, incarcérée dans un camp de travail force (Laogai) en Mongolie pour avoir ouvertement parlé du Falun Gong en public, s’est vue injecter des drogues inconnues, gavée de force, électrocutée au bâton électrique, suspendue et battue après avoir fait une grève de la faim protestant de sa détention. Wang qui pesait 60 kilos n’en pèse plus que 24 et a des difficultés à garder conscience.
Des témoins oculaires ont dit au FDI qu’alors que Wang était encore en détention policière un fonctionnaire de la prison a dit à plusieurs gardes, « Emmenez la à l’incinération. »
Le FDI dit que M. Zhang Zhong, arrêté en 2002, avait essayé de dénoncer les abus des droits de l’homme contre les pratiquants de Falun Gong en interceptant un cable TV pour diffuser des programmes sur la pratique interdite.
Après avoir été arrêté, Zhang a été menotté, suspendu, et piqué avec des aiguilles jusqu’à ce qu’il vomisse du sang, et il ne peut plus rien digérer de solide et vomit tout ce qu’il mange.
En dépit d’efforts internationaux pour inspecter les conditions des camps de travail forcé en Chine, le gouvernement chinois persiste à refuser d’autoriser de telles inspections. De nombreux activistes des droits de l’homme , des journalistes et d’autres en Chine qui ont essayé de révéler les violations des droits de l’homme des camps de travail forcé en Chine ont eux-mêmes étaient capturés et incarcérés pour "révélation de secrets d’état."
Le FDI rapporte que bien qu’ils n’aient pas été capables de prendre aucun enregistrement vidéo ou preuves photographiques de la torture au moment où elle se produisait, des dizaines de photographies de victimes blessées ont été prises et montrées au monde après que les victimes aient été relâchées parce qu’elles étaient au bord de la mort.
http://english.epochtimes.com/news/4-9-1/23045.html
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