L'après-midi du 29 juillet 2003, le camp de travaux forcés de Baoding dans la province du Hebei a mené un soi-disant « test » sur les pratiquants de Falun Gong. De nombreux gardiens ont saisi des bâtons et des matraques électriques pour mener à bien cet « examen ». L'examen en question a été créé pour calomnier Dafa. Quand les pratiquants de Dafa répondaient aux questions, s'ils ne répondaient pas avec les réponses « standard » stipulées, les gardiens utilisaient les matraques électriques pour les menacer afin qu'ils révisent leur réponse. S'ils ne révisaient pas leur réponse, les gardiens utilisaient les matraques électriques pour leur causer des électrochocs ou utilisaient les bâtons pour les frapper à l'abdomen et à la poitrine. A ce moment-là, Ma Xinshun et plus de dix autres pratiquants de Dafa ont été frappés.
L'après-midi du 30 juillet, les gardiens ont appelé Ma Xinshun au bureau et l'ont forcé à dire que Falun Dafa n'était pas bon. Il a fermement refusé de dire cela. Alors, plusieurs gardiens l'ont assailli et l'ont frappé. Deux d'entre eux l'ont pris et l'ont frappé à la poitrine et dans le bas de l'abdomen avec des bâtons et des matraques électriques. Par conséquent, tout son corps a été gravement blessé. Voici les sept gardiens, ce sont Li Dayong, Liu Yuesheng, Liu Qingyong, Zhang Qian, Li Mingzhi, Liu Zhe et Wang Lei.
Le gardien Zhang Qian a ligotté le pratiquant de Dafa Bian Liangjing avec une fine corde. Après l'avoir ligoté très serré, il a inséré une bouteille sous la corde, ce qui a eu pour conséquence d’incruster la corde dans la chair. Le sang de M. Bian a rougi la corde. Les gardiens ont entièrement déshabillé M. Bian et ils l’ont choqué avec les matraques électriques. Ils lui ont fait des chocs au bout du pénis et à l'anus, ayant pour conséquence qu'il lui est devenu extrêmement difficile de se soulager. Le bout du pénis a été presque entièrement brûlé à cause des graves électrochocs. Même aujourd'hui, la blessure est encore là. Pour couvrir leurs crimes, les gardiens du camp de travaux forcés de Baoding ont envoyé M. Bian dans la chambre d'un gardien quand de plus hautes autorités ont visité le lieu. Ils ne lui ont pas permis de contacter d’autre personne. Ils ne lui ont pas permis de prendre ses repas à la cafétéria. Ils avaient peur qu'on expose leurs actes de persécution haineuse. Quand le gardien Zhang Qian faisait des électrochocs avec les matraques électriques, il riait sauvagement et avait abandonné tout semblant de nature humaine.
Traduit en Europe le 12 août 2004
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/8/2/50934p.html
http://www.minghui.org/mh/articles/2004/7/16/79544.html
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