Mme Zhong Fangquiong, une pratiquante de la ville de Chengdu, dans la province de Sichuan avait commencé à pratiquer le Falun Dafa en mars 1999. Après deux mois de pratique toutes ses anciennes maladies avaient disparues. Mme Zhong Fangqiong a fermement persisté dans la pratique du Falun Dafa, même après le mois de juillet 1999, lorsque des malfrats du poste de police de Wannianchang de la ville de Chengdu sont venus piller sa maison. En tout, ils l’ont enlevée et détenue 14 fois.
Parce que Mme Zhong Fangqiong a écrit un article qui exposait les mensonges d’un reportage de télévision diffamatoire sur elle, elle a été condamnée à une année de camp de travaux forcés. Sa peine a plus tard été prolongée de trois mois. Dans le but de s’échapper, Mme Zhong Fangqiong a sauté du 4ème étage d’un bâtiment dans le camp de travaux forcés. Elle s’est fracturée le bassin et la jambe droite, s’est blessée à son pied gauche et le bas de son corps est resté paralysé. L’horrible persécution l’a réduite physiquement à de la chair sur les os. Son poids est passé d’environ 60 kg à 33 kg.
En septembre 2002, Liu Weishan, pratiquante de Falun Dafa et employée d’une usine de Hanjiang dans la ville de Xiangfan, a été illégalement envoyée au camp de détention numéro un de la ville de Xiangfan pour avoir expliqué les faits du Falun Gong aux gens. Liu Weishan a refusé de coopérer avec les scélérats et a fait une grève de la faim pendant 40 jours. Ils l’ont secrètement condamnée à 4 ans de prison et l’ont envoyée à la prison pour femmes de la ville de Wuhan. A force de subir des tortures sauvages, Lui Weighang a craqué nerveusement. Actuellement elle est décharnée et en condition critique. Dans le but de l’humilier, les gardiens ont rasé sa tête, et tous les quelques jours l’emmènent dans une clinique pour lui faire subir des injections. Ils l’ont aussi attachée à une clôture métallique pour de longues durées. Sa vie est en danger.
La pratiquante de Falun Gong Mme Shui, une policière en chef de la ville de Nanjing, a été enlevée et envoyée dans une classe de lavage de cerveau. Les autorités ont pillé son domicile beaucoup de fois. Son téléphone a été mis sur écoute, on la suivait partout où elle allait et les malfrats du comité de la rue et la police locale se sont souvent rendus à sa maison pour la harceler. Ils ont aussi ordonné à ses voisins de la surveiller. Son fils aîné a été détenu pendant 15 jours et sa maison a été pillée. Son deuxième fils a été détenu pendant 48 heures. Les cheveux de son mari sont devenus blancs à cause de son inquiétude et des angoisses. Un groupe d’officiers de police, mené par le chef Xia du département de police de la ville de Nanjing a pillé sa maison et a persécuté sa famille.
Zhang Xiansheng, une pratiquante de Falun Dafa de la ville de Fushun donne ci-dessous un compte rendu de ses propres expériences de persécution : « j’ai été arrêtée le 13 février 2002 [Calendrier lunaire chinois] pendant que je distribuais des prospectus et j’ai été envoyée au centre de détention du comté de Kuandian, où l’on m’a détenue pendant 34 jours. Plus tard j’ai été condamnée à trois ans de camp de travaux forcés ou j’ai été obligée de travailler dur chaque jour. Parfois le travail durait jusqu’à minuit. Les gardiens m’ont souvent violemment giflée et m’ont électrocutée avec des matraques électriques. Je me suis échappée du camp le 28 août 2003, mais je n’ai pas pu rentrer à la maison. »
« Mon nom est Yang Yuchen. Je suis âgée de 52 ans, pratique le Falun Dafa et viens de la ville de Fushun. J’ai été enlevée trois fois et envoyée dans un centre de détention. En plus j’ai été envoyée trois fois au camp de travaux forcés de la ville de Shenyang. J’ai été condamnée deux fois aux camps de travaux forcés. J’ai été détenue dans le camp de travaux forcés de Masanjia dans la ville de Shenyang pendant une année, suivis de deux années de détention au camp de travaux forcés de la ville de Fushun. Au camp de travaux forcés de Masanjia, je devais me lever avant l’aube chaque matin, pour travailler sans arrêt jusqu’à 21 heures. Nous étions souvent forcées à faire du travail supplémentaire et tenus de respecter scrupuleusement les délais impartis. Les gardiens n’arrêtaient pas de me punir corporellement. Ils m’ont aussi forcée à me tenir debout et accroupie pendant de longues périodes. Dans le camp de la ville de Fushun ils ont utilisé d’autres méthodes ; les cicatrices en témoignent aujourd’hui encore.
Version anglaise disponible à : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/3/7/45820p.html
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