L'Association Psychiatrique Mondiale s'apprête à enquêter sur l'Abus Psychiatrique contre les pratiquants de Falun Gong en Chine

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[Notes de l'éditeur: d'après les dernières nouvelles, la Chine a dit remettre le voyage à dans 3 mois à WPA.]

D'après le message envoyé par une ONG établie l'année dernière à New York, La surveillance Psychiatrique de Chine, ceci suite au message du mois dernier, un plan pour une rencontre commune (visite) WPA et SP à Beijing le 4 avril 2004 a été accepté par le Ministre chinois de la Santé et le CSP pour examiner les registres, interviewer les malades et leurs familles ou les docteurs qui ont été impliqués dans l'examen de ces malades après avoir obtenu leur consentement et accéder à ce qui est exigé pour ces cas qui ont été prétendument soumis aux abus psychiatrique.

Cette délégation sera un détachement technique spécial, indépendant, impartial

La Surveillance Psychiatrique de Chine a fait remarquer qu'en juillet 1999, le gouvernement chinois sous la direction de Jiang Zemin a commencé une répression du mouvement spirituel Falun Gong à l’échelle du pays tout entier. Pendant cette campagne politique ces quatre années passées, avec le but de changer la croyance des gens, le gouvernement a recouru à sa machine de propagande, au contrôle financier, à la terreur et à la violence pour persécuter sauvagement les Pratiquants de Falun Gong en Chine continentale. Pendant cette période, l'usage d'hôpitaux psychiatriques et le mauvais emploi de la psychiatrie dans l’abus des Pratiquants de Falun Gong par le gouvernement a été une cause de grande inquiétude pour les groupes des droits de l'homme internationaux, les organisations de santé mentale et les professionnels qui s'inquiètent du développement de la psychiatrie en Chine. L'Association Psychiatrique américaine, le Collège Royal Psychiatrique au Royaume-Uni et l'Association Psychiatrique Mondiale ont adopté des résolutions pour demander à la Chine de cesser de persécuter les Pratiquants de Falun Gong et les dissidents politiques par les moyens psychiatriques, et envoyé des délégués pour enquêter sur la situation.

Cette délégation sera un détachement technique spécial, indépendant, impartial, totalement soutenu financièrement par les fonds centraux du WPA, visant à parvenir aux réponses appropriées pour l'abus psychiatrique présumé sur les Pratiquants de Falun Gong. Accomplir cette mission avec succès clôturera un conflit de longue date et mènera à formuler des recommandations qui seront présentées à l'assemblée générale pendant le XIII WCP au Caire, en Egypte du 10 au 15 septembre, 2005.

Actuellement, les gens ne comprennent pas complètement l'abus psychiatrique des Pratiquants de Falun Gong par le gouvernement chinois

La surveillance Psychiatrique de Chine a affirmé plus loin que L'Initiative de Genève en Psychiatrie, une organisation qui a joué un rôle important dans l’arrêt des abus psychiatriques de dissidents politiques en ex- URSS, a conjointement publié le livre Esprits Dangereux avec Human Rights Watch qui décrit l'abus psychiatrique de Pratiquants de Falun Gong par la Chine en détail. Cependant, l’homme de la rue n'est pas informé de l'étendue et de l’ampleur de la cruauté perpétrée dans cette persécution.

Les méthodes de torture comprennent l’enfermement de force de Pratiquants de Falun Gong sains dans des hôpitaux psychiatriques et l’injection de drogues psychiatriques fortes qui endommagent sévèrement leurs systèmes nerveux centraux , leurs fonctions les plus vitales et même mènent à la mort. De grands groupes de Pratiquants de Falun Gong sont envoyés en centres de rééducation pour toxicomanes, en hôpitaux psychiatriques ou en camp de travail où ils sont isolés de l'extérieur, privés de sommeil, forcés de regarder des vidéos de conditionnement mental et torturés pour réformer " leurs esprits. Le gouvernement fait aussi passer à la télé et dans les journaux, des malades psychiatriques violents et sadiques pour des Pratiquants de Falun Gong afin de tromper le public et inciter la haine contre le Falun Gong. Le gouvernement a ordonné à des " experts " et des " savants " qui manquent d'éthique professionnelle de créer des théories et de tromper le public afin de justifier et de dissimuler la persécution.

L’enquête préliminaire de Pratiquants de Falun Gong qui ont souffert les tortures dans les camps de travail chinois et ont été plus tard secourus et envoyés à l’étranger montre, bien qu'ils aient vécu dans les pays libres et démocratiques pendant deux ou trois années, qu’ils présentent encore des symptômes post - traumatique, y compris des cauchemars et des perturbations du sommeil. Leurs souvenirs de souffrances passées et leur réaction à celles ci et leur fuite devant les choses qui leur rappellent leurs expériences traumatisantes affectent leur santé et leur capacité de mener une vie normale.

La Chine a réussi à dissimuler ses crimes en organisant la visite pré - arrangée des camps de travail par les journalistes étrangers

Le 7 juillet 2001, la version web du Taipei Times a publié un article de Zhang Qingxi, un professeur du Département d’Économie de l’Université Nationale de Taiwan et Zhang Jinhua du Département de Journalisme de la même école qui raconte que le gouvernement chinois invitait des journalistes Occidentaux à visiter des camps de travail pré - sélectionnés. L'article déclarait " pour prouver à l'extérieur qu’ils n'ont pas persécuté de Pratiquants de Falun Gong, Beijing a récemment invité des journalistes Occidentaux, y compris des journalistes de Taiwan, de Hong-Kong et de Macao, pour visiter le camp de travail de Masanjia dans la Province de Liaoning et le camp de travail de Tuanhe à Beijing ".

La Chine a accusé les Pratiquants de Falun Gong d'outre-mer de fabriquer des accusations contre les camps de travail chinois. Pendant cette visite, les journalistes de Taiwan n'ont pas détecté une trace de terreur dans le camp de travail. En fait, ils ne ressemblaient pas du tout à des camps de travail. Le South China Morning Post a décrit la visite comme " une exposition magnifique dans une prison de rêve ". Le journaliste a entendu de la musique douce et sentit de l'air frais, un cerf docile errait dans la roseraie, et les poulets et lapins couraient alentour.

L'article signalait, « à part cette visite manipulée, quelles autres libertés ces journalistes de mondes libres ont-ils en Chine » ?

Les survivants dans le monde libre rappellent aux gens les visites « blanchies » des camps de travail

En novembre 1999, la pratiquante de Falun Gong Dr Tang Jian est revenue en Chine pendant ses vacances. Pendant qu'elle était à l'appartement d'un ami dans la Ville de Guangzhou, Province du Guangdong, bavardant avec quelques pratiquants de Falun Gong, la police est entrée et les a tous arrêtés sans montrer aucun document légal. Elle a été détenue pendant quinze jours; en premier au Centre de Détention de Tianhe, et ensuite au Centre de Détention de Yuexiu, simplement parce qu'elle était pratiquante de Falun Gong. Au Centre de Détention Tianhe elle a commencé une grève de la faim pour protester de sa détention illégale et récupérer sa liberté. Les gardes l'ont pressée à terre et lui ont mis des chaînes aux pieds. Ils ont alors inséré un grand tube plein d'eau hautement concentrée en sel dans sa bouche, et ont tenu son nez serré afin qu'elle ne puisse respirer jusqu'à ce qu'ils aient forcé tout le liquide salé dans son estomac. Elle a presque suffoqué à mort pendant cette procédure, et son estomac était si douloureux qu'elle a vomi longtemps après.

Elle s'est sentie très triste après avoir lu l'histoire, « la Chine montre le Camp Défendu aux Journalistes » , dans le journal du 23 mai 2001, parce qu’il est assez possible que plus de gens innocents soient torturés et tués à la suite de la publication répandue de cet article dans la presse occidentale. Elle a dit, « Ma propre expérience en tant que pratiquante de Falun Gong dans un Centre de détention me dit que le Gouvernement chinois a mis en scène la « visite » médiatique du Camp de travail de Masanjia pour tromper le monde »

Le gouvernement Communiste Chinois a une longue histoire de dissimulation de toute mauvaise chose qu’ils ne veulent pas que le monde voit. Ils insistent que personne n’a été exécuté pour des croyances politiquement incorrectes pendant la Révolution Culturelle, et qu'aucun étudiant n’a été tué sur la place Tienanmen le 4 juin 1989. Maintenant ils disent qu'aucun Pratiquant de Falun Gong n’a été torturé au Camp de travail de Masanjia. Si un gouvernement est disposé à peindre l'herbe pour impressionner et tromper le Comité Olympique International, n’est il pas possible de camoufler ce qu'il fait aux Pratiquants de Falun Gong dans ses camps de travail ?

Le gouvernement Nazi à l'époque de la seconde guerre mondiale en Allemagne a organisé une visite/spectacle des camps de concentration pour détourner l’attention croissante. Ce même gouvernement a organisé les jeux olympiques de 1936 pour plier l'opinion mondiale en sa faveur. Maintenant, nous voyons, le gouvernement de Jiang Zemin qui organise une exposition semblable dans ses camps de travail seulement quelques décennies plus tard. Pendant ce temps, la Chine est prête à tout pour gagner les Jeux Olympiques 2008, parce que Jiang Zemin croit que les Jeux pourront, comme une visite/spectacle efficace des camps, donner la légitimité qu'il cherche à son régime brutal. Nous devrions mieux le savoir maintenant.

Le SARS en Chine reste une énigme

D'après le journaliste de Liberty Times Chu Jingwen le 6 juin 2003, rapport de Taipei, le 5 juin, le Bureau de la Sécurité National à Taiwan a tenu une réunion de bureau à propos de l'épidémie de SRAS. D'après les renseignements que le Bureau de la Sécurité Nationale de Taiwan a en main, l'épidémie est encore sévère en Chine continentale cependant le gouvernement chinois continue à mentir comme il déclare que des rapports sont faits sur les régions de baies, les régions intérieures ont zéro cas, et les organisations de la Santé Mondiales n'ont pas envoyé d'inspecteurs en Chine. Utilisant Datong, Province de Shanxi, comme exemple, le nombre de morts là-bas d'après le Bureau de la Sécurité Nationale de Taiwan dépasse les 70, mais d'après le gouvernement chinois, il est de sept.

Le rapport dit que les fonctionnaires du Bureau de la Sécurité Nationale de Taiwan ont fait remarquer que des infections explosives de la communauté ont frappé à Beijing, mais la Chine a bloqué les nouvelles apparentées. Une pandémie à l’échelle de la communauté a touché Beiyuanjiayuan dans le District de Chaoyang, Beijing, mais les malades ont été transportés hors de la ville pour traitement pour dissimuler l'épidémie. La situation dans la Ville de Shenyang était aussi très sérieuse, mais le Ministère chinois de la Santé n'avait pas d’information là-dessus.

Le 26 mai 2003, un sujet du magazine Time a révélé comment Shangaï a intentionnellement violé les politiques de l'organisation Mondiale de la Santé en utilisant des critères beaucoup plus stricts en diagnostiquant le SRAS afin de maintenir des chiffres bas. Le magazine a dit que le gouvernement de Shangaï a promis au WHO qu'il changerait son critère pour diagnostiquer le SRAS, mais le vrai chiffre de cas reste à voir. Un mois avant que le rapport ait été publié, les experts de WHO ont dit que Shangaï a suivi des critères internationalement convenus de mesures sanitaires, mais deux jours plus tard les fonctionnaires de la santé locaux de Shangaï ont notifié au personnel d'hôpital que les anciens critères de diagnostic ne changeraient pas. Quand les centres commerciaux de Chine tel que Shangaï, Guangzhou et Beijing ont été sévèrement affectés par le SRAS, seulement onze cas suspects, sept cas invétérés et deux cas de mort ont été rapportés à Shangaï. Par contraste, Beijing a annoncé que les gens qui ont intentionnellement propagé le virus du SRAS peuvent être condamné à mort.

Il mérité d’être signalé que les nouvelles de l'explosion du SRAS dans la Ville de Guangzhou ont été au début envoyées partout dans le pays à travers les téléphones cellulaires privés que le gouvernement n'avait cependant pas encore censurés.

Les journalistes occidentaux exposent avec succès les cas antérieurs de persécution

Comme le gouvernement chinois censure la circulation de l’information, il dit publiquement à ses citoyens qu’ils peuvent éviter de contracter le virus mortel en se lavant les mains et en portant un masque. Il prétend aussi que les Pratiquants de Falun Gong qui ont été torturés à mort dans les camps de travail et soumis à des classes de lavage de cerveau « sont morts de maladie de cœur ou se sont suicidés » .

Bien sûr, toute la vérité n’a été pas dissimulée. Ian Johnson, un ancien correspondant du Wall Street Journal à Beijing qui a gagné le Prix Pulitzer 2001 de reportage International pour ses essais journalistiques sur le Falun Gong. Il a écrit une série de rapports sur la mort par torture de Mme Chen Zixiu, une employée retraitée d’une compagnie de pièces automobiles. Ces rapports ont été publiés le 20 avril 2000.

Le rédacteur en chef du Wall Street Journal, Paul Steiger, a commenté que les rapports de Johnson étaient « un exemple fantastique de courage et de détermination, obtenir une histoire face aux fortes pressions de la police contre le reportage, combiné avec une écriture très sensible et puissante » . Il a aussi signalé que pour empêcher la surveillance de la police et le harcèlement, Johnson devait souvent contourner des villes, changeant constamment ses numéros de téléphone cellulaires et habitant dans les maisons de familles ordinaires.

Finalement, il a été capable de raconter une histoire émouvante, tâchée de sang au monde sur comment des gens ordinaires sont torturés et réprimés par la machinerie d’état de Chine. Après avoir complété les rapports, Johnson a quitté la Chine où il ne pourra jamais plus être correspondant.

Aux pratiquants de Dafa, Appel à fournir plus de détails sur la persécution dans les hôpitaux psychiatriques et les centres de réhabilitations des drogués

Arrêter la persécution est la responsabilité de pratiquants de Dafa, par conséquent, les éditeurs espèrent que davantage de Pratiquants de Falun Gong et leurs familles en Chine pourront courageusement utiliser leurs vrais noms et fournir des détails au sujet de leurs souffrances dans les hôpitaux psychiatriques et les centres de réhabilitations pour drogués.

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