Des fonctionnaires du PCC : "Nous vous apportons un complément nutritionnel en prélevant votre sang" (1ère partie)

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L'histoire du Parti communiste chinois (PCC) au cours des dernières décennies est une trajectoire tachée du sang de ses tactiques brutales. De la saisie d'entreprises privées (années 1950) et du ciblage des propriétaires fonciers lors de la réforme agraire (années 1950) aux attaques contre les intellectuels lors de la campagne anti-droite (fin des années 1950), la Révolution culturelle (1966-1976), le massacre de la place Tiananmen (1989). la persécution du Falun Gong (depuis 1999) et les confinements de style militaire liés au COVID-19, il y a eu des tragédies et des larmes à n'en plus finir.

Mais beaucoup de gens n’en sont pas conscients. Parce que le PCC les a soumis à un tel lavage de cerveau , certains jeunes défendent même les mesures sévères du régime. Connus sous le nom de « Petits Roses », ils ne savent pas que la brutalité du PCC finira tôt ou tard par balayer tout le monde – ce n'est qu'une question de temps. La lecture des exemples suivants de mauvais traitements infligés aux adeptes du Falun Gong pourrait les aider à comprendre la réalité.

Deux policiers ont rendu visite à son domicile à M. Sun Juru, un pratiquant de Falun Gong de 88 ans, de la ville de Zhoushan dans la province du Zhejiang, le 3 juillet 2020. Ils ont dit qu'ils étaient là pour prélever un échantillon de son sang. Lorsque M. Sun a demandé pourquoi, l'un des agents a répondu : « Nous vous apportons de cette façon un complément nutritionnel . »

Depuis que le PCC a commencé à réprimer le Falun Gong en juillet 1999, le système d'application de la loi a été utilisé de manière abusive pour persécuter des pratiquants innocents. Vous trouverez ci-dessous d'autres exemples de remarques de type hooligan faites par des fonctionnaires du PCC à des pratiquants comme M. Sun, recueillis par Minghui.org au cours des cinq dernières années.

Des propos choquants en plus d’un traitement brutal

« Nous pouvons vous arrêter et vous tabasser à tout moment ! »

M. Deng Chuanjiu, un pratiquant de la ville de Penghou, province du Sichuan, a été condamné à quatre ans de prison en 2017. Cependant, à l'expiration de sa peine, des agents du bureau 610 de Pengzhou sont venus le chercher à la prison pour le maintenir en détention au lieu de le libérer.

Liao Xiaohui, maire adjoint de la municipalité de Gexianshan où vivait M. Deng, l'a battu en public. « Je sais que je ne vous convaincrai pas en raisonnant, » a dit Liao, « alors je vais juste vous battre. Signez les déclarations maintenant [pour renoncer à votre croyance] ! » M. Deng ne s'est pas exécuté.

Environ un mois après avoir libéré M. Deng, Liao et trois autres policiers l'ont de nouveau arrêté chez lui dans la soirée du 22 novembre. Ils l'ont torturé, le laissant couvert d'echymoses. Alors que les fonctionnaires fouillaient sa maison, Liao a dit à la famille de M. Deng : « Ce n'est que le début. Nous pouvons vous arrêter et vous battre à tout moment !»

Un policier : « Je suis dépravé, je veux juste frapper les gens. »

Mme Wang Juan est une pratiquante de la ville de Changsha, dans la province du Hunan. Alors qu'elle quittait son domicile à 6 heures du matin le 28 février 2022, elle a été arrêtée et emmenée au commissariat de Wenyilu et brutalement battue. Je suis une bonne citoyenne. Pourquoi me gardez-vous au sous-sol et me battez-vous ?" a-t-elle demandé.

Un des agents a donné un faux nom et a déclaré : « J'ai démissionné et aujourd'hui est mon dernier jour. Je suis dépravé, je veux juste frapper les gens ! » D'autres policiers sont intervenus, lui ordonnant d'abandonner sa croyance dans le Falun Gong ; sinon, ils l'enverraient en prison.

Les policiers ont également forcé Mme Wang à passer un examen physique et ont continué à la battre tout au long du soi-disant examen. Après que Mme Wang soit rentrée chez elle 15 jours plus tard, elle a été continuellement surveillée par les agents locaux d'enregistrement des ménages.

Un policier : « Je ne porterai aucune responsabilité si je vous bats à mort. »

M. Chen Zaishan était un pratiquant octogénaire de la ville de Haiyang, dans la province du Shandong. Il a été arrêté le 9 novembre 2018, alors qu'il travaillait dans les champs.

À l'intérieur du commissariat de police de la zone de développement, un policier a très violemment battu M. Chen. Lorsque ce dernier a demandé pourquoi il battait si violemment un vieil homme innocent, le policier a répondu : « C'est parce que vous êtes un pratiquant de Falun Gong. Je ne porterai aucune responsabilité si je vous bats à mort. M. Chen a ensuite été libéré.

Détenus : « Nous allons vous estropier, vous guérir et vous estropier à nouveau. »

Dans la province du Guangdong, M. Wu Haibo, 59 ans, travaillait pour une entreprise pharmaceutique dans la ville de Zhanjiang. Il a été condamné à cinq ans de prison à la prison de Sihui, dans la province du Guangdong, par le tribunal de Xiashan en juin 2016

Les gardiens et les détenus ont torturé M. Wu sans merci. Il a été forcé de rester accroupi pendant une longue période de temps et privé de sommeil. Il n’avait pas accès aux toilettes et subissait des humiliations incessantes. À l’instigation des gardiens, un détenu a déclaré : « Nous allons vous estropier, vous guérir et vous estropier à nouveau. »

Remarques menaçant la vie

« Vous pouvez mourir maintenant »

Mme Zhang Luchan a commencé à travailler comme concierge sur un pont du fleuve Jaune près de la ville de Lanzhou, dans la province de Gansu, en octobre 2020. Des policiers du bureau de la sécurité intérieure du nouveau district de Lanzhou l'ont harcelée sur son lieu de travail. L'instructeur politique, Wang Daowen, a déclaré qu'ils rendraient la vie de Mme Zhang "pire que la mort".

Le 17 septembre 2021, Wang a menacé de faire pression sur le directeur de Mme Zhang pour qu'il la licencie. Il lui a dit : "J'ai envie de vous pousser du haut du pont".

Deux jours plus tard, Wang est revenu et a dit à Mme Zhang : "La campagne visant à maintenir la ville propre dans le but de gagner le titre de "ville civilisée" est terminée. Vous pouvez mourir maintenant." Il a menacé d'emmener Mme Zhang dans un centre de lavage de cerveau situé dans le nouveau district de Lanzhou.

« Si vous disparaissez alors je n'aurai plus ces ennuis »

M Wang Xiuhua, une pratiquante de la ville de Lanzhou, province du Gansu, a été appelée à l'administration du quartier le 1er juin 2021. Un policier du nom de Lu a dit qu'ils l'enverraient dans un centre de lavage de cerveau.

Mme Wang a dit qu'elle essayait de devenir une meilleure personne en suivant le principe Vérité-Bonté-Tolérance, et qu'elle n'avait rien fait de mal. Le policier est devenu furieux et a dit : « Ne vous avisez pas de crier « Falun Dafa est bon » et « Vérité-Bonté-Tolérance est bon ». Si vous le faites, je vous arrête sur le champ! »

"Si vous disparaissez dans quelques jours, je n'aurai plus à m'occuper de vous et je n'aurai plus à subir ces problèmes", a-t-il ajouté. En Chine communiste, si le "Je vais te marteler jusqu'à ce que mort s'ensuive"Parti veut que quelqu'un "disparaisse", cela signifie que cette personne "disparaîtra sans laisser de traces". Cela correspond à la politique du bureau central 610 du PCC, qui a décidé d'"éliminer physiquement" les adeptes du Falun Gong lorsque la répression a commencé en 1999.

"Je vais te marteler jusqu'à ce que mort s'ensuive"

Mme Peng Jie a pris sa retraite de l'usine de machines Jianglu dans la ville de Xiangtan, province du Hunan. Elle a été arrêtée et emmenée au commissariat de Wanlou à 7 heures du matin le 18 août 2020. Luo Kaiqiang et Sun du bureau de la sécurité intérieure l'ont interrogée.

Parce que Mme Peng a souligné que la police utilisait des lettres sur le Falun Gong provenant d'autres sources pour fabriquer des preuves contre elle, Luo s'est mis en colère et a menacé de marteler Mme Pengher à mort. Lui et Sun lui ont ordonné de signer les photos fabriquées, mais elle a refusé.

Le directeur d'un commissariat : "Je vais vous abattre"

Mme Li Lihong est enseignante dans un collège de la municipalité de Ningxiang, province du Hunan. Pour avoir parlé du Falun Gong aux gens, elle a été arrêtée le 23 juillet 2021 par les agents du commissariat de Baimaqiao et détenue pendant 7 jours.

Zhang Jie, directeur du commissariat, frappait souvent la tête de Mme Li avec un doigt, en criant : « Je vais vous abattre.»

« Je vous battrai à mort si vous revenez ici »

Mme Zhou Shuying est une pratiquante octogénaire de la ville de Yantai, province du Shandong. Elle et un autre pratiquant sont allés à une foire communautaire dans la ville de Penglai le 14 novembre 2021 et ont parlé aux gens du Falun Gong. Un policier en civil a arrêté Mme Zhou et l'a emmenée au commissariat de Nanwang. Bien que la police ne l'ait pas arrêtée en raison de son âge, ils ont menacé de la battre à mort si elle revenait.

« Quiconque poursuivra Jiang Zemin en justice sera arrêté et tué »

Zheng Yong, un policier de la ville de Pengzhou, province du Sichuan, et d'autres fonctionnaires, dont le responsable du réseau Li Dan, sont allés harceler plusieurs pratiquants de Falun Gong le 18 juillet 2019.

Les pratiquantes ciblées comprenaient Mme Yang Shiying, Mme Yang Jifang, Mme He Xuelan et Mme Wang Errang. Les fonctionnaires ont fouillé leurs appartements et pris des photos. Yang a décollé les couplets de phrases sur la porte de Mme Yang et a averti : « Quiconque poursuivra Jiang [Zemin, l'ancien chef du PCC qui a ordonné la persécution] sera arrêté et tué.

« Vous auriez dû mourir il y a longtemps »

Mme Wei Denghui de la ville de Chengdu, province du Sichuan, était une ancienne instructrice à l'Université du Groupe chimique du Sichuan. Elle a été convoquée au commissariat de Shuicheng le 19 août 2022 et interrogée par Chen Fugang du département de police du canton de Jintang.

Mme Wei a refusé de répondre à toute question et a souligné que M. Chen essayait de la faire "avouer". "J'ai déjà été gentil avec vous parce que je ne vous ai pas passé les menottes", a répondu M. Chen. "Le PCC vous traite si bien en vous donnant un salaire et en maîtrisant la pandémie. Pourtant, vous-vous y opposez toujours. Vous auriez dû mourir depuis longtemps."

Menaces de préjudice physique

« Je vais vous casser les doigts »

En plus de la violence physique et du stress mental, les fonctionnaires du PCC intimident les pratiquants en leur faisant subir encore plus de dommage et de souffrance. Trois pratiquants du canton de Baoding (Mme Zhang Shuping, M. Xia Hongmin et Mme Ji Xianglan) se sont rendus au marché fermier de la ville de Laishui le 20 janvier 2021 pour expliquer aux gens les faits à propos du Falun Gong.

Après avoir arrêté les pratiquants et les avoir emmenés au commissariat de Laishui, la police les a attachés sur des chaises métalliques et a collecté leurs empreintes digitales et leurs empreintes de pieds. Un policier a dit à Mme Zhang et à Mme Ji : « Si vous refusez de nous laisser prendre vos empreintes digitales, je vous casserai les doigts. »

Le secrétaire du parti d'un village : "Je vous congèlerai pendant 7 jours si vous osez pratiquer"

Mme Liao Mingxiang est une résidente de la ville de Mengyang, ville de Pengzhou, province du Sichuan. Yang Qiongying, secrétaire adjoint du Parti du village de Wangcun où vit Mme Liao, lui a dit : « Je vais vous congeler pendant 7 jours si vous osez pratiquer [le Falun Gong dorénavant] ».

« Vous ne pouvez pas quitter la communauté tant que vous n'avez pas signé la déclaration »

M. Gou Jiawen est un pratiquant de la ville de Chengdu, province du Sichuan. Quelqu'un a frappé à sa porte le matin du 15 septembre 2023. Lorsque M. Guo a demandé qui était là, la personne a répondu qu'il s'agissait de Luo Xiaoyong de l'administration de voisinage. Lorsque M. Gou a ouvert la porte, neuf personnes se sont précipitées à l'intérieur.

Ces fonctionnaires ont ordonné à M. Gou de signer une déclaration. L'un d'eux a dit : « Vous ne pouvez pas quitter la communauté tant que vous n'avez pas signé la déclaration de renoncement au Falun Gong. De plus, nous stopperont votre pension délivrée par le Bureau de la sécurité sociale. Plusieurs agents ont poussé son doigt sur un tampon encreur, puis ont appuyé son doigt sur la déclaration préparée. Ils ont ensuite saisi sa main et ont griffonné sur la déclaration.

Un agent du bureau 610 : « Nous poursuivrons votre fils pour toujours et il n'aura pas une vie normale »

Mme Yang Songli est une résidente du district de Shapingba à Chongqing. Zheng Guolun du bureau 610 de Jiangbei et quatre autres policiers se sont rendus chez elle le 12 avril 2023 pour arrêter son fils, M. Gao Yang, 39 ans. Constatant qu'il n'était pas là, Zheng a dit à Mme Yang, 67 ans : « Vous pouvez pratiquer le Falun Gong et améliorer votre santé puisque vous êtes vieille. Votre fils Gao Yang est encore jeune et il ne peut pas le faire.»

« Nous poursuivrons votre fils pour toujours et il n'aura pas une vie normale », a déclaré Zheng. « Nous l'aurons un jour. »

Un policier : « Vous êtes mon ennemi si vous êtes affilié au Falun Gong »

Mme Chen Qihua vit dans la commune de Zhihe, agglomération de Pengzhou, ville de Chengdu, dans la province du Sichuan. Le 2 août 2022, quelqu’un a frappé à la porte. Elle a ouvert et a vu le directeur et d'autres agents du commissariat de Zhihe, ainsi qu'une personne en blouse blanche et des gens de l'administration du quartier. Une policière a crié : « Venez et fouillez cet endroit ! »

Mme Chen a essayé de persuader les policiers de ne pas participer à la persécution. Avant qu'elle ait pu finir, le policier a crié : « Vous êtes mon ennemi si vous êtes affilié au Falun Gong. Je représente l’autorité de l’État et je peux prendre des mesures contre vous .»

Persécution financière

Dans les premiers jours de la persécution, Jiang Zemin a ordonné au Bureau 610 de maltraiter les pratiquants de Falun Gong : « Diffamez leur réputation, épuisez les financièrement et détruisez-les physiquement. » Vous trouverez ci-dessous quelques exemples de persécution financière.

« Ne pensez même pas à récupérer votre argent »

M. Zhao Baolie possède une entreprise dans la commune de Taocun, ville de Qixia, province du Shandong. Lorsqu'il s'est rendu dans la municipalité de Miaohou pour distribuer des documents sur le Falun Gong en 2017, il a été arrêté et emmené dans un centre de détention. La police a extorqué 20 000 yuans à sa famille et l'a libéré sous caution.

Lorsque la sœur cadette de M. Zhao a demandé quand les 20 000 yuans seraient restitués, le directeur de la police a répondu : « N'y pensez même pas [à récupérer l'argent] ».

« Payez 100 000 yuans et je la libérerai »

Mme Xuan Lifen est une pratiquante de la ville de Qian'an, province du Hebei. Elle a été arrêtée le 18 octobre 2021 et placée en détention.

Parce qu'un membre âgé de sa famille est décédé, la famille de Mme Xuan a insisté pour qu'elle soit libérée pour assister aux funérailles. Un policier a dit : « Payez 100 000 yuans et je la relâcherai. » La famille a dû reporter les funérailles de 12 jours jusqu'à ce que Mme Xuan ait fini de purger sa détention.

Extorsion de 240 000 yuans

Mme Liu Guohua, une pratiquante de la ville de Chengdu, province du Sichuan, a été arrêtée le 12 mai 2021. Les agents du département de police de Xindu et du commissariat de Banzhuyuan ont laissé entendre que la famille pourrait payer 240 000 yuans pour sa libération.

Liu Jian, un autre policier du commissariat de Guihu, a également exigé que la famille paie, mais ils n'ont pas obtempéré. Mme Liu a été condamnée à trois ans.

Secrétaire du Parti du village : « Un seul appel téléphonique et vous serez licenciée »

Mme Yang Shanrong est une pratiquante de Falun Gong de la commune de Mengyang, ville de Pengzhou, province du Sichuan. Trois agents du village, dont Chen Shichao et Tang Song, l'ont harcelée le 17 avril et le 12 septembre 2021.

Ils ont forcé la fille, le gendre et la petite-fille de Mme Yang à supplier Mme Yang de renoncer à sa croyance. Chen les a menacés : « Si j'appelle votre école ou votre employeur, vous serez expulsé de l'école ou renvoyé de votre travail. Vous décidez quoi faire. »

Un appel téléphonique et vous serez sans abri

M. Guan Ziping est un pratiquant de la ville de Lanzhou, province du Gansu. Des agents du district de Xigu et du commissariat de Hekounan l'ont emmené dans un centre de lavage de cerveau du district de Xigu le 18 mai 2021.

Plusieurs policiers, dont le secrétaire du Parti du district de Xigu et un soi-disant « expert en lavage de cerveau », ont calomnié le Falun Gong à tour de rôle de 9 heures du matin à 22 heures. « Un appel téléphonique de ma part vous rendra sans emploi et un autre vous rendra sans abri. Personne n’osera vous embaucher ou vous louer un appartement. Ils ont également menacé de s'en prendre à ses grands-parents, à ses enfants et à ses petits-enfants.

(À suivre)

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Version anglaise

https://en.minghui.org/html/articles/2024/2/6/214609.html

Version chinoise :

https://www.minghui.org/mh/articles/2024/2/4/强采血-耍无赖(上)-471797.html

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