[ Cette série en quatre parties de The Epoch Times décrit comment l'esprit peut nous maintenir en bonne santé ou nous rendre malades et propose des outils pour exploiter ce pouvoir. ]
Partie I : Ce que nous pouvons apprendre des scientifiques et des mystiques
Ce qui distingue la médecine allopathique occidentale de toutes les autres traditions de guérison sont deux concepts clés : la séparation de l'esprit et du corps et la notion que la nature peut être expliquée de manière matérialiste. D'autre part, toutes les traditions de guérison occidentales non allopathiques reconnaissent le lien inextricable entre la psyché et le soma. Le « mal-être » n'est pas limité au corps physique ; les pensées et les émotions sont quelques-uns des facteurs causaux. La guérison nécessite d'aborder ces éléments. Aller mieux ne consiste pas seulement à réparer le corps physique.
Les pensées sont de puissantes vibrations qui peuvent nous maintenir en bonne santé ou nous rendre malades. Les pensées négatives peuvent nous rendre malades et nous garder malades. Les pensées positives peuvent nous guérir et transformer nos vies. Ces concepts ne viennent pas du domaine de la pseudoscience. En fait, il existe un corpus considérable de recherches scientifiques qui peuvent soutenir ces principes.
Des chercheurs en physique et en ingénierie ont mené des expériences qui suggèrent les effets profonds de la conscience sur le monde matériel : comment nos pensées peuvent nous affecter.
Depuis plus de 25 ans, les scientifiques du laboratoire PEAR de l'Université de Princeton ont démontré de puissantes corrélations entre l'intention humaine et le comportement des machines. Ils ont montré que des individus non formés peuvent influencer la sortie de générateurs de nombres mécaniques et électroniques aléatoires, simplement en pensant dans quelle direction les nombres doivent aller.
Ces effets se sont avérés indépendants de l'espace et du temps. Les effets se produisaient également lorsque l'individu se trouvait à des milliers de kilomètres .
Ces idées sont millénaires et ont leurs racines dans de nombreuses traditions anciennes du monde. Cependant, la médecine allopathique occidentale ignore généralement ces concepts.
La plupart des médecins n'ont pas étudié la physique avancée au cours de leurs études universitaires ou médicales.
Ces modèles ont considérablement influencé notre compréhension de la nature et les physiciens se sont rapprochés des philosophes. Ces nouvelles visions de la nature étaient parallèles aux anciennes traditions d'autres cultures, aux traditions de guérison d'autres cultures et aux visions mystiques et non cartésiennes de la vie.
La médecine chinoise ancienne et l'Ayurveda (une médecine traditionnelle indienne) établissent des liens entre les symptômes corporels et les émotions. En médecine chinoise, le poumon est le dépositaire du chagrin, le foie de la rage et le rein de la peur. En Ayurveda, le vata dosha peut produire des arthrites et des soucis, le pitta, des ulcères et de la rage. Même envisager une séparation entre ces éléments est artificiel.
Dans la partie II, la dichotomie entre la médecine allopathique occidentale et le concept de la connectivité de l'esprit sera élaboré.
References
1. Tiller, W.A. Science and Human
Transformation: Subtle Energies, Intentionality and Consciousness.
Walnut Creek, CA: Pavior Publishing; 1997
2. Jahn RG, Dunne BJ. Margins of Reality: The Role of Consciousness in the Physical World. New York, NY: Harcourt Brace; 1997
Version anglaise:
The Power of the Mind
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