Je ne regrette rien : Enes Kanter Freedom, évincé de la NBA, promet de continuer à dénoncer les abus du PCC.

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Le basketteur Enes Kanter Freedom, qui aurait été récemment nommé pour le prix Nobel de la paix et qui est actuellement sans emploi dans la NBA, a reçu un accueil chaleureux des sénateurs américains lors d'une cérémonie de remise de prix la semaine dernière pour son activisme continu contre les violations des droits de l'homme du Parti communiste chinois (PCC).


"Vous pouvez parler de toute la justice sociale, de toutes les injustices qui se produisent dans le monde entier. Mais lorsqu'il s'agit de la Chine, vous ne pouvez pas vous exprimer", a déclaré Freedom à propos de la NBA lors d'une cérémonie de remise de prix organisée par le groupe de défense Committee on Present Danger : China le 17 février à Washington. "Si vous le faites, alors vous devrez faire face aux conséquences".


Freedom a été libéré par les Houston Rockets peu après avoir été échangé par les Boston Celtics le 10 février. Il était statistiquement l'un des meilleurs tireurs de la NBA, et estime que son activisme lui a coûté sa carrière.


"Je veux vous dire que je n'ai aucun regret", a déclaré Freedom, notant qu'il y a "des choses plus importantes que l'argent et les affaires, comme la morale, les principes et les valeurs."


Freedom a déclaré qu'après avoir appris toutes les persécutions et les violations des droits de l'homme commises par le PCC, s'il ne s'élevait pas contre cela, il ne pourrait pas dormir la nuit.


Né en Suisse le 20 mai 1992, Enes Kanter a ensuite déménagé avec sa famille dans leur pays natal, la Turquie. Il a changé son nom en Enes Kanter Freedom lorsqu'il a été naturalisé américain le 29 novembre 2021.


Le basketteur a attiré l'attention pour avoir porté des chaussures de basket pendant les matchs de la NBA avec diverses œuvres d'art qui comprenaient des slogans tels que "Free China, Free Tibet" et "Stop Organ Harvesting in China."


En 2019, le China Tribunal, un tribunal populaire non gouvernemental basé à Londres qui se penche sur les prélèvements d'organes forcés en Chine, a estimé que le PCC avait commis des crimes contre l'humanité en raison de ses prélèvements forcés d'organes sur des prisonniers de conscience.


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