Le Parti communiste chinois bafoue l'État de droit, mais le principe céleste de cause à effet reste de mise

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L'éruption du Mt Tambora sur l'ïle de Sumbawa en Indonésie en 1815

" Vous êtes tous des meurtriers ! Vous avez maltraité mon père de manière si vicieuse, et un jour vous serez tous confrontés à la rétribution ! » a crié la fille de M. Zheng Shoujun aux gardiens de prison, qui avaient torturé son père à mort.


Cette scène s'est produite à l'hôpital affilié à la prison de Dongling dans la ville de Shenyang, dans la province du Liaoning, le 20 août 2008. M. Zheng, un pratiquant de Falun Gong de 45 ans du xian de Liaozhong (sous la juridiction de la ville de Shenyang), a été battu à mort à peine deux semaines après avoir été amené à la prison.


L’épouse de M. Zheng a reçu un appel téléphonique de la prison la veille au matin (19 août), lui demandant de se rendre à l'hôpital, car son mari était mourant. Elle s'y est précipitée, mais a été bloquée à l'extérieur. À 20 heures ce soir-là, elle a reçu un deuxième appel et a appris que son mari était mort.


Elle et sa fille n'ont été autorisées à voir le corps que le matin du 20 août. Elles étaient dévastées en voyant son corps sans vie et déformé. Sa tête était enflée et son abdomen gonflé. Son visage était meurtri, et ses poings étaient encore serrés comme s'il s'était battu.


La fille de M. Zheng a interrogé les gardes : " Vous avez dit que mon père est mort de maladie. Pourquoi n'y a-t-il aucune trace de traitement médical, pas même un trou d'aiguille, sur son corps ? Le dossier médical dit que mon père est entré à l'hôpital le matin du 19 avec un esprit clair. Mais vous nous avez informés le même jour qu'il était mort." Les gardiens de prison n'ont pas pu dire un mot pour se défendre. Ils ont procédé à l'incinération du corps de M. Zheng sans le consentement de sa famille.


Il est évident que ces gardiens de prison ont assassiné un innocent sans pitié.


Le cas de M. Zheng est-il un cas isolé ? Non. Depuis que le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Gong le 20 juillet 1999, d'innombrables pratiquants de Falun Gong ont été illégalement arrêtés, emprisonnés, torturés, et même leurs organes prélevés de leur vivant. Il a été confirmé que des milliers de pratiquants de Falun Gong ont été brutalement torturés à mort.


M. Fan Xuejun, âgé de 30 ans, habitait rue Weihe, dans le district de Huanggu de la ville de Shenyang, dans la province du Liaoning. Il est mort à la prison de Huazi, dans la ville de Liaoyang, province du Liaoning, le 12 septembre 2004. Les témoins oculaires qui ont vu son corps ont remarqué que son crâne était enfoncé, qu'il y avait un trou dans son dos, et une longue entaille sur sa cuisse. Ses proches ont révélé plus tard qu'il avait été tué après que ses organes aient été prélevés alors qu'il était encore en vie.


M. Xiao Hongmo, originaire de la ville de Guanghan, dans la province du Sichuan, a été brutalement torturé à la prison de Deyang, dans la province du Sichuan. Le 25 juillet 2009, on lui a injecté une substance inconnue qui l'a rendu inconscient et incontinent. Le 27 juillet 2009, il a été emmené à l'hôpital général de la police de la province du Sichuan, dans la ville de Chengdu, où il est mort mi-mars 2010, à l'âge de 47 ans.


Il y a près de 5000 cas vérifiés de pratiquants de Falun Gong qui ont été persécutés à mort. Comme le dit le dicton, la vie humaine est la plus précieuse. Dans quel pays les forces de l'ordre peuvent-elles tuer à volonté ? La police et les gardiens de prison chinois osent tuer des pratiquants, tout cela parce que Jiang Zemin, l'ancien dirigeant du PCC, a lancé la persécution et a ordonné de " tuer [les pratiquants] sans pitié, et de comptabiliser les morts sous la torture comme des suicides. "


Le PCC piétine la loi et viole les droits de l'homme
Le PCC persécute le Falun Gong depuis vingt-deux ans sans aucune base légale. Le harcèlement, l'arrestation, la détention, et la condamnation des pratiquants de Falun Gong ont tous violé la loi. Certains juges ont ouvertement affirmé : " Nous parlons de politique, pas de droit. " Le PCC viole les droits de l'homme et tue des personnes innocentes.


Torture et persécution
Selon les récits de persécution rapportés sur le site web Minghui, les pratiquants de Falun Gong ont été soumis à des tortures inhumaines. Parmi les méthodes de torture physique les plus courantes figurent les coups, les décharges électriques, le gavage, l'exposition à la chaleur et au froid extrêmes, l'avortement forcé, le viol, les brûlures, l'enfermement dans de petites cages, le menottage pendant de longues périodes et l'injection de drogues dangereuses aux pratiquants. La liste est encore longue, avec plus de 100 méthodes de torture documentées. Les pratiquants de Falun Gong sont également soumis à des prélèvements forcés d'organes, au travail forcé et à des abus mentaux sous forme de lavage de cerveau.


Injection de substances inconnues
Le PCC a eu recours à l'administration forcée de médicaments, y compris de médicaments psychiatriques, à grande échelle pour tenter de forcer les pratiquants de Falun Gong à abandonner leur croyance. Même les hôpitaux psychiatriques sont impliqués dans la persécution des pratiquants de Falun Gong, comprenant le gavage, les injections de médicaments et les chocs électriques.


Le camp de travail pour femmes de Baimalong, dans la province du Hunan, est l'un des camps de travail où les pratiquantes de Falun Gong sont sévèrement persécutées avec des médicaments. De nombreuses pratiquantes de Falun Gong qui n'ont pas renoncé à leur croyance dans le Falun Gong ont été directement remises aux médecins de l'infirmerie du camp. On leur a injecté de force de grandes quantités de Thorazine, un médicament psychotrope. C'est un tranquillisant puissant utilisé pour traiter les patients psychiatriques. À la suite de l'injection, des centaines de pratiquantes ont perdu la mémoire et la conscience. Certaines ont souffert d'un engourdissement généralisé, d'autres d'un effondrement mental après l'injection, et certaines sont mortes sur le chemin du retour chez elle.


Le prélèvement d'organes à vif
Le prélèvement d'organes à vif a été qualifié de « mal sans précédent sur cette planète », et Jiang Zemin est le principal metteur en scène de ce drame pervers. Malgré les appels de personnes justes et de gouvernements du monde entier, le prélèvement d'organes à vif se poursuit aujourd'hui, même après avoir été dénoncé au niveau international en mars 2006.


Ces faits suffisent pour que le monde entier voit la nature destructrice du PCC. Il persécute sans pitié les bonnes personnes et n'a aucune nature humaine.


La Loi céleste est toujours de mise
Le PCC a ignoré la loi et violé toutes les procédures légales avec son autorité inégalée dans la persécution du Falun Gong.


Cependant, dans la culture occidentale comme dans la culture chinoise, le principe de rétribution karmique – c'est-à-dire, le fait d'être tenu pour responsable de ses propres actions – est largement accepté. En d'autres termes, le mal recevra son dû, sans exception.


Le site web Minghui a rapporté les cas de rétribution de plus de 20 000 fonctionnaires du PCC qui ont connu leur sort pour leur implication dans la persécution du Falun Gong. En raison du contrôle strict des informations, d'autres cas doivent encore être signalés.


Parmi les malfaiteurs qui ont reçu une rétribution, nombreux sont ceux qui travaillaient au " Bureau 610 ", dans les forces de l'ordre, au ministère public, dans les tribunaux et dans les Commissions des affaires politiques et juridiques.


Men Zhenliang, directeur du Bureau 610 dans le bourg de Gaoqiao, xian de Yishui, dans la province du Shandong, a eu une hémorragie du tronc cérébral le 16 mai 2021, et est décédé dans l'après-midi du 27 mai. Depuis juillet 1999, Men avait participé activement à la persécution du Falun Gong. De nombreux pratiquants de Falun Gong de la région ont été emprisonnés et leurs domiciles ont été saccagés sous ses directives.


Du Fengxiang était le chef du Département des procès du tribunal du xian de Kailu, en Mongolie intérieure. Pendant son mandat, il a déclaré avec arrogance et publiquement qu'il pouvait condamner les pratiquants de Falun Gong à volonté. Il a souffert d'un cancer et est mort subitement chez lui en 2018.


Chen Aidan, qui travaillait pour le Bureau de la sécurité publique du xian de Jianchang, dans la province du Liaoning, a participé activement à la persécution du Falun Gong afin d'obtenir des primes et des promotions. Pendant son mandat à la tête du poste de police du bourg de Toudao Yingzi, dans le xian de Jianchang, il a dirigé l'arrestation de plusieurs pratiquants de Falun Gong. Le 24 mai 2012, Chen a été victime d'une crise cardiaque et est décédé peu après.


Ces quelques cas de rétributions entendent seulement rappeler avec compassion ce principe à ceux qui commettent des actes répréhensibles


Bien que ces décès puissent sembler accidentels, beaucoup parmi les pratiquants de Falun Gong pensent que l'implication de ces fonctionnaires dans la persécution a été un facteur majeur de leur mort prématurée.


La persécution cruelle des pratiquants de Falun Gong par le PCC est un génocide et un crime contre l'humanité. Le jugement final arrivera bientôt . Les pratiquants de Falun Gong chérissent la vie et espèrent sincèrement que ceux encore impliqués dans la persécution en tireront la leçon.

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Traduit et édité de la Version anglaise :
https://en.minghui.org/html/articles/2021/7/23/194224.html


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