Au cours de huit heures de détention, j’ai persuadé sept fonctionnaires de police de démissionner du PCC

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Je suis allée le 17 mai 2016 au Centre des Services Administratifs pour parler aux gens à propos du Falun Dafa. Il y avait de nombreux taxis garés des deux côtés des rues environnantes dont les vitres étaient baissées, j’ai donc décidé de clarifier la vérité concernant le Falun Dafa.


Beaucoup d’entre eux ont accepté mes documents informatifs, et six ou sept ont résilié leur adhésion au Parti communiste chinois (PCC) et à ses organisations affiliées.


Alors que je clarifiais la vérité à un autre conducteur, trois policiers sont sortis de la voiture et m'ont entourée. L'un d'eux a brandi l'un des dépliants que j'avais distribués et m'a demandé : "C'est vous qui avez distribué ça ? Suivez- nous !"


J’ai répondu : " Je ne monterai pas dans la voiture; je n’ai enfreint aucune loi. Pourquoi m’arrêtez- vous? Ce que vous faites est illégal ". Ils m’ont traînée dans la voiture. En chemin pour le poste de police, je leur ai clarifié la vérité. Au poste, je me suis assise en lotus et j’ai émis la pensée droite, tout en m’examinant intérieurement et en demandant le renforcement du Maître.


Une demi-heure plus tard, ils m’ont pris tous mes dépliants, Dvds et tous mes effets personnels, et m’ont enfermée dans une petite cellule. J’ai demandé : " Sur quelles bases légales m’arrêtez- vous ? " Il y avait deux policières qui me surveillaient. Je n’avais pas peur mais je continuais d’émettre la pensée droite.


J’ai pensé : " Puisqu’ils m’ont illégalement emprisonnée ici, je dois agir de manière droite et essayer de clarifier la vérité ".


J’ai émis la pensée droite de manière intensive, et j’ai eu l’impression de tournoyer à mi-hauteur dans les airs. Je me sentais en paix et à l’aise.


Quelques policiers sont venus me prendre en photo. J’ai refusé et leur ai tourné le dos. J’ai dit : " Si je coopérais avec vous, vous feriez une mauvaise chose. Vous et votre famille en souffriraient les conséquences, je ne peux donc pas coopérer avec vous".


Ils sont partis sans prendre la photo. Je n’ai pas cessé d’émettre la pensée droite ou de chercher à l’intérieur les raisons pour lesquelles j’étais persécutée.


Je n’avais pas été prudente quant à ma sécurité. Il y avait beaucoup de voitures haut de gamme et beaucoup de gens, et la plupart d’entre eux acceptaient la vérité, donc je suis restée trop longtemps sur place et j’étais trop heureuse. Je l’ai regretté et me suis sentie désolée d’avoir causé des problèmes pour le Maître. Puis j’ai pensé que, puisque j’étais déjà là, je devais essayer d’aider ces fonctionnaires de police à apprendre la vérité concernant le Falun Dafa.

Maître a dit :

    " (…) Si les disciples sont emplis de pensées droites
    Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel
    (« La grâce entre Maître et disciple ", Hong Yin II)


Je me suis sentie renforcée en me rappelant le Fa du Maître. J’ai continué à émettre la pensée droite pour éliminer les entités mauvaises.


Après un moment, j’ai décidé qu’il était temps de clarifier la vérité à ces policiers femmes. Je leur ai raconté comment j’avais retrouvé santé grâce à la
cultivation
Je leur ai également raconté l’anecdote de ma visite chez le dentiste. Je suis allée chez le dentiste pour me faire arracher quatre dents, sans aucune anesthésie. Le dentiste voulait me faire une anesthésie du fait de mon âge, mais j’ai refusé. Tout le monde dans son cabinet a été interloqué par ma décision.


Je leur ai clarifié la vérité et ai aidé plusieurs d’entre eux à démissionner des organisations du PCC. Le dentiste était stupéfait. J’ai dit : " C’est le Maître de Dafa, Li Hongzhi, qui est incroyable. Soyez stupéfait par mon Maître". L’opération d’extraction des dents s’est passée en douceur, et sans douleur.


Les deux fonctionnaires étaient impressionnées par mon histoire. J’ai poursuivi en leur parlant du Falun Dafa et de la raison pour laquelle elles devaient démissionner du PCC et de pourquoi le PCC insistait pour persécuter un groupe de gens qui suivent le principe de Vérité-Bonté-Patience.


Toutes deux ont accepté de quitter le PCC. Quatre ou cinq autres fonctionnaires sont entrés dans la pièce, et l’un d’entre eux portait mon sac plein de mes livres de Dafa et de trois des portraits de Maître.


" Vous avez illégalement confisqué mes biens en pénétrant chez moi", ai-je dit. " C’est un péché et vous allez en subir les conséquences ".


Ils ont ouvert la porte de la cellule et je me suis approchée pour prendre mes livres et le portrait du Maître. Ils ont commencé à prendre des photos, mais je leur ai tourné le dos. Ensuite, ils ont essayé de prendre mes empreintes digitales en essayant de forcer mes paumes à s'ouvrir. Mais, j'ai serré les poings de mes deux mains.


Ils ont essayé de leur mieux mais ils ont échoué. Alors, j’ai crié : " Falun Dafa est bon -( Falun Dafa Hao ) ; Le Maître est bon " hurlant de tous mes poumons, et les gens dans la rue m’ont certainement entendue.


Étrangement, à chaque fois que je criais " Falun Dafa Hao " , ils criaient en même temps " Falun Dafa Hao ". Finalement, ils se sont épuisés et ont lâché mes mains.


J’ai dit : " Je suis une vraie disciple de Dafa du Maître, et je ne déshonorerai ni Dafa ni le Maître. Je crois fermement en Maître et en Dafa.".


En entendant cela, beaucoup d’entre eux ont quitté la pièce. Un des fonctionnaires m’a poussée pour que je retourne dans ma cellule, et j’ai continué à émettre la pensée droite.


Un policier a dit : " Si nous ne coopérez pas, vous devrez rester ici ". J’ai répondu : " Seul Maître Li décide si je dois rester ou partir – vous ne pouvez pas prendre cette décision ".


Il a demandé : " Où est votre Maître ? Pourquoi ne vient-il pas pour vous sauver ? "


" Maître Li veut que je vous clarifie la vérité pour vous sauver d’un terrible futur, avant que je ne puisse rentrer chez moi ". Il est parti après que j’ai eu fini de parler.


Je n’ai pas arrêté d’émettre la pensée droite, et je pouvais les entendre parler à mon sujet depuis le couloir. " Cette dame du Falun Dafa est assez incroyable ", disait l’un d’eux.


Un autre a jeté un regard sur moi depuis le couloir, et j’ai dit : " Venez et laissez-moi vous dire la vérité ". Une des deux policières qui avaient démissionné du PCC a dit : " Laissez la vieille dame vous clarifier la vérité, et vous aider à renoncer au Parti ".


Ils ont ri. Je savais que la perversité qui les contrôlaient avait été éliminée.


Après un moment, ils ont ouvert ma cellule et m’ont demandé d’aller dans une autre pièce, espérant que je coopère avec eux. J’ai saisi l’opportunité pour leur en dire plus sur les mauvaises actions des régimes communistes.


Leur chef s’est assis avec un grand livre et j’ai dit : " Je vous ai déjà dit que je ne coopérerais pas. Vous devriez coucher par écrit l’information que je viens de vous donner ".


Il a écrit des choses dans le livre et me les a montrées. J’ai répliqué : " Je n’ai pas dit ces choses, ni ne les ai écrites. Je ne les lirais pas, ni n’admettrais les avoir dites".


Je n’allais pas les laisser prendre mes empreintes. J’ai dit : " J’ai pitié de vous les gars parce que vous travaillez pour Jiang Zemin sans en connaître les conséquences ". Ils m’ont ramenée dans ma cellule.


Un policier est venu à nouveau vers 16 heures et m’a dit que je pouvais rentrer à la maison.


J’ai demandé : " Quel est votre nom? Vous devriez renoncer au Parti maintenant ". Il a accepté sans hésitation, et je l’ai aidé à démissionner du Parti.


Le chef a ouvert la porte et a déclaré : " Vous devez finir certaines procédures administratives avant de rentrer ". Dans une autre pièce j’ai rapidement clarifié la vérité à deux autres fonctionnaires parce que je ne voulais pas manquer cette opportunité.


Je n'ai répondu à aucune de leurs questions tout en remplissant les formulaires de sortie car j'étais occupée à aider les deux agents à quitter le CCP.


Au final, j'ai aidé sept agents de ce poste à quitter le Parti. Un policier a mentionné au chef qu'ils n'avaient pas encore pris mes empreintes digitales, mais le chef a répondu : "Ce n'est pas grave si nous ne les avons pas."


Ils m’ont fait presser et ont dit : " Votre mari vous attend à la porte ". J’ai dit : " Rendez moi mes livres et les portraits de Maître. Et je pars sur le champ ".


Ils ont refusé de me les rendre. J’ai dit : " Ils m’appartiennent. Vous devez me les rendre ! "


Plusieurs d’entre eux m’ont poussée au-dehors et ont refermé la porte derrière moi. J’ai crié : « Ces choses m’appartiennent et vous devez me les rendre. Je reviendrais les récuperer ».


J’ai été relâchée après avoir été détenue illégalement pendant huit heures.


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Traduit de l’anglais
Version anglaise:
While Detained for Eight Hours,I Persuaded Seven Police Officers to Quit the CCP

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