Entendu lors d’une activité de sensibilisation à la situation du Falun Gong en Chine sur le Parvis des droits de l’homme à Paris ...

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Chaque dimanche depuis le début de la persécution du Falun Gong en Chine, des pratiquants se retrouvent sur le Parvis des droits de l’homme à Paris où ils pratiquent les exercices et clarifient les faits aux passants.


Le 24 mars 2019, il y avait un flot constant de gens profitant des premiers rayons printaniers, beaucoup ont été interpellés par l’énergie puissante et sereine des exercices méditatifs du Falun Gong et se sont arrêtés.


 
 
 


Apprendre que les pratiquants de Falun Gong étaient persécutés en Chine pour leur adhésion au principe de Sincérité, Bonté, Patience ( Zhen-Shan-Ren) a été un choc pour nombre d'entre eux, qui sont venus signer et exprimer leur indignation.


Marcelle Roux, un professeur de biologie à la retraite a déclaré : "Le PCC ne respecte aucun des droits fondamentaux de la personne. En Chine, il n'y a pas de liberté de croyance, pas de liberté d'expression, pas de liberté de circulation, pas de liberté de pensée. La politique actuelle de surveillance informatique, a rendu la vie privée impossible. C'est une chose terrible que de prélever de force des organes pour les vendre sur le marché de la transplantation. Des pratiquants de Falun Gong en bonne santé sont détenus et soumis au prélèvement forcé de leurs organes, de leur vivant. Les gens ne se soucient de personne, ne se soucient plus de la vie de l'individu. C'est complètement inhumain ! "


"Ceux qui s’y livrent sont plus cruels que des animaux sauvages. Jiang Zemin et ses sbires méprisent la vie, méprisent la vie humaine, méprisent tout ce qui a de la valeur … "s’est-elle indignée.


" L’avancement de la médecine est considérable, mais à l’autre extrême, les progrès médicaux sont utilisés pour tuer. Mme Roux a invité " le gouvernement français et la communauté internationale à comprendre ce qui se passe en chine et à cesser de s’agenouiller (devant le PCC), cela me fait honte d’être française ! "


Mme Tang est une militante vietnamienne, elle a déclaré, "Ces pratiquants sont en bonne santé, le PCC prélève des organes et en tire des bénéfices. Le Falun Gong est une pratique saine. Le PCC est arrogant. Ce sont des menteurs. N'écoutez pas ce qu'ils disent, mais voyez ce qu'ils font." Elle a encouragé les pratiquants. "Mon cœur est avec vous, continuez !"


Françoise et Micky sont amies. Après avoir compris les faits, Françoise s'est exclamée : "Ceux qui manipulent les prélèvements d'organes en coulisse devraient être jetés en prison et punis pour ce qu'ils ont fait. Nous sommes un pays qui valorise les droits de l'homme."


"Les gens ont le droit de vivre normalement et de ne pas être soumis à la coercition" a renchéri Micky, ce prélèvement d'organes est inhumain. Elle a dit croire que "Sincérité-Bonté, Tolérance" le principe au cœur du Falun Gong, est le secret de la vie et le chemin du bonheur.


Le jeune Soren, moniteur d'activités extrascolaires pour les élèves du primaire, s’est dit " très touché en apprenant la persécution en Chine. Ce genre de persécution est consternant." Il a ajouté tout en signant : "C'est très important." Il allait faire passer le message.


Sara, Mirmounir et Selma sont étudiants. Ils n'avaient jamais entendu parler du prélèvement d'organes à vif du PCC. Bouleversés, ils ont signé pour appeler à mettre fin au prélèvement d'organes et à la persécution des pratiquants de Falun Gong.


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