Soutien au Falun Gong sur l’esplanade des droits de l’homme à Paris " Nous ne pouvons pas tolérer ces crimes"

Pour célébrer le Nouvel An chinois, des pratiquants français de Falun Dafa ont organisé des activités sur la Place des Droits de l'Homme à Paris le 3 février. En dépit du temps froid, ils ont fait des démonstrations des exercices et recueilli des signatures en condamnation du prélèvement forcé d'organes sur des prisonniers d'opinion en Chine.

Des pratiquants font la démonstration des exercices de Falun Gong sur la Place des Droits de l'Homme à Paris.

Les touristes s'arrêtent pour lire les panneaux d'affichage et en apprendre davantage à propos du Falun Gong et de la persécution en Chine.

Un couple de jeunes mariés signe la pétition contre le prélèvement forcé d’organes en Chine

Attiré par la musique paisible, un couple de jeunes mariés s'est arrêté pour prendre une photo devant la démonstration des exercices. Ils ont remercié les pratiquants en joignant les deux mains devant leur poitrine en un geste de respect. Tous deux ont signé la pétition condamnant le prélèvement forcé d'organes en Chine et en réclamant la fin.

“La persécution est très cruelle”

M. Castelli, retrait, a dit qu'il avait entendu parler de la persécution du Falun Gong à la radio mais qu'il ne connaissait pas l'ampleur de la brutalité. Évoquant le crime de prélèvement forcé d’organes sur des pratiquants de Falun Dafa (Falun Gong) de leur vivant il s’est exclamé : "Nous ne pouvons tolérer un crime comme celui-ci. Nous devons agir et en informer davantage de gens. La persécution est très cruelle. Il faudrait une campagne mondiale pour l'exposer."

Il a souhaité bonne chance aux pratiquants en leur promettant de faire circuler l’information sur la persécution parmi ses amis et sa famille.

Yohan, un expert en informatique, a déclaré qu'il n'était pas surpris que le Parti communiste chinois cible les pratiquants du Falun Gong. Il a dit : "Ils[le parti communiste] abusent toujours de leur pouvoir. Nous devrions tous faire ce que font les pratiquants, et informer le monde entier ce qui se passe en Chine." Il a suggéré des moyens efficaces en rapport avec son expertise afin d'atteindre davantage de gens.

La vétérinaire Aouabir a dit que c'était la première fois qu'elle entendait parler de la persécution. Elle a été choquée par les atrocités commises et a exprimé son admiration pour le courage des pratiquants en diffusant l'information.

Elisabeth, de Carcassonne, était à Paris pour accompagner sa fille à l'école d'infirmières. Elle s'est arrêtée pour regarder la démonstration des exercices et a appris comment le Falun Dafa est persécuté.

"Nous devons mettre fin à la persécution ! Comment peut-on persécuter des êtres humains comme ça ? Ce que font les pratiquants en informant les gens de la persécution est remarquable. Nous devrions les protéger."