Récemment, la Chine a utilisé les intérêts économiques pour induire des membres du gouvernement français à demander à la police d’arrêter de pacifiques pratiquants de Falun Dafa. Cela a gravement violé les lois françaises et l’esprit de liberté, égalité et fraternité que la France a toujours prêché. Un tel comportement a aussi violé les droits légaux des pratiquants et a en fait contribué à renforcer l’inhumaine persécution du Falun Gong par le régime de Jiang.
L’après-midi du 5 février, l’Association Française de Falun Dafa et le fameux avocat M. Léon Lef Forster ont tenu ensemble une conférence de presse pour annoncer leur intention d’intenter un procès contre les responsables de ce déni de justice.
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| L’Association française de Falun Dafa et Me Forster tiennent ensemble une conférence de presse | Me Leon Lef Forster accepte un interview |
L’avocat Me Forster a commencé par dire aux journalistes que les prévenus spécifiques de ce procès ne seraient pas nommés. La raison est qu’il espère que la cour découvrira qui a émis l’ordre de laisser la police déraisonnablement arrêter les pratiquants de Falun Gong le 24 janvier, durant la Nouvel An Chinois sur les Champs Elysées. Lorsque les journalistes ont demandé pourquoi le commissariat n’était pas le prévenu, un représentant de l’Association Falun Dafa a déclaré qu’ils voulaient découvrir l’origine de l’incident.
Me Forster a dit ensuite que cette procédure légale n’était pas contre le gouvernement français, mais visaient ces personnes inconnues responsables de la violence illégale et des interpellations et interrogatoires arbitraires. Il a dit « Nous voulons savoir si quelqu’un leur en clairement donné l’ordre, ou si cela a été fait par peur ou volonté personnelle, si quelqu’un a reçu l’ordre d’appliquer des telles mesures répressives pour traiter les personnes portant des écharpes jaunes, dont même la télévision dit qu’ils étaient pacifiques? Nous avons vu à la Télévision, une personne assise en méditation les yeux clos, très paisible. Il ne voulait qu’exprimer son soutien aux personnes persécutées en Chine et rappeler au Parlement Français que les gens sont en train d’être persécutés en Chine. »
Lorsque les journalistes ont demandé si la police française avait violé la loi et s’ils visaient les pratiquants de Falun Gong, Me Forster a souligné encore une fois que le comportement de la police française avait totalement violé l’esprit français de liberté d’expression. Ils ne peuvent pas trouver une excuse arbitraire pour interroger quelqu’un comme bon leur semble. Si ce n’est pas dans un certain contexte judiciaire, ils n’ont pas même le droit de contrôler les pièces d’identité des gens. De plus, à moins que la situation le requiert ou qu’il soit nécessaire de protéger l’ordre social, la police n’a aucun droit à traiter violemment qui que ce soit en France.
AFP, L’Agence Centrale de Nouvelles, La télévision Nouvelle Dynasty Tang , Epoch Times et Digipresse étaient là pour couvrir l’événement.
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