Le 30 décembre 2003
Les scènes de pratiquants de Dafa persécutés au moment où « Le climat soudainement change, le ciel manque de tomber, La montagne poussée la mer battue les mauvaises vagues qui roulent » (le coeur naturellement clair 12 octobre 1999) s’imposent à mes yeux. Il m’est difficile de décrire complètement ces scènes et mes émotions du moment. J’espère seulement que les passages suivants pourront être reflétés dans l’exposition d’art des pratiquants de Dafa.
1. En décembre 1999, le vent froid d’hiver soufflait très fort et l’eau qui dégoûtait tournait en glace. Un matin, à l’intérieur du Camp de Travaux Forcés de Wuhan, Province d’Hubei, plus de 20 pratiquantes portaient de minces couches de vêtements et avaient les pieds nus (leurs manteaux, souliers et bas avaient tous été enlevés par la force). La police les avait poussées dans la cour glaciale, avait sorti les boyaux d’arrosage et les avait arrosées avec de l’eau glacée.
2. Tôt, un matin, une femme de plus de 60 ans faisait les exercices du Falun Gong dans sa cellule. Une prostituée dans la vingtaine, qui était appelée le « chef du bâtiment » est venue dans la cellule. Elle frappa la vieille dame au visage à plusieurs reprises, mais la vieille dame n’a pas bougé. La prostituée ramassa un soulier à terre et frappa la vieille dame avec. La vieille dame n’a toujours pas bougé. La prostituée était tellement en colère qu’elle souleva un sceau d’eau froide et versa l’eau sur la tête de la vieille dame. C’était une journée tellement glaciale, et maintenant, la vieille dame était complètement trempée comme si elle venait de sortir d’une piscine. Avec des bleus sur son visage et sur son corps, la vieille dame restait encore inébranlable comme une pierre.
3. A minuit, les pratiquants de Dafa revenaient du travail. Ils ont traversé la cour. Sans aucun arrangement au préalable, ils ont formé un carré et ont récité Lunyu de Zhuan Falun. Soudainement, les policiers pervers et les prostitués s’en sont approchés furieusement. Certains de ces gens malicieux ont entouré quelques pratiquants et les ont poussé à terre, les battant et les frappant à coups de pied. Les policiers pervers ne frappaient pas seulement les pratiquants avec leurs bottes, mais ils leur piétinaient aussi la tête. Tout en battant les pratiquants, la police enlevait les manteaux des pratiquants, les attachaient et les lançaient sur le ciment dans le vent glacial de l’hiver. Il ne restait aux pratiquants que la couche la plus légère de leur vêtements.
4. Quelques jours plus tard à midi, devant le bureau du chef du camp de travaux forcés, plus de 40 pratiquants de Dafa ont formé deux lignes et ont attendu que le chef sorte. Ils voulaient lui parler au sujet de la situation. Tous les policiers avaient peur et ne savaient pas quoi faire. Après un bout de temps, un policier hurla très fort, « Punissez-les en les faisant courir autour de la cour ». Mais les pratiquants sont restés impassibles et personne n’a bougé. Un autre policier est alors venu près des lignes et a frappé une pratiquante au visage. La police est allé chercher des menottes et a essayé de menotter la pratiquante qui parlait au chef au sujet de leur situation. A ce moment, plus de 10 pratiquants sont sortis des lignes et ont formé un mur pour protéger la pratiquante avec leurs corps. Même le chef était ému et a dit: « Les pratiquants de Dafa agissent vraiment comme un seul corps! » Après, quelques pratiquants ont dit: « J’ai senti que je participais à l’appel de Beijing le 25 avril 1999. » En effet, ceci était comme une miniature de l’appel du 25/4/1999.
Date de Parution : 19/1/2004
Version chinoise disponible à
http://www.minghui.org/mh/articles/2003/12/31/63724.html
Traduit au Canada le 21/1/2004 au
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/1/19/44231p.html
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