Interpol émet un mandat d’arrêt pour l’ex-président Libérien Taylor, dont les crimes sont analogues à ceux de Jiang

[Charles Taylor a été accusé d’abus flagrants des droits humains et de corruption à grande échelle. Similaire à Taylor, l’ancien président chinois Jiang et son régime ont causé la mort d’au moins 831 aimables et innocents pratiquants du Falun Dafa, et ont apporté des souffrances à des dizaines de millions de familles. Dans le même temps, Jiang a abusé de son pouvoir pour son gain personnel, et a arrangé que son fils, d’attributs plus que médiocres, devienne le Vice Doyen de l’Académie des Sciences Chinoise. Il a également permis à son fils des affaires impliquant d’énormes sommes d’argent en utilisant les propriétés de l’Etat. La loi punira sûrement Jiang et ses complices pour leurs nombreux actes de corruption et pour leurs crimes de graves violations des droits humains.]

LYON, France (AFP) – Interpol a émis un mandat d’arrêt international pour l’ancien président Libérien Charles Taylor, vivant actuellement en exil au Nigeria, suite à une demande venant de la haute cour de l’ONU en Sierra Leone qui a inculpé l’ancien chef militaire pour crimes de guerre.

L’organisation de police internationale, basée à Lyon, France, a dit dans des documents qui expliquent en détail le mandat et qui s’appelle une « Notice Rouge », que Taylor âgé de 55 ans était recherché sous le chef d’accusation de crimes contre l’humanité et « graves violations » de la Convention de Genève.
Cette Notice Rouge fait suite à la requête de la Haute Cour de l’ONU en Sierra Leone afin d’obtenir l’extradition de Taylor vers un tribunal pour crimes de guerre, pour faire face aux accusations provenant de son soutien au Front Unitaire Révolutionnaire (RUF) rebelle durant la guerre civile de 11 ans au Libéria. La guerre a sévit de 1991 jusqu’à 2002, et a coûté plus de 200,000 vies.

Il a démissionné en août 2003 pour accepter l’offre d’exil du Nigeria, préparant le terrain à un arrangement pacifique entre ses partisans et les rebelles qui ont été très près de la capitale du Libéria, Monrovia.
Taylor a également été accusé d’abus flagrants des droits de l’homme et de corruption à grande échelle durant la guerre civile.