Le style de gestion du camp de travail ne peut être décrit que comme scandaleux. Par exemple, le camp installe des caméras dans les chambres des pratiquantes, salles de douche, toilettes et salles de travail. Les policiers participent a la surveillance vingt-quatre heures sur vingt quatre. Seulement 10 minutes sont données pour chaque repas, ce qui inclut le temps de se mettre en ligne pour la nourriture. Les droguées normalement sentassent à lavant et poussent les pratiquantes en arrière. Souvent le sifflet se fait entendre avant que les pratiquantes aient fini leur repas. Les pratiquantes doivent recevoir la permission daller aux toilettes. La nuit, quarante personnes partagent une salle équipée de seulement deux pots de chambres pour uriner et aller à la selle. Durant la journée, lorsque tout le monde est à latelier, les toilettes sont fermées à clé et nouvrent pas pour longtemps. Lorsque cest ouvert, le temps est aussi limité. Souvent les gens ne peuvent plus se retenir et finissent par uriner à la porte.
La police au camp de travail viole la loi en ouvrant et retenant le courrier et les paquets envoyés aux pratiquantes par leurs familles. Les pratiquantes nont pas la liberté de correspondre. Elles nont même pas la permission de porter des montres. La famille de la pratiquante Chen Yujing lui a envoyée une montre et dautres cadeaux, qui ont tous été retenus. La police peut annuler les heures de visites aux pratiquantes à volonté, et les visiteurs membres de la famille sont souvent renvoyés
Le Camp de Travail est en fait la base dentraînement des voyous violents. Par exemple, le Jour National (1er octobre) en 2001, les pratiquantes ont été vicieusement battues par les droguées et par la police perverse. Ils ont fermé la porte à clé de lintérieur, cinq à six droguées ont entouré une pratiquante, la battant à coups de pied. Elles ont trainé Zhang Yali, Wang Yan et Zhao Xilian de leur lit superposés, les ont lancées au sol et ont commencé à les frapper à coups de pieds et à leur sauter sur la poitrine, le dos, le ventre et sur les parties génitales. Ils leurs frappaient la tête et le visage avec la semelle de leurs souliers, les traînaient par les cheveux et leur frappaient la tête contre le mur. Elles hurlaient tout en déchainant leur furie. Lorsquelles étaient fatiguées elles se reposaient avant de recommencer. Les raclées duraient toute la matinée. Après, Zhang Yali avait les deux yeux au beurre noir et des douleurs de poitrine avec des difficultés à respirer qui ont persisté pendant longtemps, et devait dormir assise contre son lit chaque nuit. Aucun policier ne lui a demandé comment elle allait. Le nez de Wang Meiqin a saigné à flots. Zhao Xilian a subi une commotion cérébrale et du pus coulait de ses oreilles. Ils ne la laissaient toujours pas se reposer. Chaque jour quelques personnes sacharnaient sur elle; ses pantalons et ses souliers étaient tout usés. Meng Yuer a été battue et aucune partie de son corps n'a été épargnée. Quelques pratiquantes ont été battues jusqu'à ce que leur tête saigne. Wang Yan a été enfermée dans une salle et on lui a piqué les mains avec des aiguilles, et elle a été battue. Elle a subi des blessures partout sur son corps. Zhang Hanwen a été saisie par le bras et les cheveux et a été traînée sur le sol pendant sept ou huit mètres.
Un jour lorsque les pratiquantes étaient enfermées, vicieusement battues et ensanglantées par la sauvagerie, dans la cour, on a fait chanter et danser les criminelles du camp de travail pour filmer un vidéo de "scène joyeuse" pour la propagande de la télévision, montrant la tendre éducation affectueuse du camp de travail lors de la transformation des pratiquantes, et la « vie merveilleuse » des pratiquantes pendant leur séjour au camp. Plus tard nous avons appris que les pratiquantes dans chaque escadron du camp avaient toutes été battues le Jour de la Fête Nationale. La police a même distribué des prix récompensant les criminelles qui avaient battues les pratiquantes, par exemple des réductions de leur peine de prison.
Entre le 26 décembre 2001 et le 15 janvier 2002, le camp a employé "attacher les cordes" et dautres méthodes pour torturer les 120 pratiquantes qui demeuraient fermes. La police a menacé : "Cette fois le directeur du camp de travaux forcés et le bureau de la justice ont décidé que nous devions nettoyer la maison." Dans le froid glacial de lhiver ils ont enlevé les manteaux des pratiquantes et leur ont fait subir la torture extrêmement cruelle d "attacher les cordes". Ils ont attaché la pratiquante Zhang Hanwen (qui est dans la cinquantaine), lui ont tiré les bras derrière le dos aussi haut quils ont pu, et ont alors amené la corde autour de son cou sur le devant de sa poitrine, et lui ont attaché les pieds, forçant son corps à s'arc-bouter au bord de la rupture. Elle a été maintenue dans cette position pendant quelques heures jusqu'à temps quelle sévanouisse. Ils lont amenée à la clinique pour un traitement respiratoire. La garde Wang Nan a même dit au médecin: "Zhang sest battue avec une droguée et sest agitée excessivement, cest pour cette raison quelle ne peut pas respirer." Après le traitement respiratoire et une transfusion de liquide, ils lont ramenée au camp de travail et ont continué la torture.
Une policière portant des chaussures neuves et rigides a donné à infligé à Zhou Sumei l "attachement avec les cordes" et l'a frappée dans cette position au moins cent fois. Elle a brisé son soulier en le faisant. Zhao Xilian a été torturée de la même manière et aussi a été mise sur le banc du tigre. [Les pratiquantes sassoient sur un petit banc de fer dune hauteur denviron 20 cm (6 pouces) avec les genoux attachés ensemble. Avec les mains attachées derrière le dos ou quelquefois placées sur leurs genoux, elles sont forcées de sasseoir droites et de regarder droit devant.] Quelques policières se tenaient debout et ont sauté sur elle jusqu'à temps quelle sévanouisse. Le chef du camp, Wu Hongru, a personnellement infligé l' "attachement avec les cordes" à Gao Shuting. Après elle ne pouvait plus soulever les bras. De plus, lassistant du capitaine du Quatrième Escadron, Pei Surong, a utilisé une matraque électrique pour lélectrocuter, lui blessant gravement les bras et les aisselles. Zhao Yuxia a été torturée de cette façon jusquà temps quelle sévanouisse. Wu Xiaohua a été attachée et battue, et mise dans une cellule en isolement. Plusieurs autres pratiquantes ont été attachées et torturées jusqu'à temps quelles sévanouissent.
A chaque jour dans le camp de travail les hauts parleurs font retentir sans arrêt de la propagande diffamatoire contre Dafa. Les pratiquantes protestent mais la police a dit quelle ne suit que les ordres, et que cest la responsabilité de chaque camp de travail et de prison de le faire. Dix huit pratiquantes ont commencé à faire une grève de la faim pour protester. La police a répondu par une autre tournée de répression brutale. Ils ont enfermé Zhao Yuxia, Chen Yujing et Zhang Hanwen dans des chambres séparées pour les torturer. Ils ont battu Zhang Hanwen et lont blessée à la jambe. Elle a été incapable de marcher pendant des mois. Ils lui ont aussi arraché une grosse poignée de cheveux, exposant son crâne. Ils ont encore utilisé la torture dattacher avec les cordes sur Zhao jusquà temps quelle sévanouisse. Ils ont utilisé la même torture sur Chen Yujing de 18 heures à 22 heures. La policière Zhang Yin a employé un torchon pour bâillonner Chen Yujing, et la ensuite envoyée à lHôpital Psychiatrique de Xingxiang. Le Directeur adjoint du camp Zhou Xiaohong,le capitaine Wang Shulan, Zhang Yin, Pei Surong, Liu Baolan, ont travaillé ensemble sous la direction personnelle de la directrice du camp Wang Yufang, pour nourrir de force Zhang Hanwen après lavoir battue. Sept ou huit personnes lont retenue au sol, pinçant son nez et lui pressant la tête. Zhang Hanwen a perdu le contrôle de sa vessie par manque doxygène. La police ne la cependant pas laissée tranquille. Ils ont ordonné aux droguées de lui blesser la plante des pieds, les aisselles, le reste de son corps et de la nourrir de force. Elles lui ont ouvert la bouche de force, lui brisant une dent et en déchaussant trois autres en le faisant. Ils ont aussi rallongé sa peine de trois mois.
Les policières Wang Shulan et Wang Yufen ont ordonné aux droguées denfermer Zhang Yali dans une pièce et de la battre sauvagement. Elles ont fourré le manche d'un balai et leurs genoux dans les parties génitales et dans le bas de son abdomen. La méthode utilisée était obscène et détestable, et elles ont menacé Zhang si elle le disait. La police du camp a maintenant torturé à mort six pratiquantes, parmi elles Zhang Yali, Guan Ge, et Zhang Baoju.
Jiang Zemin et le "Bureau 610 " ont ordonné au système judiciaire entier de la nation de suivre leur politique contre le Falun Gong: "Diffamer leurs réputations, les ruiner financièrement, et les détruire physiquement." "Pas besoin dobserver les lois en soccupant des pratiquants du Falun Gong. Il ny aura pas denquête si un pratiquant est tué. Les morts dues aux coups seront enregistrées comme suicides." "Incinérer le corps directement. Ne faites aucune vérification." Du fait de cette politique, les camps de travaux forcés et les prisons osent torturer les pratiquantes impunément. En tant que pratiquants de Dafa, cest notre devoir damener Jiang devant la justice.
Version Chinoise disponible a http://www.minghui.org/mh/articles/2003/10/30/59733.html
Traduit au Canada le 15/11/2002
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/11/14/42235p.html
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