Valider la Loi dans la littérature et l’art

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J’ai travaillé dans le domaine et de la littérature et de l’art durant toute ma vie. Après le début de la persécution du Falun Gong, j’ai été emprisonné et forcé de vivre sans domicile pour éviter d’être persécuté. J’ai repris mon travail, j’étais contre la société pendant un moment jusqu’à ce que je comprenne que Dafa était une grande loi sans forme. Mon chemin de cultivation est maintenant plus clair. Ma voie dans la rectification de la Loi – valider la Loi dans la littérature et l'art, rectifier les notions des gens ordinaires concernant la culture traditionnelle, et laisser une forme pure de production créative aux gens du futur – avait déjà été arrangé par le Maître il y a longtemps.


Durant les années 80, entre la fin de la Grande Révolution Culturelle et le Massacre de Tiananmen en 1989, le contrôle politique n’était pas aussi sévère que dans l’histoire récente de Chine, et les domaines de la littérature et de l’art ont joui d’une brève période de liberté d’expression et de publication. À cette époque je lisais beaucoup sur l’art et les théories esthétiques. Parmi les ressources accessibles, trois journaux professionnels avaient une influence significative sur moi : Art World, Prose, et Aesthetic Education. Une décennie à lire et apprendre de ces journaux m’a permis de construire des bases solides pour bien faire mon travail d’écriture de critiques et valider le Fa à ma façon.


Lorsque j’ai eu l’occasion de reprendre mon travail après ma période sans domicile, je n’étais plus intéressé par une vie séculière et la production créatives dans les domaines de la littérature et de l’art, et je visais plutôt à éliminer mes attachements à la célébrité et aux gains matériels. Par conséquent, mes connaissances et collègues me considéraient comme perdu, et un critique renommé publia même un article stipulant que j’étais trop spirituel pour faire le travail que je faisais bien avant. Ils ont aussi rejeté mon idée de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. J’ai plus tard compris que la grande loi est sans forme, et que je devais retourner dans le cœur de la société en Chine pour offrir des opportunités de salut aux gens dans les arts et la littérature, et à ceux qui leurs sont proches.


Après avoir atteint une plus haute compréhension de la Loi, j’ai réalisé que le Maître avait en effet convenablement arrangé le moindre détail pour que je puisse valider le Fa dans mon travail. Alors que la rectification de Fa progresse, des phénomènes sociaux émergent selon les changements cosmiques et les gens commencent à retourner à leurs racines culturelles pour les enseignements traditionnels. Dans notre travail, en tant que travaux pratiques, mes collègues et moi devions gérer le développement de l’art et de la littérature dans des communautés. Dans la communauté qui m’était assignée, j’ai aidé les locaux à établir un club de photographie et un club de peinture et de calligraphie, en plus d’offrir des instructions dans diverses activités artistiques et reportages communautaires. Ma communauté est maintenant considérée comme un modèle de développement communautaire, et les représentants des communautés d’autres villes apprennent souvent de nous. Lors de la réunion annuelle d’avancement, mon directeur a mis un point d’honneur à reconnaître mes résultats.


Maître nous a dit d’apprendre autant que possible. Je n’ai complètement compris cela que récemment quand j’ai eu une expérience d’utilisation des blogs. Avant je n’aimais pas les ordinateurs et les blogs, je réalise maintenant que je peux tirer avantage de n’importe quoi dans la vie de tous les jours pour valider le Fa. J’ai récemment posté une critique d’un film de Western sur mon blog que j’ai construit plus tôt dans l’année. Un ami poète a été ému aux larmes en lisant ma critique et m’a remercié d’avoir écrit un article si touchant. Sa femme a commenté " Ceux qui sont forts à l’intérieur sont les plus heureux ". Cet article a également été publié sur un site internet tenu par un pratiquant de Dafa.


Il y a peu j’ai publié deux articles basés sur un entretien avec un peintre et écrivain connu, qui comprenait des sujets couvrant l’art, la spiritualité, et le sens de la vie. Ces articles m’ont apporté une plus haute considération dans les cercles littéraires et artistiques, et le critique ayant dit que je n’étais pas capable de bien faire mon travail a publié un essai complimentant ces deux articles, expliquant qu’ils étaient les plus exhaustifs et profonds du genre. Il a aussi pris l’initiative de me contacter pour en savoir plus que la cultivation et la persécution, et se préparait à écrire un article sur moi. Un autre critique, en me mentionnant dans son livre, commenta que le Falun Gong est "une croyance spirituelle fondamentale rationnelle ". De plus, il démissionna du PCC et de ses organisations et dit "nous ne pouvons pas bien connaître le Falun Gong, mais nous connaissons le Falun Gong à travers vous "


Alors que ma carrière repartait, j’ai développé l’idée de publier un journal qui promeut la culture traditionnelle pure en opposition aux magazines populaires plein de publicités, de sexe, et de violence. Cependant, quand la chance se présenta (mon superviseur voulait que je devienne éditeur en chef d’un nouveau journal), j’ai refusé de la saisir car j’ai pensé que ce travail en plus allait empiéter sur mon temps de pratique du Falun Gong, et aussi parce que le journal allait devoir suivre les règles de journalisme du parti comme la plupart des médias en Chine. Mais mon superviseur a continué d’essayer de me persuader, et j’ai changé d’avis et accepté le poste, en me disant que j’allais aider à revitaliser la culture traditionnelle pour sauver les êtres. Néanmoins, j’ai stipulé que le journal n’aurait pas à suivre de propagande politique. Mon superviseur fut d’accord.


En recherchant et collectant les travaux des écrivains et artistes locaux, j’éditais un échantillon de journal sur la culture traditionnelle. Mon superviseur soumettait l’échantillon à différents superviseurs hiérarchiques et les assurait de mes capacités et compétences. Il disait également à ces chefs de département "le travail, c’est le travail. Personne – y compris le bureau 610 – ne devrait interférer avec notre travail ". Certains superviseurs n’arrivaient pas à croire que le journal n’était édité que par une seule personne, et les autres étaient très impressionnés et acceptèrent d’aider mon journal. Après avoir lu des copies du journal, certains de mes collègues m’ont dit que cela faisait longtemps qu’ils n’avaient pas lu de si bonnes publications qui les touchaient autant.


Il est vrai que dans le monde d’aujourd’hui, seul les pratiquants de Dafa savent ce qu’est la véritable beauté.


Le challenge de cultiver parmi les gens ordinaires et qu’on peut facilement se perdre dans la société matérielle. À recevoir des compliments, de la reconnaissance, je ne pouvais m’empêcher de me sentir fier de moi. Je devais me rappeler que ce que j’étais en train de faire n’était pas de me valider moi-même mais le Fa. Maître a dit dans Enseignement de la Loi donné à Manhattan


" vous devez atteindre l'état où vous possédez quelque chose mais n'y accordez pas d'attention, faites quelque chose mais sans y être attachés "


Le Fa est l’origine de tout. Cela ne tient pas à ce dont je suis capable, mais à ce que nous sommes tous des disciples de Dafa sauvant les êtres dans différentes situations, comme il est requis par la rectification de la Loi et nécessaire pour les êtres.

Merci de me faire remarquer toute chose inappropriée.

Traduit de l’anglais : http://en.minghui.org/html/articles/2012/7/20/134512.html


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