Mme Ji Liping de Tongliao persécutée pendant onze ans

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Mme Ji Liping, membre du personnel de la société immobilière de Tongliao en Mongolie intérieure, a été constamment surveillée, arrêtée, cambriolée à son domicile, et harcelée par la police au cours des onze dernières années. Tout cela simplement parce qu'elle est une pratiquante de Falun Gong et qu'elle veut être une bonne personne et se conduire selon les principes Authenticité Compassion Tolérance. Elle a 56 ans et a été torturée au centre de détention de Hexi.

En mars 2000, Shao Jun et Baoji Rimutu de la division de la sécurité intérieure de Tongliao ont fait irruption à son domicile et l'ont emmenée au département de police. Ils ont pris une liste de noms et ont exigé qu'elle leur dise qui elle connaissait (se référant à des compagnons pratiquants). Mme Ji a refusé de répondre, ils l'ont donc emmenée chez elle et saisi de nombreux effets personnels.

Baoji Rimutu a pris sa carte d'identité, ce qui l'a empêchée de se rendre à Pékin pour faire appel. Dès lors, la police l'a placée sous surveillance et l'a harcelée au téléphone presque tous les jours. Ils l'ont forcée à écrire la déclaration de garantie. Si elle sortait, Baoji Rimutu la suivait.

Le 30 mai 2001, Xue Jinyu, Wang Bo et Zhao de la Division de sécurité intérieure ont saccagé la maison de Mme Ji et lui ont volé ses affaires personnelles. Elle a ensuite été emmenée au poste de police.

En mai 2001, Mme Ji a été emmenée au centre de détention de Hexi. La police lui a interdit de lire les livres de Falun Gong et de pratiquer les exercices du Falun Gong. Elle a été menottée à un garde-fou. Comme elle n'avait pas mangé ni dormi pendant deux jours, elle est devenue hébétée. Les policiers l'ont suspendue à la rampe et les menottes se sont enfoncés dans sa chair. Elle a subi une telle douleur qu'elle a repris ses esprits.

Quand elle a demandé sa libération à la police, elle a de nouveau été menottée à un niveau inférieur aussi longtemps que sept à huit heures. Puis elle a été emmenée à la prison des femmes. L'officier de police Wu Yun lui a ordonné de répéter les règles de la prison et il a souvent essayé de l'amener à « avouer », surtout quand elle n'avait pas mangé. Ses membres étaient très faibles et son cœur a été affecté. Puis elle a eu des convulsions. Elle n'a pas été libérée avant un mois.

Tout au long des années suivantes, Mme Ji a été fréquemment harcelée. Un jour, la police est venue et lui a dit que si le directeur ne la voyait pas, il serait extrêmement inquiet. Si elle se rendait à Pékin pour faire appel, il serait mis à pied. Il voulait la garder prisonnière au centre de détention de Hexi afin de ne pas s'inquiéter.

En 2005, Jiang Xiuli, le directeur du comité résidentiel, et une policière se sont présentées chez elle. Mme Ji Liping leur a clarifié la vérité. Quelques jours plus tard, Li Chenghai du commissariat s'est rendu à son domicile et a saisi sa copie du portrait du Maître. Elle l'a repris, et son mari a poussé l'agent dehors.

Traduit de l'anglais au Canada

Version chinoise :
http://minghui.org/mh/articles/2010/6/9/225060.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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