Des murs utilisés comme instruments pour torturer les pratiquants de Falun Gong

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Dans la torture des pratiquants de Falun Gong, la police chinoise et les gardiens de prison ont inventé de nombreuses méthodes dans lesquelles ils utilisent les murs.


1." Collé" au mur
Dans cette méthode de torture, les gardiens demandent aux pratiquants de s'appuyer sur un mur pendant de longues périodes de temps. Certains placent même un morceau de papier entre le pratiquant et le mur qui ne doit pas tomber par terre.

Dans le Camp de Travail Forcé de Fangqiang dans la Province de Jiangsu, les gardiens forcent les pratiquants à avoir leurs nez, ventres et orteils, ou la tête, les talons et les fesses qui touchent le mur en même temps. Les pratiquants qui bougent ou qui refusent les ordres sont battus par les gardiens. Ils doivent se tenir ainsi pendant de longues périodes de temps. Quelque fois, une bassine remplie d'eau est placée sur la tête du pratiquant, et l'eau ne doit pas déborder de la bassine. D'autres sont forcés de tenir des objets lourds dans leurs mains pendant qu'ils font face au mur.

Dans le Camp de Travail forcé pour femmes de Nanmusi, les gardiens torturent même les pratiquantes dans la cinquantaine avec la méthode du mur. Celles en dessous de 50 ans doivent soulever leurs bras tout en faisant face au mur. Cette torture est appelée "voler." Les pratiquantes doivent maintenir cette posture de 16 à 17 heures.

Dans la Prison pour femmes de la province de Guangdong, les gardiens obligent les pratiquantes à tenir un livre sur la tête, un morceau de papier sous chaque bras, un morceau de papier entre les jambes et un autre entre le dos et le mur, tandis qu'elles font face au mur.

En exécutant cette torture, les gardiens quelques fois forcent les pratiquantes à garder les jambes écartées, avec les bras étendus de chaque côté. Cette méthode est appelée le "lézard."

Dans le Camp de Travail Forcé de Tuanhe à Beijing, les pratiquants sont forcés de s'assoir avec les genoux contre le mur et leurs yeux à 30 cm du mur. Cette torture est appelée "s'assoir contre le mur."


2. Appuyer la tête contre le mur

Le pratiquant doit se tenir loin du mur et pencher le corps tout en gardant le dos droit, le visage face au sol jusqu'à ce que la tête appuie sur le mur. Plus il est loin du mur, plus il y a de pression sur la tête. Quelque fois, à la place du mur, le pratiquant doit appuyer la tête sur un coin du mur ou sur le coin d'un montant de lit.

La méthode dite "creuser le mur" demande que le pratiquant appuie sa tête contre le mur ou sur un coin tandis que le haut du corps est perpendiculaire au bas du corps. Parfois, on demande aux pratiquants qu'ils touchent leurs orteils avec leurs doigts ou qu'ils soutiennent un objet entre leurs têtes et le mur. M. Ouyang Ming dans le Centre de Réhabilitation de Shizishan (un camp de travail forcé) dans l'agglomération de Wuhan Province de Hubei, et Mme Shi Shuangshuang dans le Camp de Travail Forcé pour Femmes de Majialong dans l'agglomération de Jiujiang Province de Jiangxi, sont souvent soumis à cette torture.

Mme Xia Cuilan du Canton de Pengze dans la Province de Jiangxi, a été torturée avec cette méthode dans le Camp de travail forcé de Majialong. Les gardiens l'ont forcée à presser sa tête contre l'armature en fer d'un lit pendant 24h en se tenant debout sur le bout des orteils. Presque tout le poids de son corps était supporté par sa tête. Le sommet de sa tête s'est enfoncé et une partie de ses cheveux sont tombés.


3. Fracassé contre le mur

En 2007, Mme Shen Zili de Qiqihar a été arrêtée. La police l'a attachée à une chaise, attrapée par les cheveux et l'a projetée contre un mur jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse.

Quelque fois les gardiens plantent des clous dans le mur et la torture est appelée "enfoncer les clous." Dans le Camp de travail forcé pour femmes de Shayang dans la province de Hubei, les gardiens ont forcé Mme Chen Jianghong à placer sa tête contre un mur plein de clous pendant que le haut de son corps était perpendiculaire au bas de son corps ("creuser le mur"). Si Mme Chen bougeait, les gardiens saisissaient sa tête et la projetaient contre les clous. Mme Chen a été gravement blessée et couverte de sang.

Une autre méthode de torture est "enfoncer le cœur." Le pratiquant est forcé de se tenir debout le dos contre le mur. Les gardiens bourrent la poitrine du pratiquant de coups de poings sans arrêt. M. Ouyang Ming a été soumis à cette torture dans le Centre de Réhabilitation de Shizihan.

Dans le Premier centre de détention de l'agglomération de Yiyang, dans la Province de Hunan, les gardiens ont forcé M. Zhang Chunqiu à s'agenouiller par terre avec le dos contre le mur. Un prisonnier se précipitait en courant sur M. Zhang et a enfoncé un genoux dans sa poitrine. Cela a continué jusqu'à ce que M. Zhang crache du sang.


Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2010/5/25/224222.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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