La conscience et le scalpel du chirurgien

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Alors qu’il travaillait dans la ville de Zhengzhou, dans la province du Henan, agglomération de Xinmin, l’ouvrier émigré Zhang Haichao a commencé à développer une maladie occupationnelle identifiée comme la pneumoconiosis. Mais selon plusieurs diagnostiques de la Clinique de prévention des maladies occupationnelle, sa condition était la tuberculose, qui n’est pas considérée comme une maladie occupationnelle. N’étant pas convaincu, il a visité plusieurs grands hôpitaux à Zhengzhou et Beijing et a obtenu plusieurs diagnostiques dignes de sérieux, établissant que sa condition était bien la pneumoconiosis. Mais la Clinique de prévention des maladies occupationnelles de Zhengzhou a fermement défendu son diagnostique originel de tuberculose. En colère et impuissant à prouver son argument, M. Zhang a pris une décision inimaginable : il s’est porté volontaire pour subir une opération de la poitrine afin de vérifier sa condition pulmonaire.

Un patient était prêt à se faire ouvrir la poitrine simplement pour prouver sa condition déjà diagnostiquée. Quelle absurdité ? Et pourquoi une telle chose a-t-elle pu se produire ? Seul M. Zhang pourrait parler de sa sinistre situation.

Il est difficile d’imaginer que de telles choses aient pu se produire, car c’est tout simplement ridicule et inhumain. Mais des choses encore plus terribles sont arrivées en Chine. Début 2009, dans l’agglomération de Xingyi, province du Guizhou, un homme sans domicile a été retrouvé mort. Lorsque son corps a été repêché dans un réservoir, les gens n’ont pu voir qu’une coquille vide : tous ses organes avaient été enlevés.

La motivation pour tuer l’homme sans domicile était d’obtenir ses organes et les vendre pour de gros profits.

La cruauté du tueur dépasse l’imagination. Des nouvelles de cette sorte sont habituellement vite étouffées. En fait, pas mal de sites Internets qui en ont rendu compte ont été fermés. Manifestement, le fait divers lui-même est une accusation contre le Parti communiste chinois (PCC) et une révélation significative de sa véritable nature. Pas étonnant que le gouvernement ait pris des mesures rapides pour enterrer l’histoire

Maintenant que les nouvelles ont été rapportées par certains medias, les gens le croient. Mais qu’en est il des histoires qui n’ont jamais été rapportées ?

En 2006, des témoins ont révélé que les pratiquants de Falun Gong détenus devenaient victimes d’une opération de prélèvement d’organes à grande échelle en Chine.

Cette accusation a été ultérieurement vérifiée par la communauté internationale. Deux canadiens, le célèbre avocat des droits de l’homme David Matas et l’ancien Secrétaire d’Etat pour l’Asie et le Pacifique David Kilgour, ont mené une investigation complète et approfondie sur ce crime qui inclue des interviews téléphoniques aux hôpitaux, médecins et hommes de main impliqués. Ils ont compilé leurs découvertes et conclusions sur le crime du PCC de récolter les organes de pratiquants de Falun Gong dans un rapport d’enquête indépendant. (http://organharvestinvestigation.net/)

La transplantation d’organes de donneurs non consentants a commencé à se produire en Chine à peu près au même moment où le PCC a intensifié sa persécution du Falun Gong. M. Kilgour et M. Matas ont été terrifiés par un crime aussi intolérable et ont décidé d’examiner l’accusation sur des bases humanitaires. Ils ont dit au monde " C’est une forme de mal grotesque encore jamais vue sur cette planète. " Et le génocide a été commis par le PCC en utilisant ses agences gouvernementales.

Mais beaucoup de chinois confus n’ont pas été réveillés par cette sordide atrocité, et continuent à aveuglement accepter la propagande du PCC. Alors que des gens continuaient à être dupés par les mensonges, de plus en plus de pratiquants de Falun Gong sont devenus les victimes du PCC sous le scalpel du chirurgien.

La persécution du Falun Gong a duré une décennie. Pourquoi les gens n’arrivent ils toujours pas à réaliser la nature perverse des bourreaux ? Peut-être que la plupart des gens sont devenus lâches et que c’est l’environnement social idéal permettant au PCC de persécuter ses ennemis imaginaires sans crainte des représailles.

La capacité d’exécuter le prélèvement à long terme et à grande échelle d' organes de pratiquants de Falun Gong est due en partie au blocage de l’information par le PCC. Les mensonges communistes ont scellé l’esprit et la conscience des gens. Mais ils ne peuvent pas duper les gens pour toujours.

L’indifférence collective est un signe d’approbation silencieuse par la majorité. Dans une telle atmosphère sociale répressive, chaque individu est tellement oppressé qu’il a de la peine à respirer. Le scalpel chirurgical sanglant est sous la protection du parti au pouvoir, et les voix de la justice ne peuvent être entendues. Comment peut on empêcher les meurtriers de disséquer les gens pour le profit ?

Les pratiquants de Falun Gong risquent leurs vies en révélant ces crimes. Ce qu’ils font est exactement ce dont le monde a le plus besoin.

Puissent les cris de douleur des victimes éveiller la conscience de chacun.

Version chinoise disponible à :
http://www.minghui.org/mh/articles/2009/9/19/208398.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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