Des méthodes brutales de torture sont utilisées sur les pratiquantes du Falun Gong dans le camp de travail pour femmes de la province de Guizhou

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Les méthodes brutales de persécution utilisées par les gardiennes de prison du camp de travail pour femmes de la province de Guizhou ciblent particulièrement les pratiquantes du Falun Gong :


Surveillance 24 heures sur 24
Toutes les pratiquantes incarcérées dans ce camp sont surveillées 24 heures sur 24 par des prisonnières toxicomanes. Les gardiennes ont assigné à six toxicomanes de surveiller à tour de rôle les pratiquantes. Elles tiennent un " cahier de rapport" dans lequel elles consignent leurs observations pendant qu’elles maintiennent les pratiquantes sous stricte surveillance, leurs habitudes alimentaires et même la position dans laquelle elles dorment, notant chaque expression faciale et mouvement. Chaque jour quand les gardiens prennent leur travail, la première chose qu’ils font est de lire les notes du jour précédant et ils s'en servent pour persécuter les pratiquantes. Ils recourent aussi à des réductions de peine pour encourager les criminelles à persécuter davantage les pratiquantes.

Torture mentale
Afin d'atteindre l'objectif de " transformer " les pratiquantes, les gardiens les forcent à lire des livres et à regarder des vidéos qui diffament le Falun Gong et Maître Li. Elles sont contraintes de regarder les programmes du PCC et ont été forcées à regarder la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques. Après le tremblement de terre de la province du Sichuan, il y a un livre qui a commencé à circuler dans la prison. Ce livre déformait les faits concernant le tremblement de terre et les pratiquantes ont été obligées de le lire et d' écrire des "compréhensions" qui diffament le Falun Gong. Si les pratiquantes ne coopèrent pas, refusent d'écrire, de lire ou de renoncer à leur croyance, elles sont soumises à la torture.


Torture physique :

1. Pendant de longues périodes de temps les pratiquantes ne sont pas autorisées à laver
leurs cheveux, prendre un bain ou même laver leurs vêtements. Les autorités essayent d’utiliser l'état d’être insupportablement sale pour humilier les pratiquantes et les persécuter


2. Les pratiquantes sont forcées à rester debout pendant de longues périodes de temps. En outre qu’il fasse jour ou nuit, elles ne sont pas autorisées à dormir. Certaines pratiquantes n’ont pas pu supporter cette privation de sommeil et ont fini par tomber par terre et se sont blessées en tombant. Certaines ont aussi développé une mauvaise circulation sanguine dans les jambes et les pieds dû à la station debout prolongée. Leurs pieds étaient gravement enflés et se craquelaient et ont commencé à suinter du pus et du sang. Certaines pratiquantes ont eu leurs jointures disloquées quand elles ont été passées à tabac. Certaines pratiquantes ont même été dévêtues complètement et forcées à rester debout dehors pendant une longue période de temps exposées au vent glacial d'hiver. Dans la chaleur de l'été, les pratiquantes ont également été forcées à porter des vêtements épais et à rester debout sous un soleil cuisant. Certaines gardiennes ont trempé des serviettes hygiéniques usées dans de l'eau et ont forcée les pratiquantes à boire cette eau contaminée. Certaines prisonnières ont attrapé des insectes et les ont mis sur la tête des pratiquantes. Une fois, ils ont posé un bol d'eau sur la tête d'une pratiquante et lui ont interdit de bouger. Elles ont également refusé aux pratiquantes d’aller aux toilettes même quand elles avaient besoin d’aller à la selle. Alors qu’elles sont surveillées, les pratiquantes n’avaient pas le droit d’aller aux toilettes ensemble. Au contraire peu importe l’envie pressante, les pratiquantes étaient obligées d’attendre leur tour.

3. En plus de la sévérité des tortures décrites plus haut, les pratiquantes qui refusent de renoncer à leur croyance endurent d’autres maltraitances. Les gardiennes scellent leur bouche avec du ruban adhésif et les torturent brutalement et les battent.


Parmi les gardiens qui ont participé à la persécution se trouvent Gui Xinying, Jian Xia etYuan Fang et bien d’autres.

Version chinoise disponible à: http://minghui.ca/mh/articles/2009/1/10/193240.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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