Un maître de l'Opéra De Pékin : Très heureux, très heureux, très heureux (Photo)

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M. Cao Junlin est l'un des quelques talents spéciaux dans le cercle de l'opéra de Pékin capable de jouer en même temps un rôle de danseur et un rôle de chanteur. Son interprétation dans le drame dansé et chanté "La fille Mengjiang" a secoué Changhaï en 1945. C'était le premier drame chanté et dansé de l'histoire chinoise moderne. En plus de ses nombreuses expériences d'interprétation, depuis 1980 il a également été invité à enseigner en Suède, en Allemagne, et en Autriche. Il a été membre du comité d'une association d'opéra chinois et le directeur exécutif de la Troupe d'art dramatique de Fu Hsing. Dans les années 60, en temps qu'élève du célèbre opéra de Pékin, il a présenté une émission de télévision qui a présenté l'opéra de Pékin à ses téléspectateurs.


M. Cao a dirigé des recherches sur l'opéra de Pékin et la danse depuis 1949. Ses étudiants comprenaient des gens dont le talent était destiné à l'opéra de Pékin ou à la danse, et qui sont maintenant tous membres du corps enseignant de différentes écoles et départements éducatifs. Il a dressé un inventaire complet des techniques de l'opéra de Pékin pour l'Académie Nationale des Arts Dramatiques de Fu Hsing, l'Académie des Arts Dramatiques de Lu Guang, l'Institut National des Arts, l'Université de la Culture Chinoise, et l'Académie des Arts Dramatique de Hai Guang. L'ensemble des techniques qu'il a enseignées était très strict et sérieux, et est devenu un classique pour l'étude de l'opéra de Pékin.


Les Han, les Mandchous, les Mongols, et les Tibétains y étaient tous, c'est une chose que je n'ai pas vue depuis des années
Allant sur ses 80 ans, M. Cao a assisté à la représentation du Chinese Spectacular de la Compagnie des Arts Divins à Taipei le 15 mars. Il n'a pas tari d'éloges sur la danse classique traditionnelle chinoise du Spectacular. Il a dit : "Cela fait si longtemps que je n'ai pas vu de si bonne représentation de danse ".

Le maître de l'Opéra de Pékin,M. Cao Junlin espère que la Compagnie des Arts Divins pourra faire connaître la beauté de la danse et de la culture traditionnelle chinoise à une grande échelle.

M. Cao a dit : "L'interprétation de la Compagnie des Arts Divins était une présentation complète de l'art, incluant la chorégraphie, la musique, et l'action. Le spectacle tout entier parlait de culture chinoise, sans aucun élément de pays étrangers. Les groupes ethniques comme les Han, les Mandchous, les Mongols, et les Tibétains sont tous représentés. J'ai vécu à Taiwan de si nombreuses années, et je n'ai jamais vu un spectacle de danse aussi bon que celui là ".

A propos des costumes, il a commenté :"Les créateurs doivent y avoir mis beaucoup d'effort".


Le Spectacular touche en subtilité
M. Cao a noté que les scènes comme "Fleur de lotus éclose" et "Le pouvoir de la conscience" avaient ajouté des éléments dramatiques, qui ont facilité la compréhension des scènes pour le public. "C'était très bien. Dans "Le pouvoir de la conscience", le public a applaudi lorsque trois gangsters habillés en policiers ont frappé une bonne personne et puis ont été par la suite repoussés par les forces unies d'une foule juste. A partir de cet exemple, nous pouvons voir qu'il était acceptable pour le public que la danse soit adéquatement ajoutée au drame".


Les danseurs étaient dans une précise unité
M. Cao a encore loué l'accord tacite démontré par tous les danseurs dans la danse de groupe, "Le pouvoir de la conscience". Il a dit : "Ce n'était pas simplement une personne, c'était en fait joué par plusieurs dizaines de danseurs. Cependant, leurs mouvements étaient identiques. Il n'y avait rien comme tu as fait une erreur ou j'ai fait une erreur. Rien du tout. Celui qui devait se déplacer vers l'arrière se déplaçait vers l'arrière, et celui qui devait se déplacer en avant se déplaçait en avant. Leurs mouvements étaient complètement à l'unisson à la fin de la scène. C'était tout simplement beau».


M. Cao a été très strict et sérieux au sujet des arts vivants tout au long de sa vie. Il a dit que les danseurs de la Compagnie des Arts Divins, homme ou femme, étaient tous les très beaux et bien entraînés. Au sujet de "Manches d'eau", il a dit : "les danseuses conduisaient leurs longues manches à l'unisson parfaite. En particulier, quand elles jettent leurs manches,elles avaient des mouvements absolument unis".


Très heureux, très heureux, très heureux
M. Cao a pensé que les danseurs doivent avoir répété pendant longtemps parce qu'ils n'auraient probablement pas pu danser dans un unisson aussi parfait après deux ou trois jours de pratique. Il a dit : "Ce n'est pas une tâche facile pour plusieurs dizaines de personnes de danser dans un unisson aussi parfait".


Il a dit que le spectacle a donné au public une occasion d'apprécier ce genre de beauté, et donc il était "très heureux, très heureux, et très heureux". Il espère que la Compagnie des Arts Divins pourra faire connaître la beauté et la qualité de la danse et de la culture traditionnelle chinoise sur une grande échelle.

Date d'article original : 21/03/2008
Version chinoise disponible sur http://minghui.ca/mh/articles/2008/3/16/174452.html


Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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