Les pratiquantes endurent la torture mentale et le travail éreintant dans la prison pour femmes de Shijiazhuang, dans la province du Hebei

Actuellement, la prison pour femmes de Shijiazhuang détient illégalement environ 200 pratiquantes réparties dans chaque petit escadron. Dans la prison, les incidents s'enveniment vite et sont cruels. La vie tient souvent à un fil ; un peu de négligence entraîne des abus et la pression est énorme. On exige aussi des pratiquantes un travail physique éreintant.

Les gardiennes de prison incitent les condamnées à surveiller les activités quotidiennes des pratiquantes durant leurs conversations, les repas, les heures de travail et d'autres activités. Ainsi, les pratiquantes doivent endurer toutes sortes de traitements inhumains. Elles sont forcées à travailler de longues heures jusqu'à 23h ou minuit avant de pouvoir aller dormir. Il y a une certaine quantité de travail à effectuer pour chacune d'elles sans quoi elles sont punies. Les punitions pleuvent aussi si la qualité n'est pas bonne où si elle sont prises à parler entre elles.

La pratiquante Mme. Zhang Lijun a été condamnée à 12 ans d'emprisonnement pour avoir refusé de coopérer avec les gardes de la prison. Elle a fait une grève de la faim à plusieurs reprises pour résister à la persécution. Les gardes de prison ont incité les condamnées à la passer à tabac et l'insulter. Elle est physiquement très faible et souffre d'un mauvais état du coeur et d'hypertension. Tout son corps est enflé. On ne lui permet pas de voir sa famille ou d'écrire une lettre. Elle est actuellement détenue dans la 5ème section de la prison.

Date de l'article original : 7/10/2007
Categorie: Récits de témoins oculaires

Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2007/9/24/163235.html

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