Histoires encourageantes de policiers et détenus en centres de détention qui ont appris la vérité

1. Dans un centre de détention, lorsqu’il était l’heure pour les pratiquants d’émettre la pensée droite [ceci se réfère à une forme de méditation, en tenant la main droite au niveau de la poitrine], des détenus se sont dit, “Ne parlez plus. S’il vous plaît, ne perturbez pas les pratiquants de Dafa qui émettent la pensée droite ». Voyant que les pratiquants transpiraient à grosses gouttes lorsqu’ils émettaient la pensée droite à cause de la chaleur extérieure, quelques détenus leur préparaient de l’eau pour prendre un bain ; certains leur éventaient même le visage. Lorsque Jiang apparaissait aux informations télévisées, tous les détenus le condamnaient ensemble.

2. Dans une ville, un couple, deux non-pratiquants de Falun Gong qui souffraient de troubles mentaux, ont tué leur fils âgé de 4 ans. Ces faits ont été utilisés pour calomnier et attaquer le Falun Gong. Tous les policiers connaissaient la vérité. Ils disaient « Au préalable, nous avons cru ce que les informations télévisées ont annoncé. Maintenant, nous avons appris que la TV a menti. A la suite de nos contacts personnels avec les pratiquants de Falun Dafa, nous avons appris qu’ils sont tous de bonnes personnes et qu’ils sont traités injustement. Comment se fait-il que les mauvais traitements qu’ils subissent ne créent pas l’indignation populaire ! »

3. Le détenu responsable d’une cellule a parlé méchamment à un pratiquant qui faisait les exercices. Le dirigeant du centre de détention qui était de garde ce jour-là a crié au détenu, « Qu’oses-tu faire au Falun Gong ? Même Jiang n’a aucun moyen de les contrôler ! ».

4. Un policier était assis dans la cour du centre de détention, regardant silencieusement sept pratiquants en train de faire les exercices de Falun Gong. Lorsque les autres ont essayé de lui parler, il leur a fait des signes, leur indiquant de ne pas déranger les pratiquants. Lorsqu’ils ont eu fini de pratiquer les exercices, les pratiquants lui ont parlé de Dafa. Les ayant écouté, il a rapidement sorti un morceau de papier d’un magazine qu’il avait dans la main – c’étaient les paroles de Maître Li qu’il avait lui-même écrites. Il a donné ce papier à un pratiquant et s’en est allé en souriant.

5. Un centre de détention autorise tous les détenus à regarder la télévision chaque dimanche. Lorsque les policiers qui étaient responsables remarquaient que les pratiquants émettaient la pensée droite, ils baissaient le volume ou éteignaient même la TV jusqu’à ce que les pratiquants aient terminé.