Empoisonnement par les drogues – Une méthode de torture souvent utilisée par le PCC

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L’article, ‘’ Révéler totalement et éliminer la persécution vicieuse des malfaiteurs’’, publié sur le site Internet Minghui le 25 décembre 2006, a révélé davantage la persécution brutale que les fonctionnaires du Parti communiste chinois (PCC) ont utilisé sur les pratiquants de Falun Dafa, durant les sept dernières années.

Cet article se focalise principalement sur les incidents d’empoisonnement par les drogues dans les prisons et les camps de travaux forcés dans la province de Qinghai. D'autres crimes de nature similaire attendent une enquête et la collecte de preuves de la part de l’Organisation Mondiale pour Enquêter sur la Persécution de Falun Gong (WOIPFG). Nous espérons que davantage de gens pourront fournir des informations détaillées révélant les atrocités du régime du PCC sur cet aspect, et que la communauté internationale prêtera plus d'attention aux crimes de ce régime contre l’humanité.

Le PCC dans la province de Qinghai a pendant longtemps brutalisé les pratiquants en leur faisant absorber des drogues inconnues. D’abord, nous voulons donner un bref résumé des incidents publiés sur le site Internet Minghui/Clearwisdom durant les quelques années passées.

1. La pratiquante Mme Fan Lihong décède suite à la torture dans le camp de travaux forcés pour femmes Qinghai et l’hôpital psychiatrique de Qinghai.

Entre le 5 et le 6 mai 2001, les fonctionnaires du camp de travail pour femmes de la province de Qinghai ont transporté Mme Fan Lihong, pratiquante de Falun Gong, âgée de 29 ans, une femme seule, dans un hôpital psychiatrique contre sa volonté. Les policiers pervers, les médecins, et les autres fonctionnaires lui ont fait ingérer des drogues de force dans cet établissement. Elle a été envoyée dans un hôpital psychiatrique à plusieurs occasions et a été maltraitée physiquement et mentalement. Après que Mme Fan ait quitté l’hôpital psychiatrique, elle a souffert de perte d’appétit et était souvent désorientée. Son corps a été découvert dans le Parc du Peuple de Qinghai en janvier 2002.

2. Plusieurs pratiquants endurent la torture dans des cellules de confinement solitaire à l’intérieur des camps de travaux pour femmes de la province de Qinghai.

Les gardiens du camp de travail pour femmes de la province de Qinghai ont torturé des pratiquantes déterminées. Ces pratiquantes ont refusé d’abandonner la pratique de Dafa et ont ainsi, été enfermées en confinement solitaire, choquées avec des matraques électriques, et ont du endurer des passages à tabac sauvages entre les mains des détenus toxicomanes, encouragés par les fonctionnaires. Lors de la Nouvelle Année chinoise 2002, une pratiquante a été piégée à se rendre au poste de police, où elle a été arrêtée, puis envoyée en confinement solitaire dans le camp de travail pour femmes de la province de Qinghai. La personne incarcérée dans la cellule adjacente No. 2 était la pratiquante, Mme Li Guixiang. Son corps était couvert de meurtrissures et de blessures après que les gardiens l’aient battue, et elle pouvait à peine marcher. Elle devait s’appuyer contre un mur et marchait tout doucement pour se rendre aux toilettes du fait de la douleur causée par les coups. La pratiquante Mme Li Jing, sexagénaire, en grève de la faim en guise de protestation, fut détenue dans la cellule No. 3. La grève de la faim de Mme Li a duré plusieurs jours. Les gardiens ont recouru à l’administration de drogues jusque là inconnues, et autres moyens méprisables pour torturer des pratiquantes, au point que celles-ci ont souffert d’effondrement mental.Elles sont devenues anxieuses et délirantes, griffaient les murs de leurs doigts et rongeaient la table.

3. L’annonce publique du Groupe de collecte de preuves pour Enquêter sur la Persécution de Falun Gong dans la province de Qinghai

La pratiquante Mme Wang Shujuan a refusé de porter un matricule de prisonnier. Les gardiens ont choqué les zones sensibles de son corps, dont sa tête, son visage, ses paumes, et les plantes de ses pieds, avec quatre matraques électriques pendant un long moment. Lorsque les batteries tombaient à plat, ils les rechargeaient, puis reprenaient. Ils ont mis des drogues inconnues dans sa soupe, dont le goût lui a semblé étrange à la première gorgée, elle a cessé de la prendre pensant qu’elle était empoisonnée ou contenait des drogues pour brutaliser les pratiquantes, puis n'y a plus pensé. Toutefois, le peu de soupe consommée a rendu sa langue engourdie et fait écumer sa bouche. Ses mains et ses pieds étaient froids et engourdis, et ses jambes étaient parfois engourdies et douloureuses. Puis, elle a mené une grève de faim de neuf jours dans une cellule d'incarcération solitaire. Dans le but de la forcer à abandonner sa croyance en Authenticité-Compassion-Tolérance, les gardiens la faisaient courir pendant des heures chaque jour, alors même qu’elle était extrêmement faible suite à la grève de la faim. Ils ont tenté de détruire sa volonté et de l’épuiser par des punitions corporelles continues. La persécution cruelle lui a causé des dommages physiques permanents. Elle souffre encore d’engourdissements et de douleur dans ses jambes.

4.Eléments d'enquête supplémentaires concernant la persécution des pratiquants de Falun Gong dans le Camp de travail forcé Qinghai.

La pratiquante Mme Zhang Xuefeng a refusé de renoncer à sa croyance alors qu’elle était encore détenue dans le camp de travail. C’est pourquoi les fonctionnaires du camp lui ont injecté des drogues endommageant les nerfs, lui causant des pertes de mémoires.

Le pratiquant Tan Yingchun a été torturé à mort dans le même camp de travail.

Le pratiquant M. He Wanzhu, détenu dans le Camp de travail pour hommes de la province de Qinghai, municipalité de Baduo, province de Qinhai, a senti, un jour, quelque chose d’étrange dans sa soupe. Il a pris une petite gorgée et a immédiatement réalisé que quelque chose n’allait pas—du poison avait été ajouté à la nourriture. Il a laissé la soupe mais a commencé à se sentir la poitrine oppressée et la bouche engourdie.


5. La persécution des pratiquantes de Falun Gong dans le camp de travail et de réhabilitation pour droguées

Le gardien Zhang Wenjiang tentait souvent de ‘’ réformer’’ une jeune pratiquante de Falun Gong, une jeune fille appelée Luo Fang. Lorsque Luo Fang refusait fermement d’abandonner sa croyance, Zhang Wenjing la choquait avec des matraques électriques, la battait et lui donnait des coups de pieds. Luo Fang fut traumatisée suite à la torture, cependant, les gardiens ont déclaré que Luo Fang était devenue folle suite à sa pratique du Falun Gong. Quelquefois, les gardiens faisaient rester debout Luo Fang durant plusieurs jours et ne lui donnaient rien à manger.

Les détenues du camp de travail ne sont pas sorties travailler à l'extérieur durant l' hiver 2002. Les autorités du camp ont fait assister les pratiquants de Falun Gong à ce qui est devenu une grande session de lavage de cerveau, au cours de laquelle, le chef du camp de travail Xiang Jianmei, calomniait et attaquait Dafa et le Maître. Luo Fang se tenait debout et a dit : ‘’ Mme Xiang, ce que vous dites est faux ! le Maître n’a pas dit cela.’’ Xiang Jianmei l’a interrompue et a crié : ‘’ Ce n’est pas un endroit où tu peux dire ce que tu veux. Emmenez-la !’’

Le gardien Duan Hairong a dit au gardien Zhang Wenjing et d'autres de traîner Luo Fang jusqu’au bureau de la Division 2, et ils l’ont battue sauvagement. Ils l’ont choquée avec des matraques électriques. Les gens entendaient le son grésillant des matraques électriques et de la chair humaine qui grillait dans tout le bâtiment. Les gardiens ont battu Luo Fang jusqu’à ce que du liquide s’écoule par ses oreilles, puis ils l’ont envoyée en cellule d'incarcération solitaire. Après le passage à tabac , les gardiens l’ont forcée à suivre un soi-disant traitement. Luo Fang savait qu’ils tentaient de cacher leurs crimes et a refusé de coopérer avec eux. Les gardiens ont ordonné à cinq détenus de la porter dans la clinique du camp de travail, où ils lui ont fait des injections de ce qu’ils disaient être des médications très efficaces. Xiang Jianmei a déclaré : ‘’ Une piqûre coûte plus de 100 yuans,’’ mais nous ne savons pas de quelle drogue il s’agissait.

Les pratiquants Fan Lihong et Zhang Xuefeng ont souffert d’effondrement mental et sont décédés après avoir reçu des injections de drogues similaires.

Xiang Jianmei a battu une pratiquante jusqu’à ce qu’elle devienne gravement blessée, puis ils lui ont fait des injections de drogues endommageant les nerfs

Xiang Jianmei a eu le culot d' affirmer que les gardiens étaient si bons avec les pratiquants de Falun Gong qu’ils ne regardaient pas au coût des traitements médicaux. Ils cachaient la vérité et trompaient le public.

Les incidents ci dessus révèlent une sinistre tendance de la persécution : D’abord, battre les pratiquants de Falun Gong déterminés, puis les placer en incarcération solitaire sans couverture ni couette, forçant les pratiquants à dormir sur le sol de béton. Les gardiens emmenaient les pratiquants blessés dans les hôpitaux psychiatriques ou dans les cliniques du camp de travail pour leur injecter des drogues inconnues, parfois, ils mélangent des drogues inconnues avec d’autres drogues spécifiques, et ordonnent aux toxocomanes assignés à leur surveillance de forcer ces derniers à ingérer des médicaments plusieurs fois par jour. Lorsque les pratiquants développent des symptômes d'esprit absent ou souffrent d’un effondrement mental suite aux drogues, ils ‘’réforment’’ les pratiquants par des moyens brutaux ou disent qu’ils ont développé des problèmes à cause de la pratique de Falun Gong. Ils séparent les pratiquants déterminés des autres pratiquants pour affaiblir leur force de volonté.

Dans le but de ‘’réformer’’ rapidement les pratiquants, de détruire la force de volonté des pratiquants et de justifier la persécution, les fonctionnaires dans les centres de détention, les camps de travail et les prisons où les pratiquants sont détenus illégalement, ont souvent recours à des tactiques grotesques . Ils injectent secrètement des drogues inconnues aux pratiquants endormis ou mettent des drogues empoisonnées dans leur nourriture, entraînant un malaise général, des difficultés à marcher, des paroles lentes, un rapide déclin des réactions et de la mémoire, et des dommages aux organes. Quelques pratiquants souffrent d’un effondrement mental complet, ne peuvent pas se réveiller d’un sommeil comateux et ont des pensées
désordonnées.

Selon notre enquête, les pratiquants de Falun Gong Fan Lihong, Zhang Xuefeng, et Ping Chunfeng ont témoigné qu’ils avaient reçu des injections de drogues, ou que leur nourriture a été mêlée avec des substances inconnues, dans les camps de travail . Leurs symptômes semblent être similaires à ceux décrits dans l’article ‘’ Exposer complètement et éliminer la persécution vicieuse des malfaiteurs’’ disant : ‘’ Bien que nous ne connaissions pas le nom exact des drogues injectées ou mises dans la nourriture [des pratiquants], au vu des symptômes, ce sont évidemment des drogues qui peuvent endommager le cerveau et le système nerveux central. La plupart des personnes sont extrêmement sensibles à ce type de drogues, et après absorption, expérimentaient tous types de symptômes, reflétant les dommages mentaux ou nerveux, rendant difficile pour les gens de penser, se souvenir et communiquer normalement. Une ingestion à long terme de nourriture mêlée de drogues empoisonnées à l'insue des victimes, résultant à la fois en un empoisonnement et des dommages irréversibles aux organes, menant parfois à de multiples problèmes organiques et la mort. La nature des symptômes et la longueur de la période de temps nécessaire pour que les symptômes apparaissent dépendent du type et de la quantité de drogues administrées.’’

Les gardiens ont donné ou injecté des drogues endommageant les nerfs, aux pratiquant Fan Lihong et Zhang Xuefeng. Les états mentaux des pratiquants sont devenus instables. Après que Fan Lihong et Zhang Xuefeng aient recouvré , ils ont parlé à beaucoup de personnes de leurs expériences, mais ces dernières ont refusé de les croire, tant ils trouvaient l’étendue de la malveillance difficile à concevoir . Même les membres de leur famille n’y ont pas prêté suffisamment attention, puis l’ont regretté après que les deux pratiquants soient décédés.

Le pratiquant Ping Chunfeng, membre du personnel de l’Université Normale Qinghai qui, plus tard, est devenu chef de section au Département Logistique a rapporté qu’en deux occasions distinctes, en 2002 et 2003, il a reçu des injections de drogues empoisonnées et que sa nourriture a été mélangée à du poison. Il a déliré et ne pouvait décrire clairement la situation. Les gens lui ont demandé de fournir un récit précis et détaillé de la persécution. Avant qu’il puisse réecrire son article, il a été arrêté une deuxième fois et les fonctionnaires l’ont mis sous surveillance étroite. Il est décédé en 2005. L’Université Normale de Qinghai a bloqué l’information et nous ne savons toujours pas exactement comment il est mort. Le gouvernement déclare qu’il s’est suicidé en sautant d’un bâtiment. Sans considérer la cause du décès, une chose est certaine : Les collègues de Ping Chunfeng ont dit qu’il était normal et en bonne santé mentale avant la persécution. Nous pensons que son empoisonnement au Camp de travaux de la Province Qinghai l’a mené à l’effondrement mental et à la mort. Ping Chunfeng est le septième cas de mort de pratiquant de Falun Gong vérifiable, suite à la persécution dans la province de Qinghai.

Les pratiquants Fan Lihong et Zhang Xuefeng ont confirmé à d' autres pratiquants avant leur mort, avoir reçu des injections de drogues endommageant le système nerveux.

La pratiquante mentionnée ci dessus, Mme Wang Shujuan vient de la province de Shandong. Nous nous inquiétons des pratiquants de Dafa détenus dans la province de Qinghai venus d' autres provinces. Leurs noms sont inconnus, et ils sont éloignés de leur famille. Les fonctionnaires recoureraient-ils de façon encore plus sans scrupules à des drogues sur eux ? Nous appelons la communauté internationale à empêcher de telles atrocités de se répéter.

Outre le pratiquant M. He Wanzhu, beaucoup d’autres pratiquants peuvent témoigner de l’empoisonnement par des drogues. La pratiquante Mme Li Yuanping est une professionnelle de santé. Durant sa détention dans le Camp de travail de réhabilitation pour droguées de la province de Qinghai, elle a découvert que le camp de travail est en fait, une chambre de torture utilisée seulement pour détenir et persécuter les pratiquants de Falun Gong. Les droguées envoyées dans le camp de travail ont déjà été désintoxiquées dans les centres de détention et n’ont pas reçu de traitement d’attaque dans le camp de travail. Selon certaines droguées, les gardiens les ont amenées à surveiller les pratiquantes de Falun Gong par des menaces et des promesses de récompenses, après que le camp de travail a commencé à détenir les pratiquants. Elles devaient rapporter les mots et actions des pratiquantes qu’elles surveillent sur un morceau de papier, à tour de rôle, quotidiennement. Des caméras de surveillance étaient installées dans chaque cellule et quelquefois, les gardiens étaient assignés en service de nuit.

Mme Li Yuanping a été choquée avec des matraques électriques entre les mains de plusieurs gardiens et a été gravement blessée. Les gardiens l’ont forcée à subir un ‘’traitement médical.’’ Le médecin Chen Qinghua a prescrit des drogues mais elle a donné des médicaments aux drogués assignés à surveiller Mme Li et leur a dit de façon répétée de la forcer à les prendre ‘’ en temps et en heure.’’ Mme Li a vu que ces séries de médicaments n’agissaient pas comme les autres médicaments et elle a commencé à avoir des nausées et des engourdissements après les avoir avalés. Elle était fatiguée, elle pouvait à peine marcher, ses paroles et ses mouvements étaient hésitants, et son temps de réaction et sa mémoire déclinaient. Après avoir réalisé cela, elle a cessé de prendre les médicaments en les crachant secrètement lorsque les droguées la forçaient à les prendre. Elle a exprimé ses doutes dans la cellule, et les droguées l’ont immédiatement dénoncée aux fonctionnaires du camp. Après cela, le chef du camp de travail Xiang Jianmei, les gardiens et le médecin Chen Qinghua ont tenté de cacher leur crime.

Durant la période où la jeune pratiquante Luo Fang de la province de Gansu a été détenue dans ce même camp de travail, beaucoup de pratiquants l’ont vu ronger les tables et ramper sous le lit et la table après avoir reçu des injections de drogues. La pratiquante Mme Li Yuanping a affronté le médecin Chen Qinghua et lui a demandé quelles drogues il avait donné à Luo Fang. Chen Qinghua a répondu : ‘’ Rien, juste de la pénicilline.’’ Ses mots contredisaient la déclaration du chef du camp Xiang Jianming selon laquelle chaque piqûre coûtait plus de 100 yuans.

Nous pressons la communauté internationale de prendre des mesures rapides et efficaces pour faire cesser cette persécution perverse du Falun Gong.

Nous appelons les pratiquants dans le monde a émettre des pensées droites sur une grande fréquence, en direction des centres de lavage de cerveau, les camps de travail, les prisons et les camps de concentration pour complètement éliminer le mal.

Date de publication: 14/1/2007

Version chinoise disponible :
http://minghui.ca/mh/articles/2006/12/30/145775.html

Version anglaise disponible sur :
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2007/1/14/81690.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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