Arrêtez la persécution brutale des disciples de Dafa dans le camp de travaux forcés pour femmes de Masanjia numéro 2

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Le célèbre camp de travaux forcés de Masanija se qualifie lui-même d'« École de ré-éducation idéologique du Liaoning ». En réalité, c’est un enfer sur terre, Les disciples de Dafa des la province ont été illégalement arrêtées et emprisonnées là par le Bureau 610. Il y a eu par moments jusquà 1,000 pratiquantes détenues à cet endroit. Au minimum, il y a eu une centaine de personnes détenues durant un certain temps. Même si de nombreuses disciples de Dafa qui ont souffert de la persécution dans cet endroit ont dénoncé les crimes pervers, j’aimerais aussi partager les choses que je connais.

De manière à persécuter les disciples de Dafa, les forces perverses ont fait en sorte que ce système de détention soit très complet avec un directeur, un commissaire politique, des chefs de brigade, des chefs de parti et des « éducateurs » professionnels dans le lavage de cerveau. A part cela, ils ont aussi éduqué un groupe de voyous (qui se nomment elles-mêmes le Personnel du camp de travaux forcés pour femmes de Masanija numéro 2). Ces bandits portent des uniformes de police et leurs responsabilités consistent particulièrement à torturer et à « transformer » les pratiquantes de Dafa déterminées.

En 2005, il y avait environ 60 pratiquantes de Falun Dafa qui y étaient enfermées. Elles étaient illégalement détenues et strictement confinées dans six salles de l’Unité numéro 1. Ils les faisaient s’asseoir sur des petits bancs de plastique toute la journée. Tout ce qu’elles recevaient comme nourriture était un peu de pain et quelques nouilles avec du bouillon. Tous les jours, on obligeait les pratiquantes à regarder et à écouter des vidéos, des programmes de télévision et des émissions qui attaquent Dafa et calomnient Maître Li Hongzhi. Les pratiquantes ont démarré une grève de la faim en groupe en signe de protestation. Les persécuteurs ont alors commencé à les gaver de force. Deux policières tenaient les jambes des pratiquantes, deux autres tenaient leurs mains. Ensuite un médecin nommé Cao prenait une tige de bois de deux cm d’épaisseur et l’insérait dans la bouche des pratiquantes jusqu'à ce qu'elle se trouve au fond de la gorge de la pratiquante. Ensuite, il versait une soupe de nouilles dans la bouche de la pratiquante. La soupe rejaillissait alors sur lui, aussi il utilisait un serviette pour fermer la bouche et le nez des pratiquantes. Il n’y avait pas d’espace pour respirer. C’était extrêmement douloureux. La vie des pratiquantes a été à plusieurs reprises en danger. Si elles refusaient d’ouvrir leurs bouches, les persécuteurs utilisaient des petites pinces pour les forcer à écarter les dents. Les pratiquantes qui étaient dans les six salles ont toutes été gavées de force.

Ils ont aussi forcé les pratiquantes à porter des uniformes de la prison, à faire des exercices tôt le matin, des travaux, et à réciter la règle numéro 30 de la prison. Ils fouillaient les vêtements des pratiquantes et si elles ne voulaient pas coopérer, ils les battaient et les insultaient ou les confinaient dans des compartiments solitaires. Une pratiquante nommée Huang Sumei pratiquait les exercices et a refusé de porter l’uniforme de la prison, aussi un policier nommé Dai Yuhong lui a tiré les cheveux et lui a pincé les bras Le chef de police lui a même versé de l’eau froide sur les jambes et a ouvert la fenêtre pour la faire geler. Depuis que Huang Sumei a refusé de coopérer, elle a été forcé de supporter un confinement solitaire à 3 reprises, les mains attachées à un banc durant 5 jours entiers. Le temps le plus long de confinement solitaire est de 22 jours. Manger, boire et aller aux toilettes sont tous faits dans ce petit confinement cellulaire. Les conditions sont abominables. Les policiers font des fouilles corporelles selon leur convenance, spécialement les jours qu’il considèrent comme étant des dates sensibles, Ils font faire la queue aux pratiquantes et les fouillent à volonté, des sous-vêtments jusqu’à l’intérieur des souliers. Après la fouille , les salles semblent avoir été pillées par des bandits.

Le 30 août 2006, un groupe de gardiens du camp de travaux forcés de Masanjia numéro 2 a déménagé dans le camp de travaux forcés. Ils ont commencé à utiliser différentes méthodes de torture sur les disciples de Dafa déterminées de façon à les détourner de Dafa. La plus insoutenable méthode est la «Grande suspension » avec une main menottée à un barreau du haut de l’échelle d’un lit surperposé, et l’autre main menottée au plus bas de la tête du lit. Les deux bras sont étirés, un en haut et l’autre en bas. La personne ne peut ni se tenir debout ni s’asseoir. Les deux jambes sont attachées. C’est insoutenable. Durant ce temps, il est défendu de manger ou d’aller aux toilettes. Quelques-unes n’ont pas d’autre choix que de déféquer dans leur pantalon. La pratiquant Wang Guiping a été attachée ainsi durant 30 heures. Ses poignets ont saigné d’avoir été dans cette position aussi longtemps. Elle ne pouvait plus l’endurer et elle a été obligée d’écrire les trois déclarations.

Un autre genre de torture implique de gaver une victime avec des drogues sur le « lit de la mort » La pratiquante Shu Guirong et d’autres ont été exposées à cela. Le policier Ma Qishan et le docteur Cao, ont premièrement suggéré la « Grande suspension. » Ensuite, ils l'ont attachée au « lit de la mort » pour lui faire subir un gavage forcé. Comme la pratiquante refusait de coopérer, ils ont utilisé une tige de bois pour lui tenir la bouche ouverte, et ils l'ont nourrie avec 2 ou 3 bouteilles de drogue. La bouche de la pratiquante étaient tellement blessée qu’elle ne pouvait pas manger. D’autres pratiquantes incluant Liu Guiyan et Xie Dewen ont été blessées à la bouche de la même manière. La pratiquante Zhang Liyan ne voulait pas coopérer et a refusé de signer son nom. Le policier Liu Yong et Ma Qishan ont attaché ses quatre membres à un lit pendant 5 à 6 heures.

Dix jours avant d’être libérées du camp de travaux forcés, on a une fois de plus obligé les pratiquantes à écrire les trois déclarations de renonciation au Falun Gong. Les persécuteurs comme Zhao Yonghua et Ruan Suzhen, qui étaient restés au camp de travaux forcés pour femmes numéro 2 afin de mener les cessions de lavage de cerveau, ont essayé de les duper avec une logique tordue. Les pratiquantes ne l’ont pas accepté et ont refusé d’écrire le rapport. Aussi les « professeurs » les ont dénoncées aux policiers Liu Yong et Ma Qishan, et en conséquence ce groupe de policiers a commencé à les brutaliser en utilisant « la grande suspension. » Le directeur de la police a discuté avec eux du montant des gages et des bonus dont ils seront gratifiés si 10 pratiquantes sont transformées. Par cupidité, rien n’arrête ces personnes à commettre des actions déshonorantes à l’encontre des pratiquantes de Dafa. Après avoir prétendument transformé 61 pratiquantes de Dafa, chaque nuit, ils mangeaient, buvaient, et s’amusaient entre eux très tard, en prenant plaisir à la souffrance des autres.

Actuellement, la persécution dans ce camp de travaux forcés perdure encore. On oblige les pratiquantes à faire des exercices physiques matinaux, à chanter les chansons du PPC, à se tenir debout pour faire les éloges du chef du parti et à réciter les « 30 règlements ». Si des pratiquantes ne font pas les éloges du chef du parti, le chef policier Zhang Lei les oblige à louer le chef du parti 5 à 10 fois. Si elles refusent de le faire, elles doivent se tenir face au mur. Durant la période des repas on oblige les pratiquantes à chanter les chansons du PCC. Zhang Lei punit celles qui ne chantent qu'avec une petite voix en faisant en sorte que chacune reste debout et elles n'ont pas le droit de manger tant qu’elles n’ont pas chanté avec une voix forte. La pratiquante de Dafa, Lifeng a été physiquement maltraitée au point où ses bras étaient blessés et elle ne pouvait pas faire les exercices matinaux. Le policier Zhang Lie l’a obligée à garder les bras levés face au mur. Le policier Liu Yong l’a giflée sur la bouche. La pratiquante Liang Qizhen a été physiquement maltraitée jusqu’à ce qu’elle ait une douleur sévère aux hanches. Marchant avec difficulté, Liu Young l’a obligée à participer à l’entraînement militaire Elle ne pouvait pas suivre et a été mise de force dans une salle, où elle a été frappée sur la bouche environ dix fois.

Ils font en sorte que des pratiquantes affichent des caricatures et des articles qui calomnient Dafa et le Maître tout autour de la salle. Ils les obligent aussi à regarder des vidéos qui attaquent Dafa. Celles qui refusent de les regarder sont punies. Personne n’a la permission de fermer les yeux. Quand les pratiquantes s’écrient « Falun Dafa est bon », les policiers utilisent des petits pains à la vapeur, des bas, n'importe quel objet qu'ils trouvent, pour bâillonner les pratiquantes. Ils ont prolongé la condamnation des pratiquantes et ils les maltraitent physiquement et mentalement.

Actuellement Shen Yuelin et Xin Suhua, deux disciples de Dafa déterminées, souffrent cette persécution brutale.


Traduit de l’anglais au Canada le 8 décembre 2006

Version anglaise disponible à :
http://clearwisdom.net/emh/articles/2006/12/5/80580.html

Version chinoise disponible à :
http://www.minghui.org/mh/articles/2006/11/11/142203.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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