Hong-Kong : Trois pratiquantes de Falun Gong se voient refuser l'entrée à Singapour

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Trois pratiquantes de Falun Gong, Chee Fei-ming, Tsang Hau-sim et Tse Lai-sim, se sont vues refuser l'entrée à Singapour tôt le matin du 23 septembre 2006 par les autorités de Singapour. Elles ont embarqué sur un vol de retour à Hong-Kong plus tard dans la matinée après que chacune d’elles ait été forcée à payer 100 $dollars Singapour de "taxe aérienne." Les pratiquantes ont signalé que les autorités de Singapour leur avaient irrationnellement refusé l’entrée, manifestement pour apaiser le parti communiste chinois (PCC), et utilisé l’approche de la liste noire du PCC pour participer à la persécution.

Elle a eu l’impression que le refus d'entrée avait à voir avec les fausses accusations portées contre les pratiquants de Falun Gong et l'audition à la cour en conséquence devant avoir lieu le 25 septembre. C'était une des actions d’une série que le gouvernement de Singapour a prises pour discriminer et entraver les pratiquants de Falun Gong; Elles ont protesté contre le gouvernement de Singapour qui a créé toutes sortes de difficultés et persécuté les pratiquants locaux pour courtiser les faveurs du PCC, et ’irrationnellement leur refuser l’entrée.

À 1h du matin le 23 septembre, trois pratiquantes de Falun Gong sont arrivés à L'Aéroport Changyi de Singapour en provenance de Hong-Kong, prêts pour assister à une nouvelle série d’auditions à la cour en passe de se tenir contre les pratiquants de Falun Gong locaux. Tse Lai-sim est d’abord entrée sans problème , mais Chee Fei-ming et Tsang Hau-sim ont été amenées à un autre comptoir. Tse Lai-sim qui attendait dehors a alors aussi été emmenée par les autorités et elle a eu son visa révoqué. Les trois d'entre elles ont été amenées dans une pièce, et un douanier leur a dit qu'elles pourraient partir après avoir été contrôlés.

Alors les officiers des douanes leur ont demandées de donner leurs empreintes digitales et qu’ils voulaient prendre leurs photos. Elles ont d’abord refusé la demande, mais le policier leur a dit qu’elles pourraient entrer à Singapour après avoir donné leurs empreintes digitales.

Après que les autorités aient fini la procédure, on a dit aux trois pratiquantes qu’elles seraient expulsées. Tous ont reçu une notification de refus d’entrée. La raison qui leur a été donnée était que la douane n’avait pas pu leur émettre un visa selon l’actuelle loi sur les entrées. Lorsque les trois pratiquantes ont insisté auprès de l’officier des douanes pour connaître la raison de leur expulsion , il a seulement répété plusieurs fois qu’il avait reçu des instructions des hautes autorités et ne savait rien d’autre.

Les autorités de Singapour ont prévu d’envoyer les trois pratiquantes de Falun Gong sur un vol pour Hong Kong à 6h45 le samedi matin. On a demandé à chacune d’elles de payer 100 dollars singapouriens pour le vol. Lorsqu’elles ont d’abord refusé, ont leur a dit que si elles persistaient leurs bagages seraient fouillés, et que tout argent trouvé à l’intérieur serait confisqué. Elles n’ont eu alors d’autre choix que de payer pour leur propre déportation.

Tsang Hau-Sim a dit que son voyage était pour soutenir les pratiquants de Falun Gong et assister à l’audition de la cour des deux pratiquants accusés. Elle a condamné la manière dont les autorités de Singapour géraient les choses, parce que les pratiquants de Falun Gong sont tous des personnes pacifiques se conformant aux lois.

Les trois pratiquantes avec plus d’une dizaine de pratiquants de Suisse et de Hong Kong, ont tenu un sit-in pacifique en mars 2002 devant le bureau de liaison chinois pour protester contre l’ordre de « Tuer sans pardon », du PCC et du régime de Jiang Zemin, et ils ont été faussement accusés d’« obstruction de la voie publique» et d’autres crimes fabriqués par les autorités de Hong-Kong. Ils ont été déclarés coupables au premier procès. Plus d’une dizaine de pratiquants ont alors fait appel à la cour supérieur, et pour finir toutes les charges contre eux ont été abandonnées en mai 2005.

Les pratiquantes de Hong Kong ont fait remarqué que le gouvernement local de Hong-Kong, de Macao ; de l’Islande et de Singapour ont tous à un moment refusé l’entrée des pratiquants de Falun Gong dans leur pays en se basant sur une liste noire fournie par le PCC. Dans certains endroits, les autorités continuent à réprimer le Falun Gong. Les pratiquants ont partagé leur espoir que ces pays et régions puissent voir le vrai visage du PCC et qu’ils se positionneront bien dans le futur.

Date de l'article orignal: 26/9/2006

Version chinoise disponible à:
http://www.minghui.org/mh/articles/2006/9/25/138644.htm

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