Partie 1: http://www.clearharmony.net/articles/200603/32035.html
Partie 2: http://www.clearharmony.net/articles/200603/32048.html
Partie 3: http://www.clearharmony.net/articles/200603/32068.html
Partie 4: http://www.clearharmony.net/articles/200603/32092.html
(Suite)
Méthode de torture 13 : Les électrochocs
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| Photo 56 |
Le pratiquant est forcé de s'asseoir sur le sol en ciment les pieds nus, et les gardiens Wang Naimin, Zhang Xiurong, Wang Shuhong et Huang Haiyan électrocutent la plante des pieds du pratiquant, les bras, les jambes, le dos, le visage et les autres parties sensibles du corps. Au début du mois d'avril 2000, les quatre gardiens mentionnés ci-dessus et le détenu Rao Aijing, qui est dépendant de la drogue, ont tiré d'un coup sec sur les cheveux de Mme Zou Guirong et l'ont forcé à se tenir sur le sol pendant qu'ils se relayaient pour l'électrocuter avec quatre bâtons électriques. Elle ne portait qu'un haut. Les gardiens riaient avec hystérie pendant qu'ils l'électrocutaient, en disant : "C'est amusant! (Elle est) plus drôle qu'un singe au zoo." La pratiquante Mme Li Suyun a été électrocutée à la poitrine à l’emplacement du cœur avec huit bâtons électriques, capable chacun de libérer 300,000 volts d'électricité. De la fumée s'élevait de son corps et on pouvait sentir l'odeur de la chair roussie en dehors du bâtiment.
Méthode de Torture 14: Etre assis sur une chaise en métal dans une cellule de confinement
La chaise de métal est faite de plusieurs pièces de métal assemblées. Il y a deux types de chaises de métal au camp de travail forcé de Masanjia, la chaise circulaire et celle avec une planche de métal en travers du dossier. Les photos 57 et 58 montrent la chaise circulaire, la photo 59 montre la chaise à planche. Les chaises sur les photos sont des modèles de reproduction approximatifs fabriqués par les pratiquants. Les chaises de métal réellement utilisées au camp de travail sont plus lourdes et plus épaisses que celles qui sont montrées ici. Il faut plusieurs personnes pour bouger une chaise. Les pratiquants qui refusent d'être "reformé1" et qui refusent de coopérer sous la torture sont attachés aux chaises de métal pendant de longues périodes. Le pratiquant est assis sur la chaise avec ses mains, ses pieds et son dos retenus par des menottes, des anneaux de métal et par la planche de métal. Après plusieurs heures, ses mains, ses cuisses et ses pieds gonflent. Les gardes électrocutent souvent les pratiquants avec des bâtons électriques ou bien les battent directement.
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En général, cette torture consiste à forcer le pratiquant à s'asseoir sur la chaise de métal dans une cellule de confinement. Les pieds et les bras du pratiquant sont maintenus en place par des anneaux en métal, et plusieurs gardiens électrocutent avec des bâtons électriques le cou, le menton, le visage, l'estomac et les autres parties sensibles du corps du pratiquant de façon répétitive. Si le pratiquant refuse de se reformer ou d'écrire une déclaration de garantie2, cette torture se poursuit sans relâche. Le corps du pratiquant est recouvert de plaies carbonisées et ses habits lui collent souvent à la peau. La victime est dans une agonie extrême et elle ne peut déjà plus bouger. Les cheveux de certains pratiquants s'emmêlent, et ils deviennent même peu à peu mentalement dérangés. Des pratiquants ont de la chair ulcérée et morte sur leurs fesses après s'être assis dans la même position pendant une longue période. Du sang et du pus suintent de leur dessous et leur pantalon adhère à leur corps par le liquide. Ils sont par conséquent obligés de couper le pantalon avec des ciseaux. La victime est autorisée à aller aux toilettes seulement deux fois par jour, une fois le matin et une fois le soir. Quelque fois la victime ne peut pas attendre et elle est obligée à de se soulager dans son pantalon. Les gardiens laissent souvent les pratiquants sur la chaise de métal pendant une semaine, ou pendant plus de dix jours. Des pratiquants perdent la fonction de leur bras ou bien ne peuvent plus marcher lorsqu'ils sont libérés de la chaise. Certains pratiquants ne peuvent plus bouger du tout et doivent être transportés sur une civière.
Méthode de torture 15: Etre assis sur une chaise de métal dans une boite à sardines
La " boite à sardines " est une cellule de confinement avec de la mousse épaisse de 10 centimètres recouvrant les quatre murs. Il est difficile de respirer à l'intérieur, spécialement en été, parce qu'aucune brise ne peut rentrer dans la pièce. Le pratiquant ressent qu'il est en train de suffoquer. Beaucoup de pratiquants de Falun Gong retenus dans la boîte à sardines ne peuvent supporter la chaleur et le manque d'oxygène, et ils essayent d'arracher la mousse des murs. En conséquence, on voit beaucoup de trous sur les murs, rappelant leur angoisse et leur lutte désespérée. Les gardiens mettent souvent une chaise de métal dans la boite à sardines et forcent les pratiquants à s'asseoir dessus sans bouger et sans dormir. De la propagande calomnieuse sur Dafa est constamment diffusée à travers un haut parleur. Si le pratiquant s'évanouit à cause de la chaleur ou s'il s'assoupit un petit peu, les gardiens lui jettent une bassine d'eau froide. Le pratiquant sursaute, se ranime et continue à souffrir.
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Méthode de torture 16 : le gavage de force
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| Photo 67 | Photo 68 | Photo 69 |
Cela est la tactique la plus ignoble et la plus totalement inhumaine que les gardiens utilisent pour torturer les pratiquants qui font la grève de la faim. Les gardiens insèrent un tube de lavage d'estomac aussi gros qu'un doigt dans la gorge et jusqu'à l'estomac du pratiquant. Ils ne nourrissent pas le pratiquant mais à la place ils retirent et remettent le tube à plusieurs reprises pour infliger la pire douleur. Le 5 avril 2005, le chef de division Li Wangyu a emmené environ huit gardiens, hommes et femmes, et ils ont fait irruption dans la division des femmes. Ils ont immobilisé Mme Wang Jingfeng au sol. Ils ont mis un sac plastique sur son visage, ont ouvert sa bouche de force avec une barre d'acier inoxydable, ils ont poussé un tube dans sa bouche, et ils l'ont nourrie de force avec de la bouillie de maïs. Le visage de Mme Wang était blanc comme un linge et elle suffoquait presque. Le pratiquant Li Baojie a été torturé à mort de cette façon.
Note
1- Transformer : le régime de Jiang recourt à diverses méthodes de torture et de lavage de cerveau pour forcer les pratiquants de Falun Gong à renoncer à leurs convictions.
2- Déclaration de garantie": On y déclare avoir des remords d’avoir pratiqué le Falun Gong et promet de ne plus le pratiquer de nouveau, de ne pas aller appeler en faveur du Falun Gong à Beijing, et de ne plus jamais s’associer avec aucun pratiquant de Falun Dafa
Version chinoise disponible sur
http://minghui.ca/mh/articles/2006/3/5/122087.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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