Des pratiquants de Falun Dafa dont Wang Jinbo ont été brutalement persécutés dans le camp de travail de Chaoyanggou dans la province de Jilin – 1ère partie (photo)

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Wang Jinbo a la quarantaine est directeur détaché à la Banque de Construction du canton de Yitong, dans la province de Jilin. Le 26 août 2002, des officiers de la police de rue de Yongning dans le canton de Yitong ont arrêté M. Wang à son unité de travail parce qu’il pratique le Falun Gong. Il a été condamné à trois ans de travail forcé. Le 18 octobre 2002, M. Wang a été envoyé au Camp de travail de Chaoyanggou dans la ville de Changchun, où il a souffert une torture inhumaine et une persécution cruelle.

M. Wang Jinbo

1. Coups sauvages et châtiment physique au Camp de Travail de Chaoyanggou

Le 18 octobre 2002, M. Wang Jinbo a été envoyé à la Cinquième division du Camp de travail de Chaoyanggou dans la ville de Changchun. Trois officiers des services de police du canton de Ytong, Gao Wenhai, Bai Yang et un autre dont le nom est inconnu, on engagé une « Bataille conquérante » en utilisant des méthodes brutales pour forcer les pratiquants de Dafa à renoncer à pratiquer le Falun Gong.

Les officiers des services de police du canton de Yitong ont dit au personnel dans le camp de travail que M. Wang était très déterminé et ne voulait signer aucun document renonçant au Falun Gong. Après que la police soit partie, un garde dans le camp a poussé M. Wang dans une petite salle de conférence où quatre policiers et le Chef de division, Zhu Dechun, donnaient des ordres ; les policiers He Jianxin, Lu Zhanlin, Jiang Zhongcai exécutaient les ordres. Ils ont forcé M. Wang à s’incliner et lui ont demandé s’il voulait toujours pratiquer le Falun Gong. M. Wang a répondu, « Oui ». Puis les trois d’entre eux l’ont brutalement passé à tabac. He Jianxin a utilisé un bâton électrique pour choquer M. Wang à la nuque et à la tête. Lu Zhanli a flagellé Wang avec une ceinture de cuir, sur les fesses et les cuisses. Jiang Zhongcai a utilisé une canne de plastique dur large d’un doigt et de quatre vingt centimètres de long recouvert d’écrous (ils appellent ça le « petit dragon blanc » cela peut causer une douleur terrible) pour frapper ses paumes. M. Wang leur a demandé sévèrement, « Pourquoi me battez vous sans raison ? » Jiang Zhongcai a répondu, « C’est l’ ‘éducation’, sinon, comment nous réformerons vous ? » Ils l’ont questionné tout le frappant, « Pratiqueras-tu ? » M. Wang a dit « Oui, je pratiquerai le Falun Gong même si tu me bats à mort ! »

Les coups pleuvaient de plus en plus fort. Après le passage à tabac qui a duré une demie heure, tout le corps de Wang était douloureux. Il était à terre, immobilisé. Ils lui ont ordonné de se lever, mais il ne pouvait pas. Ils ont continué à coups de pieds et aux bâtons électriques. A l’heure du déjeuner, M. Wang ne pouvait plus parler. Zhu Dechun a dit à Jiang Zhongcai de demander à deux criminels d’aider à porter Wang à la cafétéria.

Après avoir quitté la cafétéria, Wang a été envoyé dans une grande pièce pour les nouveaux arrivés. Dès qu’il est entré dans la pièce, un groupe de détenus criminels, incités par la police, lui ont enlevé tout ce qu’il avait avec lui. Certains ont déchiré sa couverture et l’ont jetée au sol. Certains lui ont enlevé de force tous ses vêtements, les ont déchirés et l’ont fait enfiler les vêtement en lambeaux. Puis ils lui ont rasé la tête et lui ont ordonné de s’accroupir dans un coin. Lorsqu’il a refusé, les détenus criminels lui ont sauté dessus. Ils l’ont frappé à coups de pieds et battu jusqu’à ce qu’il tombe par terre et ne puisse plus bouger. Le plus violent d’entre eux était Zheng Weimin. Les gardes l’ont tout spécialement choisi pour sa nature vicieuse.

Après un moment ils ont vu que Wang avait récupéré un petit peu et lui ont demandé, “Pourquoi es-tu venu ici ?” Wang a répondu, « Parce que je pratique le Falun Gong. » Zheng Weimin l’a giflé au visage. Wang a demandé, « Pourquoi m’as tu giflé ? » Il a répondu, « Ne dis pas que c’est parce que tu pratiques le Falun Gong. Tu es là parce que tu perturbais l’ordre social. » Wang a expliqué, « Non. J’ai été arrêté alors que j’étais au travail, accomplissant ma tâche habituelle. » Il a giflé Wang plusieurs fois. M. Wang a été pris de vertige et il avait des bourdonnements d’oreille. Il n’en a pas moins insisté, « Je n’ai pas perturbé l’ordre social. C’est un de leur coup monté ! » Les détenus criminels ont continué à le battre et à lui donner des coups de pieds.

Comme ils ont vu qu’il n’y avait aucun espoir que M. Wang admette ses « fautes », les détenus sont partis pour demander des instructions au garde Jiang Zhongcai. Après leur retour, ils ont tiré Wang sans la salle de bain, l’ont complètement dévêtu et ont ouvert plusieurs jets de douche. Alors, plus de dix criminels ont forcé Wang à rester immobile. Peu après, Wang était gelé et ne cessait de grelotter. Comme ils ne pouvaient toujours pas le forcer à « admettre sa faute, » ils ont constamment augmenté le volume de l’eau pendant une heure de plus.

M. Wang a perdu le contrôle de ses intestins et de sa vessie, il était étendu par terre paralysé et ne cessait de trembler. Ils lui ont donné des coups de pieds et lui ont ordonné de se lever. Plusieurs d’entre eux l’ont mis debout, ils ont continué à lui verser de l’eau sur lui et n’ont pas arrêté jusqu’à ce qu’il respire difficilement et ne puisse plus bouger du tout. Alors, Wang Jinbo a été porté dans la cellule en face de la salle de bains. Il a pu récupérer un petit peu en restant un moment au chaud. Après qu’il ait enfilé ses vêtements, il a été porté dans la grande salle de classe. Ils lui ont ordonné de courir tout autour. Wang Jinbo a dit, « Je suis trop faible pour courir. » Zheng Weimin l’a giflé plusieurs fois de nouveau. Ils ont apporté un petit tabouret et ont ordonné à Wang de s’asseoir dessus. Wang Jinbo grelottait continuellement. Tard dans la soirée il n’avait toujours pas récupéré.

Les détenus criminels qui ont pris part à la persécution comprenaient le Chef de cellule Dongjun, Zheng Weimin, Zheng Wei, Wang Zhonghua, Liu Xu, Li Baihui et d’autres. A cause du passage à tabac brutal et de la torture, Wang le corps tout entier de Wang était tuméfié. Son dos et sa poitrine le faisaient sérieusement souffrir. Il ne pouvait pas marcher seul et ne pouvait pas bouger dans son sommeil. Son visage était enflé du aux coups. Ses oreilles bourdonnaient et il avait le vertige. Sa capacité à penser et sa mémoire s’étaient détériorées. Son cœur battait rapidement et il était en agonie.

Presque tous les pratiquants de Dafa qui ont été détenus au Camp de travail de Chaoyanggou ont été grossièrement maltraités au point d’être handicapés ou gravement blessés.

Dans la session des nouveaux venus de la cinquième division, un genre de châtiment physique brutale qui dure un long moment consiste à être assis sur un petit tabouret. De 4h30 du matin lorsque les pratiquants se lèvent à 9h du soir, la victime doit rester assise excepté pour aller aux toilettes, manger et quelque fois travailler. Si le détenu criminel de service ou le garde n’est pas satisfait, le châtiment sera prolongé.

Tous les pratiquants qui ont refuse d’être réformés ont du s’asseoir sur le petit tabouret. Tout le monde a du s’asseoir sur un petit tabouret de plastique de 20cm de haut, de large et de long (un cube). Une fois assis sur le petit tabouret, les rangées et les colonnes des victimes étaient strictement alignées, leurs dos devaient être droits, leurs poitrines devaient être droites et leurs têtes levées. Les victimes devaient regarder droit devant elles, leurs jambes devaient se tenir droites et toucher le bas du dos de la personne devant eux, et leurs mains devaient reposer sur leurs genoux. L’entassement était tel qu’il n’y avait pas la moindre place autour de chacun. Le corps entier devait se tenir immobile. Si des pratiquants ne suivaient pas les ordres, le garde ou le détenu criminel de service les injuriait. La punition « légère » consistait en coups de pied et passage à tabac. La punition lourde en coups de bâton et flagellation avec une ceinture. Si un garde était de service, il pouvait électrocuter le pratiquant avec une matraque électrique.

Le tabouret était si bas que les deux os dans les fesses cognaient sur le tabouret. Ces deux os portent le poids du corps tout entier. A mesure que le temps passe, la douleur est insupportable. Habituellement, après deux jours, même en portant un lourd manteau d’hiver en coton, la chair se déchire. La torture est encore pire l’état. Parce que la victime ne peut pas bouger du tout, après un moment, le corps tout entier, en particulier les jambes et les pieds, deviennent paralysés. Dans le Camp de travail de Chaoyanggou, les jambes et les pieds de nombreux pratiquants ont perdu toute sensation et ils ne pouvaient plus se déplacer facilement. C’était directement lié à la torture d’ « assise sur un petit tabouret. »

Quelque fois, M. Wang bougeait ou son dos n’était pas droit. Alors le détenu criminel de service le battait ou lui donnait des coups de pied encore et encore. Zheng Weimin était le pire ‘Normalement les gardes choisissaient pour être de garde, un criminel à la forte constitution, et à la nature vicieuse et violente. Ils payaient aussi des gens extérieurs au camp pour accomplir cette fonction. )

Le pratiquant Yu Xianjiang était vieux et ne pouvait satisfaire aux exigences de l’”assise sur un petit tabouret”. Les gardes He Jianxin et Jiang Zhongcai lui donnaient des coups de matraque électrique. Durant la période d’assise sur le tabouret de une à deux heures le matin chaque jour, le criminel de service dirigeait la lecture des « Réglements pour les détenus dans le Camp de travail, » des « Cinq impératifs » des « Dix Ne Pas » et d’autres règlements. Les gardes ordonnaient aussi aux criminels de service de lire des articles qui calomniaient Falun Dafa, afin d’empoisonner l’esprit des gens.

Dans le camp de travail, la police et d’autres gens tabassaient les pratiquants de Dafa au point qu’ils aient tout le corps tuméfié. Tous avaient des difficultés à marcher. Certains étaient même handicapés et ne pouvaient plus marcher non plus, mais ils étaient quand même forcés d’accomplir une lourde charge de travail, comme porter de la terre et des légumes. Après que Wang Jinbo ait été battu, son corps était tuméfié et il avait des difficultés à marcher mais il était quand même forcé à porter de la terre. M. Wang leur a dit, « je suis blessé, je ne peux pas le faire. » Pour cela il a été plusieurs fois violemment giflé au visage.

L’officier de police Mao Chen forçait les pratiquants à se faire prendre en photo et leur faisait payer 10 yuans, le prix à l’extérieur était de 2 yuans. Mao Chen demandait que M. Wang paie 100 yuan pour acheter une « literie », alors que cela ne coûte habituellement que 30 à 40 yuan. M. Wang a dit : « J’ai une couverture. Je n’ai pas besoin d’en acheter une. » Mao Chen répliqua « Tu dois en acheter une. Peu importe que tu l’utilises, les superviseurs qui viennent inspecter notre travail doivent la voir. Tout le monde doit payer 100 yuans. » En fait, il extorquait de l’argent. Les pratiquants détenus n’obtenaient jamais ces couvertures après avoir pourtant payé l’argent.

La session des nouveaux venus comptait plus d’une centaine de personnes. Il y avait la foule pour se laver et aller aux toilettes. Si un ou un autre pratiquant était un peu lent où échangeait quelques mots, le criminel de service le battait et l’injuriait. Le soir, tous les nouveaux venus devaient dormir dans une grande chambre, deux personnes partageant un seul lit.

Au moins un détenu criminel est assigné à chaque pratiquant, pour surveiller ses paroles et ses actions. Ce détenu doit être avec le pratiquant de Dafa à chaque instant, même lorsque ce dernier va aux toilettes. Les pratiquants ne pouvaient pas parler entre eux, mais les autres criminels pouvaient bavarder à volonté. Ils échangeaient même des stratégies sur les méthodes pour commettre des crimes et en manigancer de nouveaux. Les gardes ne s’occupaient pas de ça du tout et les ignoraient. En fait, ils ont confiance dans ces criminels et les utilisent. Le garde Jiang Zhongnai a dit une fois, « Les criminels sont les professeurs des gardes. Les gardes peuvent beaucoup apprendre des criminels. »

2. Réforme coercitive et travail d’esclave intensif dans la quatrième division

Le 5 novembre 2002, M. Wang Jinbo a été envoyé à la Quatrième division. Le 6 décembre 2002, le camp de travail a lancé la troisième « bataille conquérante » qui a duré du 6 au 31 décembre. Tous les pratiquants de Dafa qui persistaient à pratiquer Falun Dafa ont été convoqués dans la grande « salle de classe » de la Quatrième division pour un lavage de cerveau intensif. Puis, chaque division a repris les pratiquants un par un pour une « conquête » plus poussée.

Les gardes ont violemment battu ou physiquement abuse chaque pratiquant repris. Par exemple, ils ont choqué deux fois à l’électricité M. LI Yongfu dans la Quatrième division parce qu’il persistait à pratiquer les exercices du Falun Gong. Il a terriblement souffert, physiquement et spirituellement.

La police a battu le pratiquant M. Cui Guorong dans la Quatrième division avec un bâton de métal, de ses chevilles à son dos, parce qu’il avait déclaré nul et non avenu la « déclaration de garantie » qu’il avait précédemment signée et qu’il continuerait à pratiquer le Falun Gong. Le bâton s’est même plié durant les coups. Le garde Zhao Jianping a traîné M. Cui dans le dortoir, coincé sa tête dans le cadre du lit, menotté ses deux mains et a ordonné aux autres gardes et criminels de le battre farouchement autant qu’ils le voulaient. M. Cui ne pouvait pas bouger. Alors de 8 :00 à 22h, Zhao Jianping a utilisé un marteau pour frapper le dos de Cui. En le renvoyant dans la cellule, la police a dit aux détenus criminels, « faites le s’asseoir sur le tabouret, gardez le à l’œil, ne le laissez pas dormir, soyez strict ! »

Lorsque les gens les ont vu ramener M. Cui sur leur dos, ils ont pu voir que tout son corps était meurtri. Son visage et sa tête étaient enflés. Il y avait de grosses bosses sur son visage et sa tête. Les criminels qui l’ont physiquement maltraité étaient Lu Guifu, Gao Xiujun, Wan Benjiang et Tang Fengxiang.

La quatrième division a forcé les détenus à travailler dans l’usine de briques. Le travail était sale et physiquement très dur. Il fallait passer la journée entière dans la poussière. Les détenus n’étaient pas autorisés à prendre le moindre repos. Même s’ils s’arrêtaient pour déplacer le véhicule, les gardes et les chefs de l’équipe de travail les battaient et les injuriaient. Les détenus devaient passer toute la journée à faire une rude besogne et étaient constamment menacés. Sous la brûlure du soleil en particulier, leur peau suait et se craquelait sous la chaleur. Le camp de travail a utilisé ce genre de surcharge de travail pour torturer les pratiquants de Dafa. Tout le travail dur et sale était assigné aux pratiquants. Après un jour d’un tel travail, on n’est plus capable de bouger. Après tout un été de cette charge de travail intensifiée, tout le monde avait perdu du poids, ils perdaient l’équilibre en marchant et se sentaient très faibles.

Le Camp de Chaoyanggou a 1.200 mu [198 arpents] de terrains agricoles. Les pratiquants de Dafa ont été forcés à participer à chaque aspect du travail des champs. Même les plus âgés, les handicapés et les pratiquants malades n’ont pas été exempts. Tous ont du travailler dur sans prendre le moindre repos. S’ils ralentissaient, ils étaient battus. Au printemps, les mauvaises herbes doivent être brûlées avant que la terre ne soit cultivée. L’atmosphère est complètement enfumée lorsqu’on fait brûler les mauvaises herbes. Malgré la fumée et le feu, les pratiquants doivent avancer et ne peuvent ni s’arrêter ni faire un détour pour éviter le feu et la fumée. En mars 2003, sous une telle pression, le manteau de coton de M. Xang Jinbo a été brûlé et ses mains étaient couvertes de cloques. L’été, les pratiquants devaient désherber à la main, les chefs des équipes de travail utilisaient des matraques pour les forcer à travailler rapidement et à bouger sans cesse. Ceux qui traînaient en arrière recevaient coups de pieds et coups de matraques.

En juin 2003, le pratiquant M. Liu Xiaohui se laissait distancer à cause de la galle sur ses mains. Les officiers de police Fan Shenglu et Zhao Jianping lui ont donné des coups de pied. A ce moment, Wang Jinbo se sentait engourdi et avait des douleurs dans les mains et les pieds. Il ne pouvait pas dormir la nuit et se sentait léthargique mais ils l’ont quand même forcé à creuser la terre. M. Wang était à bout de souffle après avoir creusé juste un petit peu et n’arrivait pas à suivre. Le policier Zhao Jianping l’a giflé au visage deux fois. M. Wang était déjà très fatigué. Après les gifles, il est resté un moment sans pouvoir reprendre son souffle. Zhao Jianping a ordonné à Wang d’arracher les mauvaises herbes à la main ce qui nécessite de la force et on ne peut pas garder le dos droit.

Le repas dans le camp de travail consistait souvent en un petit pain à la vapeur avec un demi bol de soupe aux légumes. Tous ceux qui effectuaient le travail d’esclave devaient passer toute la journée avec la faim au ventre et la fatigue. En automne, moissonner le mais signifiait davantage de dur travail. Ne pas suivre le rythme résultait en injures et en coups. La punition légère était les coups de pieds et de poings, la lourde les coups de massue. Pendant la moisson, les pratiquants n’étaient pas autorisés à redresser leur dos où à s’asseoir par terre. Après un long moment, le bas du dos et les jambes étaient endoloris. En hiver, il y a le dur travail de l’égrenage du mais.

Le repas au camp de travail de Chaoyanggou était toujours de la soupe aux choux ou aux radis. En hiver en particulier, il n’y avait que de la soupe cuisinée avec du choux gelé. L’odeur donnait des hauts le cœur aux prisonniers. IL y avait toujours des moustiques, des punaises, des mouches ou de la saleté dans la soupe. Le choux gelé était le seul repas, d’octobre, quand l’hiver commençait, jusqu’à un peu avant le 1er mai de l’année suivante. Certaines personnes ont même été empoisonnées par la terrible nourriture. A la mi-avril 2003, tous les détenus dans la quatrième division ont eu en même temps des douleurs d’estomac. Le diagnostic du médecin fut que tous avaient été empoisonnés par le choux gelé putride.

(A suivre )

Version chinoise disponible à:
http://minghui.org/mh/articles/2005/3/2/96463.html


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