Se souvenir des jours où je voyageais avec le Maître avant et après que le Falun Gong soit rendu public (Deuxième partie)

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Part 1: http://fr.clearharmony.net/articles/200502/18332.html

Note de l’Editeur : L’auteur de cet article a commencé à apprendre les exercices et les enseignements du Falun Gong de Maître Li en personne tout au début des enseignements de la Loi (" Fa") par Maître Li Cependant, comme il n’a pas bien étudier la Loi pendant un long moment, l’auteur s’est détourné de la voie de sa cultivation après le début de la persécution. Récemment il a réalisé son erreur et a écrit ces quelques histoires. Nous publions cet article afin que plus de pratiquants puissent bénéficier de ces histoires concernant Maître, pour qu’ils apprennent à mieux respecter Maître, qu’ils chérissent ce temps précieux où Dafa est propagé dans le monde. Faisant tous notre possible pour être digne de la bienveillance de Maître et de bien nous positionner pour l’avenir .

Quant à l’auteur de cet article nous espérons sincèrement que ses erreurs lui ont servi de leçon et qu’il étudie bien la Loi et qu’il publiera très bientôt sa déclaration solennelle. Nous espérons qu’il fera bien " Les trois choses "que Maître demande à tous les disciples de la période de la rectification de la Loi, qu’il abandonnera ses erreurs passées et choisira à l’avenir la voie juste.

6. “Ecouter calmement les gens jusqu’à ce qu’ils aient fini de parler est un signe de respect.”

Quand j’ai commencé à suivre et à assister Maître pendant qu’il enseignait en public, j’avais l’habitude d’interrompre les autres en pleine conversation parce que je n’avais pas un bon " xinxing "et j’étais jeune et impulsif. Parfois j’obligeais les autres à accepter mes compréhensions et mes émotions. A d’autres occasions à cause de mon arrogance, je prétendais tout savoir. Maître m’a dit que le fait d’écouter silencieusement les autres pendant qu’ils parlent est un signe de respect. En plus vous devez prêter attention à ce que les autres disent et prendre Dafa comme critère pour voir si ce qu’ils disent est conforme. Après avoir attentivement écouté ce qu’ils disent, vous pouvez à votre tout donner votre opinion. Vous devriez écouter plus et parler moins. Ecoutez calmement tout ce qu’une personne a envie de dire sans être impulsif est une forme de politesse et de ‘cultivation’ personnelle.

Les mots de Maître m’avaient profondément affecté. Ces dix dernières années j’ai souvent pris ces mots comme critère pour m’examiner. Quand je remarquais que les compagnons de pratique particulièrement les jeunes pratiquants étaient impatients et arbitraires, en ignorant les bonnes manières quand ils contactent ou parlent avec d’autres, je leur rapportais calmement ce que Maître m’avait dit. Ils ont tous trouvé que ces mots étaient d’un grand bénéfice.
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Pendant les classes, en dehors de l’enseignement de la Loi, Maître parlait rarement.

7. Chaque fois que Maître voyait un disciple ou un visiteur s’en aller, il ne rentrait jamais dans sa chambre avant que la personne soit hors de vue

Maître est vraiment digne dans toutes ses activités journalières, que ce soit quand il marche, il reste debout, qu’il soit assis ou allongé. Il est facile à vivre en plus il a une personnalité chaleureuse et amicale. Même après tant d’années, je n’ai jamais vu Maître croiser les jambes où s’adosser quand il s’assoit sur un canapé ou une chaise. Il montre beaucoup de respect quand il parle à des élèves âgés et le ton de sa voix est très respectueux. Chaque fois qu’il accompagne des pratiquants ou des visiteurs, Maître reste debout à l’entrée jusqu’à ce que les visiteurs soient hors de sa vue avant de rentrer dans sa chambre. Ces petits détails se sont ancrés dans mon esprit au cours de tant d’années.

8. Jamais fatigué d’enseigner

Souvent pendant les conférences de la Loi Maître tenait une session de questions et réponses. La dixième classe Maître l’utilisait seulement pour répondre aux questions. Même des questions auxquelles il avait répondu plusieurs fois, il y avait toujours d’autres élèves qui les reposaient. Il y avait toujours de nouveaux élèves de différents endroits qui venaient aux conférences. Maître disait qu’il ne voulait pas répéter les réponses à certaines questions pour gagner du temps, mais les élèves soulevaient quand même ces mêmes questions encore et encore. Quand ça arrivait, Maître répondait patiemment aux questions. Particulièrement les nouveaux élèves de différents endroits posaient toujours les mêmes questions de base. Parfois les anciens étudiants s’irritaient, mais pendant des années dans différents endroits, Maître a vu tellement d’élèves et il répondait toujours patiemment à leurs questions aussi clairement et de façon détaillée que possible. La miséricorde du Maître ne peut être décrite avec des mots.

Parfois, dans certaines circonstances je perdais presque patience. Par exemple les nouveaux voulaient toujours que je corrige leurs mouvements pendant les exercices. Quand ils faisaient les mêmes erreurs encore et encore je me montrais vraiment impatient. Mais quand je me remémorais la patience de Maître, tous mes reproches disparaissaient immédiatement. Quelqu’un a dit qu’on n’apprend rien de nouveau avec de nouveaux élèves, aussi désire-t-on toujours être avec des anciens élèves qui ont cultivé à un haut niveau. En fait, cela n’est absolument pas vrai. Celui qui cultive véritablement s’améliore en toute circonstance. Cela se reflète dans le progrès de notre cultivation quand nous avons à faire à de nouveaux élèves et que nous devons nous montrer patients, bienveillants et réduire l’attachement à soi. Par exemple aujourd’hui quand nous clarifions la vérité, nous validons la Loi et sauvons les êtres, nous devons faire face aux interférences de la perversité quand nous parlons de la vérité à des gens qui sont profondément empoisonnés et manipulés. Quand nous faisons face à l’incompréhension des gens, la capacité de contrôler ses émotions et de rester gentil et tolérant se manifeste quand celui qui cultive véritablement dépasse son ego et s’améliore rapidement.

Maître a dit,

“La compassion est le résultat de la cultivation, elle n’apparaît pas parce qu’on veut qu’elle se manifeste ;elle provient du fond du cœur, elle n’est pas là pour que les autres la voient ; elle existe pour toujours, elle ne change pas en suivant le temps ou l’environnement. »

(« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi à Washington DC. 2003 »)

Chaque fois que je lis ce paragraphe de la Loi, je me rappelle combien j’étais touché par la compassion et la patience de Maître quand il enseignait et guidait les élèves les premières années.

9. Etre témoin de la puissance de silence du Maître

En 1993, une personne de l’Institut de Qiqong a invité Maître à enseigner dans sa ville natale de la province de Shandong, Liaocheng. Il a dit qu’il aimerait présenter une bonne pratique aux gens de sa ville natale, mais en fait son véritable but était de gagner de l’argent avec l’Association de Qiqong locale. Quand la classe s’est terminée, selon le contrat qui était identique pour toutes les classes que Maître a données partout, Maître ne prenait que 30 à 40%, alors que les organisateurs locaux prenaient les 60 à 70 % de l’argent collecté. Maître faisait payer très peu. En fait à cette époque le Falun Gong avait le prix d’entrée le moins cher de toutes les autres classes de qigong. Un billet coûtait 40 yuans et les anciens étudiants payaient moitié prix à savoir 20 " Yuans " et il y avait beaucoup d’anciens élèves dans chaque classe tenue par Maître. Chaque fois qu’une classe avait lieu il ne restait pratiquement rien une fois que l’auditorium, la nourriture et l’hôtel étaient payés.

Après la fin des classes l’organisateur de l’association locale de qigong de Shandong s’est plaint que Maître avait mis les prix des billets trop bas. Quand l’une d’entre eux a accompagné Maître à la gare en voiture elle n’a pas cessé de se plaindre à ce sujet au Maître pendant plus d’une heure.

J’étais assis à l’arrière et j’écoutais. Au début j’ai essayé de rester silencieux. Finalement je n’ai pas pu me contenir. Comme je ne supportais plus qu’elle calomnie Maître, j’ai crié « Fermez la. Si vous continuez comme ça ce n’est pas la peine de nous accompagner à la station. Nous sortirons de votre voiture et nous nous débrouillerons. » Maître s’est retourné et m’a jeté un regard. Il n’a pas dit un mot. Mais j’ai compris qu’il m’avait pris en faute et m’a fait comprendre que je ne devais plus parler mais rester assis silencieusement. La manifestation de la puissance de miséricorde de Maître a immédiatement calmé mes émotions fortes. La dame semblait être aussi contrôlée par cette puissance et a arrêté de parler après quelques mots. Après cet incident, Maître n’a rien expliqué du tout. Pendant tout cet évènement, Maître n’a pas dit un seul mot. Cependant nous tous qui étions présents ainsi que l’organisatrice avions réalisé nos erreurs et nos lacunes.

Ma compréhension est qu’ « aller au delà des limites de la tolérance » est enseigné au côté éveillé des pratiquants de Dafa afin d’éliminer pour eux la perversité et rectifier la Loi. Ce n’est pas pour que nous nous complaisions dans les attachements restants de notre côté humain. En fait nous devons bien restreindre notre côté humain et cultiver notre xinxing tout le temps. Notre côté éveillé sera alors capable d’exercer complètement nos pouvoirs surnaturels et ne pas être bloqué par notre côté humain. Alors la puissance des dieux se manifestera et participera à la rectification de la Loi et éliminera les forces perverses.

10. Un regard du Maître est comme un miroir qui révèle toutes mes mauvaises pensées.

En 1994 Maître a tenu une conférence de Falun Dafa à Zhenzhou. Le nombre d’assistants a été plus élevé que prévu, et l’auditorium loué par notre hôte local était en mauvais état. Les briques des bancs étaient visibles et il y avait des fenêtres sans vitres. J’étais inquiet et je me suis approché de notre hôte pour lui demander de changer le lieu de la réunion et les équipements son. Pendant la conversation, je n’ai pas pu garder mon xinxing et je me suis énervé.

Maître m’a demandé de venir le voir. J’ai suivi le Maître depuis que j’ai obtenu la Loi et c’était la première fois qu’il me parlait sans sourire. Avant même qu’il commence à parler mes jambes ont commencé à trembler et je ressentais sa présence pleine d’autorité. Un regard de Maître était comme un miroir brillant et toutes mes mauvaises pensées étaient exposées. J’ ai commencé à examiner les questions que je n’avais pas comprises auparavant. Il n’y avait pas de mots pour décrire la puissance et la dignité du Maître.
Vingt minutes après m’être énervé contre l’organisateur j’ai perdu ma voix. Je me sentais bien quand je suis monté sur l’estrade pour enseigner les exercices et complètement mal une fois descendu de l’estrade. Cela a duré quatre ou cinq jours.

11. Maître s’est retourné vers mois et m’a regardé pendant plus de 10 secondes sans dire un mot

L’été 1993, j’ai accompagné Maître à Wuhan où il a donné une série de conférences. Pendant la journée Maître et moi sommes allés visiter le Temple Guiyuan à Hankou. Avec une main dressée devant sa poitrine Maître est resté debout solennellement devant la statue de Sakyamuni. Je me suis mis à sa droite moi aussi avec une main dressée devant la poitrine. (J’aurais du presser mes deux mains ensembles devant la poitrine dans la position de Heshi.) En face de la statue de Bouddha, mon imagination a commencé à galoper et j’ai pensé « Sakyamuni n’est qu’un Tathagata. Le Bouddha le plus élevé regarde le Tatagatha comme s’il était une personne ordinaire, et mon niveau est plus élevé. » Sans que je me rende compte, la main devant ma poitrine avait glissé. Alors que je laissais mon imagination galoper avec les yeux légèrement fermés, Maître s’est tout d’un coup retourné vers mois et a regardé fixement mes yeux pendant plus de dix secondes sans dire un mot. J’étais tellement terrifié, que j’ai eu des sueurs froides et j’ai compris tout à coup.

Je pensais que j’étais au niveau de l’université juste après avoir jeté un coup d’oeil aux livres de l’université. L’enflure de mon égo avait nourri des démons dans mon propre esprit, mais je ne m’en rendais pas compte à ce moment là. Certains anciens pratiquants sont aussi tombés dans ce même piège et ont fini par refuser de reconnaître le Maître. La leçon était sérieuse.

12. La vérité sur l’accusation “Aucune aide dans des situations qui menacent la vie”

Avant chaque conférence, Maître disait aux hôtes de l’association de qigong local que « les personnes avec des maladies critiques » ne devraient pas être admises. Pendant les conférences, Maître disait aussi que nous n’étions pas là pour guérir des maladies. Si quelqu’un venait pour soigner ses maladies, nous lui remettions l’argent de son ticket même s’il s’était déjà inscrit. Les hôtes des associations de qigong locaux ne respectaient pas souvent ces consignes parce qu’ils voulaient se faire de l’argent.

En 1994 pendant une conférence avec 4000 participants à Harbin, quelques personnes de Jinzhou ont transporté un homme obèse dans le stade. Cette personne était absente et avait complètement perdu ces capacités de mouvements. Les membres de sa famille le portaient à l’intérieur et à l’extérieur de la conférence. Il fut porté dans la sale alors qu’il ne pouvait même pas lever la tête et devait être allongé pour « écouter » la conférence. Pendant la conférence Maître a répété plusieurs fois que les malades en phase critique devaient quitter le stade et il a dit clairement que « la conférence n’était pas pour guérir des maladies.» Mais ils n’écoutaient pas.

Un après midi l’homme est mort dans sa chambre d’hôtel. Les membres de sa famille ont amené son corps à l’extérieur de l’auditorium et ont demandé à ce que Maître le sauve. Maître était en pleine conférence à ce moment là. Un membre du personnel a brièvement parlé à Maître qui est sorti rapidement et est resté dehors un bon moment. Quand il est revenu Maître nous a dit que l’homme était mort depuis quelques jours. Il aurait été possible de le sauver s’il était vivant mais là il était déjà mort.

Les membres de sa famille ont accusé le Maître de ne pas avoir offert son aide alors que la vie d’une personne était en jeu. Quelques « pratiquants » ont aussi blâmé le Maître, et l’un d’eux a dit « Je ne pratiquerai plus, » et il a jeté le badge de Falun à terre. Maître lui a dit «Tu n’es pas à la hauteur ». Plus tard Maître nous a dit « Cet individu était contrôlé par quelque choses. J’aurais été triste si c’était un véritable pratiquant. »


http://minghui.ca/mh/articles/2005/1/25/94172.html

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