Monsieur Liu Chaofen âgé de soixante-dix ans fait appel au congrès et au Procureur de la province de Yunnan

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Au comité du congrès de la province du Yunnan, au procureur de la province du Yunnan

Mon nom est Liu Chaofen et j’ai soixante-dix ans cette année. J’ai commencé la pratique du Falun Gong en 1998. Après une période d’étude et de pratique des exercices du Falun Gong, ma main qui avait été blessée dans un accident de voiture a été miraculeusement guérie. Je suis vraiment reconnaissant envers le Maître Li Hongzhi et envers Falun Dafa. Ma fille, Kuang Deying, pratique le Falun Gong depuis 1997. La police l’a arrêtée et condamnée pour deux ans de travaux forcés le 5 janvier 2002 pour avoir distribué des informations véridiques à propos du Falun Gong dans le jardin Venus de la ville de Kunming.

Je crois que ma fille n’a enfreint aucune loi en distribuant des tracts du Falun Gong. Le Falun Gong ne dérange pas l’ordre public ni aucun individu. Au contraire, de telles pratiques consistant à dire la vérité à propos du Falun Gong sont respectueuses des droits de chaque citoyen à connaître les faits, aident la justice et sont bénéfiques pour maintenir la dignité de la loi. Pas la moindre partie dans les tracts n’est contre le parti communiste ou notre gouvernement. En fait, ils ne font que dénoncer la persécution des pratiquants du Falun Gong, dans le but de restaurer la justice et de rendre au Falun Gong sa réputation d’innocence. Pas un seul article dans les lois de notre pays ou règlements d’états ne mentionne que ce soit illégal de faire appel contre la persécution et les tortures inhumaines que les victimes ont souffertes pour avoir pratiqué le Falun Gong.

J’ai questionné la police : « vous avez pris ma fille Kuang Deying. Que vont devenir ses deux enfants, l’un de un an et l’autre de trois mois ? Un bébé a besoin de l’attention de sa mère. » La police a répliqué : « ce n’est pas notre affaire. » Parce que je pratique le Falun Gong aussi, durant les deux ans de détention de Kuang Deying dans le camp de travaux forcés de la province de Yunnan, ses bébés et moi n’avons pas été autorisés à lui rendre visite.

Au début de l’année, la police du camp de travaux forcés est venue soudainement chez moi pour me dire que Kuang Deying avait fait une grève de la faim pendant plusieurs jours et nous ont demandés de lui rendre visite. Après que nous soyons arrivés au camp, nous avons découvert que Kuang Deying avait fait une grève de la faim pour protester contre le semestre illégal de prolongation de sa détention.

Durant le matin du 25 juin 2004, je suis allé au bureau d’appel du commissariat de la province du Yunnan pour faire part du cas de Kuang Deying, disant qu’elle n’avait pas été relâchée, même après avoir été illégalement détenue pour six mois supplémentaires. Ils nous ont dit de nous adresser au département judiciaire de la province du Yunnan. Vers midi le même jour, ils m’ont emmené à Wuhua dans une succursale du commissariat de police et m’ont transféré à Guandu où j’ai été interrogé.

L’information qui précède est la raison de mon appel.

  • 1. Etant donné que , je suis allé rapporter le cas au bureau des appel du commissariat de police de la province du Yunnan ouvertement, mais ai subi un interrogatoire illégal par des personnes du département de police de Wuhua et de Guandu, je demande une action en justice contre le personnel responsable.
  • 2. Etant donné que , c’est illégal du point de vue de la constitution chinoise de faire prolonger la condamnation de Kuang Deying par le personnel du camp de travaux forcés pour femme de la province du Yunnan, je demande l’immédiate libération de Mademoiselle Kuang et une action en justice contre le personnel responsable.

Demandeur Liu Chaofen

Version chinoise : http://www.minghui.org/mh/articles/2004/8/2/80850.html

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