Torture et meurtre des pratiquants de Dafa dans le camp de travaux forcés de la ville de Qiqihar

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Depuis novembre 1999, la police et les gardiens du camp de travaux forcés de la ville de Qiqihar (autrefois le camp de travaux forcés de Shuanghe) ont illégalement détenu des pratiquants de Dafa. Ils torturent les pratiquants en les suspendant en les menottant à un anneau de fer attaché au sol, les privant de sommeil, les exposant aux moustiques, enchaînant leurs pieds et menottant leurs mains sur une chaise en métal (1), en les forçant à travailler dur pour fabriquer des pesticides toxiques, en extorquant leurs argents et leurs affaires personnelles, aussi bien qu’en les soumettant à des diverses méthodes de tortures mentales. Au début de 2004, le camp de travail a envoyé les gardiens Zhang Zhijie, Guo Li et d'autres au camp de travaux forcés de Masanjia pour y apprendre les méthodes de torture des autorités. Depuis lors, les gardiens dans le camp de travaux forcés de Qiqihar ont suivi de très près les méthodes employées au camp de travail de Masanjia et ont torturé des pratiquants plus cruellement. Le nombre de pratiquants qui ont été torturés à mort continue d’augmenter. Nous faisons appel aux personnes consciencieuses et honnêtes partout dans le monde, en leur demandant de prêter attention à la détention illégale des pratiquants dans le camp de travaux forcés de Qiqihar. Certains d'entre eux sont sur le point de mourir ce moment même.

L'interrogatoire prolongé et le lavage de cerveau avec des méthodes de torture cruelles

L'équipe de lavage de cerveau, se composant de plus d’une douzaine de policiers et de collaborateurs (2), ont soumis les pratiquants à un lavage de cerveau, jour et nuit. Ils ont mis les pratiquants dans une salle pour regarder les vidéos calomniant Falun Dafa et lire des informations attaquant le Falun Dafa. Les pratiquants qui ont refusé de coopérer, ont été forcés de s'asseoir sur une chaise en métal pour aussi longtemps que 27 jours, pour certains d’entre eux.

Dans ce genre de méthode de torture, la victime est attachée à la chaise en métal et les deux mains sont étirées et menottées au dos de la chaise en passant par deux trous qui ont été particulièrement faits sur cette chaise. En même temps, les deux pieds sont attachés à la chaise avec une corde et l'autre extrémité de la corde est étroitement attachée aux menottes, de sorte qu'aucune partie du corps de la victime ne peut bouger. Les menottes ont tôt fait de s’incruster dans la chair et ce, jusqu’au sang. Les mains, les pieds et les jambes enflent sévèrement causant une douleur atroce. Les gens soumis à cet abus font aussi une fièvre élevée continuellement. Mais les policiers n'arrêtent toujours pas la torture.

Quand les pratiquants ont été torturés avec la méthode de chaise en métal pendant l'hiver, il ne leur était pas permis de porter des chaussures ou des manteaux. Quelques pratiquants portaient toujours leur pantalon mince d'été. Quand les pratiquantes ont eu leurs règles, on ne leur a pas permis de changer leur serviette sanitaire. Ils sont souvent blessés sur plusieurs parties de leur corps avec ces tortures. Quelques pratiquants sont devenus mentalement traumatisés et physiquement handicapés.

Le travail forcé illégal, des coups brutaux, l’alimentation forcée et les pratiquants sont pillés sans scrupule de leurs affaires personnelles

Les camps de travaux forcés ont traité illicitement les pratiquants comme des esclaves et les ont forcés de faire des emballages médicaux. Une fois, quand la tâche n’a pas pu être accomplie pour l'heure, le commissaire Wang Yufeng et le chef d'équipe Wang Yan ont ordonné aux autres d’attaquer les pratiquants brutalement. La pratiquante Li Jing, du comté de Baiquan, région de Qiqihar, a été si cruellement battue que sa vue était trouble et ses jambes paralysées. Li Chunxia, une pratiquante du comté de Baiquan, était en bonne santé quand elle a été envoyée au camp de travaux forcés de Qiqihar. Mais un an après, elle était devenue émaciée et avait un cancer terminal. Néanmoins, la police la forçait toujours à effectuer le travail de forçat. Quand elle n’a pu terminer pour l’heure et même s’il ne lui restait qu’un seul emballage à finir, Wang Yufeng l'a suspendue et l'a brutalement battue. Quand quelques pratiquants ont fait une grève de faim pour protester, les autorités les ont alors gavés, en enfonçant de force des tubes en caoutchouc large et dur dans leur oesophage et en les alimentant d’une solution saline concentrée avec un gruau de farine de maïs cru, pour les persécuter, les torturer et les maltraiter. La police dans le camp de travail a aussi illégalement volé la nourriture, les vêtements et les choses apportés par les membres des familles des pratiquants. Ils ont seulement donné aux pratiquants les articles qu'ils ne voulaient pas après avoir fait leur choix. Parfois, ils ont même confisqué toutes les choses envoyées à un pratiquant.

Fabriquer des nouvelles pour tromper les gens

Chaque fois que les supérieurs sont venus inspecter le camp de travail, la police ordonnait à plusieurs personnes de traîner les pratiquants qui avaient été battus au point d’être inaptes et de les cacher. La police, pour les tromper, a aussi alimenté généreusement les collaborateurs (2) à l'heure du repas. Les départements de propagande ont sans scrupule transformé ce drame en vidéos et les ont montrés aux nouvelles de Qiqihar TV. Elle feignait de bien traiter les pratiquants, en montrant les “bonnes’ conditions dans le camp de travail pour tromper le public.

Proclamation de la notoire “équipe de surveillance rigoureuse” dirigé par Wang Yufeng

Entre le 12 et 13 février 2004, le camp de travaux forcés de Qiqihar était dans un état d'horreur. La police a vidé toutes les 12 salles sur le quatrième étage et a formé “l’équipe de surveillance rigoureuse.” Un groupe de policiers, dirigé par Wang Yufeng, ont violemment traîné les pratiquants au quatrième étage et les ont enfermés individuellement dans une chambre. Les mains des pratiquants ont été menottées et leurs yeux ont été bandés avec du tissu noir. Certains ont été suspendus; quelques pratiquants ont été menottés sur la chaise en métal et d'autres ont été forcés d'incliner leur tête vers l’arrière, les mains menottées derrière le dos de la chaise en métal.

Les bandits ont traîné la chaise en métal tout autour et ils ont continué à serrer les cordes et les menottes. Quelques pratiquants ont eu leurs mains menottées en forme de croix à deux anneaux, avec les pieds touchant la terre et la tête sur le dos de la chaise en métal. Les gardes utilisaient une corde pour attacher le corps des pratiquants, la face tourné vers le haut et le corps se balançant dans le videl et ils ont continué à serrer la corde. Au deuxième étage on pouvait entendre même au 2e étage, les cris perçants des pratiquants, qui déchirent le cœur. En tant que tel, ces bandits se sont relayés, jour et nuit, pour essayer de forcer les pratiquants à écrire les "4 déclarations."(3) Pendant cette période, un groupe de personnes menées par le chef le bureau de la gestion de travaux forcés sont venus examiner chaque cellule. Quelques pratiquants étaient au seuil de la mort; on donna de l’oxygène certains et des intraveineuses d’autres. C’était trop tragique pour regarder!

Ils ont aussi forcé les pratiquants à calomnier le Maître et à attaquer Dafa. Celui qui refusait de leur obéir, était violemment battu. Certains pratiquants avaient les pieds et les jambes tellement sévèrement blessés qu’ils ne pouvaient pas bouger de leur lit. Les “4 déclarations” ont dû être écrites, selon les conditions de la police, sinon les tortures auraient continuées. Après que leur avoir fait écrire les déclarations, les pratiquants ont dû les lire devant les autres. Si les pratiquants refusaient de les lire ou de donner une déclaration solennelle confirmant ces déclarations, ils étaient traînés au quatrième étage pour plus de tortures. Les prisonniers criminels ont strictement surveillé chaque pratiquant. Ils ont complètement isolé chaque pratiquant immuable. Mme Wang Guofang, 42 ans, une pratiquante de la zone de Ranghulu, ville de Daqing, a été battue à mort pendant cette période.

L'administration du camp de travaux forcés de Qiqihar a tenu une conférence spéciale de proclamations recommandant ceux qui avaient été éminemment méchants comme d’excellents fonctionnaires.”

Notes:

  • (1) La chaise en métal est souvent faite de pipes en métal. Les victimes sont retenues sur les chaises avec les deux bras et jambes attachés pendant de longue période. Voir l'illustration: http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/1/9/17577.html


  • (2) Les collaborateurs: Les anciens pratiquants de Falun Gong qui ont renoncé à leur pratique due au lavage de cerveau et la torture. Ils aident à persécuter les pratiquants.


  • (3) Les "4 déclarations": Les pratiquants sont contraints sous le lavage de cerveau et la torture à écrire les “4 déclarations” comme preuve qu'ils ont abandonné leur croyance. Créées par le “bureau 610," ils se composent de la “lettre de repentir," “la garantie" de ne plus pratiquer le Falun Gong, "une déclaration de dissociation" pour déclarer la dissociation avec Falun Gong et promettre de ne pas aller à Beijing faire appel pour le Falun Gong et une liste de noms et d'adresses de tous les membres de famille, les amis et les connaissances qui sont des pratiquants.


Version chinoise disponible sur:
http://minghui.org/mh/articles/2004/6/7/76539.html


Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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