La Souffrance de Mme Mao Qi, Pratiquante de Dafa de la Ville de Zhengzhou, et de sa Famille

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En juin 2001, Mme Mao Qi pratiquante de Falun Gong et ouvrière licenciée de la filature de coton de la ville de Zhoukou, a été détenue pour avoir fait un appel pacifique à Beijing, pour l’arrêt de la persécution du Falun Gong. Sa mère était très en colère par son arrestation, en plus elle était très malade. Plus tard sa mère mourut avec sur le cœur un sentiment d’injustice. Le département politique de protection du Bureau de la Sécurité Publique, son lieu de travail, et le bureau administratif mitoyen ne permit pas à Mao Qi de voir sa mère une dernière fois avant sa mort. Fin octobre 2002, parce qu’elle n’arrivait pas à payer une rançon de 20 000 yuans, Mao Qi, après une détention illégale d’un un an et demi, fut envoyée dans un camp de travaux forcés pour trois ans. [500 yuans est le revenu moyen mensuel d’un travailleur chinois]

Quand Mao Qi est allée faire appel à Beijing en juin 2001, elle fut arrêtée illégalement et détenue à la Station de Police de la Place Tienanmen. On l’envoya ensuite au Centre de Détention de Zhoukhou pour une détention plus longue.

En juillet 2001, la mère de Mao Qi apprit qu’elle serait détenue pour une plus longue période et que le Bureau de Sécurité Publique refusait de la libérer. Sa mère mourut en sachant que sa fille souffrait aux mains de l’injustice. Sa famille plaida sa cause auprès des autorités pour qu’elle soit relâchée afin qu’elle puise assister au funérailles de sa mère. Cependant, l’unité Politique de Sécurité du Bureau Politique de Sécurité demanda des garanties de son employeur ou du bureau de la communauté du Village de Nanjiao où sa résidence était enregistrée. La filature de coton refusa sous prétexte que Mao Qi avait été licenciée. Le Bureau de la communauté du Village refusa aussi disant qu’elle ne résidait pas dans le village de Nanjiao.

Le mari de Mao travaille au Bureau de la Circulation de la ville de Zhoukou. Les premiers mois de l’année 2002, quand son mari travaillait, Gao Feng le chef de l’unité de la protection politique du Bureau de la Sécurité de Sha’nan, lui téléphona. Gao Feng dit que Mao Qi était détenue depuis une longue période, et il lui demanda de la persuader de renoncer à sa pratique du Falun Gong, et de voir dans quelle mesure ils arriveront à avoir un accord pour sa libération. Pourtant quand son mari arriva à l’unité de Sécurité Politique, Gao Feng lui dit qu’il avait entendu dire que lui aussi pratiquait le Falun Gong. Gao Feng avait employé une ruse pour faire venir le mari de Mao Qi à l’unité de la Sécurité Politique afin de le persécuter lui aussi. Puis Gao Feng emmena le mari de Mao Qi à son travail et chez lui pour une fouille. A la fin, le mari de Mao Qi fut détenu illégalement pendant trois mois et libéré sans aucune charge contre lui.

A la fin de l’année 2002, l’unité de Sécurité Politique envoya un message disant que Mao Qi pourrait être libérée sans aucune charge et sans avoir à écrire la déclaration de garantie, si elle leur donnait 20 000 yuans. Comme Mao Qi était licenciée depuis quelques années, sa famille n’avait pas les moyens de payer 20 000 yuans. Un mois plus tard, l’unité de Sécurité Politique décida de la « rééduquer » et l’envoya pour trois ans dans un camp de travaux forcés sous prétexte qu’elle avait refusé de se « repentir ». A la date d’aujourd’hui, Mao Qi est continuellement persécutée depuis deux ans et demi et est toujours détenue illégalement au camp de travaux forcés pour femmes de la ville de Shibalihe.

Version chinoise disponible à
http://www.minghui.org/mh/articles/2003/12/25/63289.html

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