Suivre le cours naturel des choses, avancer sur le chemin arrangé par le Maître

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Salutations au Maître!
Salutations aux compagnons de pratique!


Dès que j'ai commencé à pratiquer, j'ai distribué les journaux Epoch Times en langue chinoise. Je ne le faisais que durant mon temps libre et les week-end. Chaque vendredi, à l'aube, en allant à l'imprimerie pour chercher des journaux et les ramener à notre bureau, j'étais très enthousiaste. Lorsque je distribuais les matériaux de clarification de la vérité dans le quartier chinois, que je clarifiais les faits aux gens, je me sentais honoré. Dès lors, j'ai passé la plupart du temps à travailler en tant que journaliste pour le journal Epoch Times chinois. J'ai vraiment chéri ce chemin.


Devenir journaliste par hasard

Je suis quelqu'un qui manquait de motivation dans tous les aspects de ma vie. J'ai commencé à pratiquer à la fin de l'année 2001. Les six premiers mois , je lisais seulement Zhuan Falun à la maison et me rendais sur le point de pratique afin de participer aux exercices de groupe. Par la suite, des pratiquants aant appris à me connaître m'ont suggéré de rejoindre le grand groupe d'étude du Fa, et également de lire les nouveaux articles de Maître en plus de Zhuan Falun. À partir de ce moment-là, je me suis peu à peu engagé sur le chemin de la cultivation de la rectification de Fa.

Tout autour de moi semblait se dérouler si naturellement. C'était le résultat des arrangements du Maître auxquels je me suis éveillé grâce au bon environnement de cultivation à Toronto. Les encouragements bienveillants des pratiquants pour que j'écrive ce partage m'ont aidé à réfléchir à mon parcours de cultivation.


Il y eu des licenciements à mon travail en 2005 et j'ai été affecté. La première semaine après avoir perdu mon travail, par coïncidence, on m'a demandé d'apporter un appareil-photo à un cameraman sur place. Dès lors, je suis devenu journaliste volontaire pour Epoch Times.


À cette époque, je manquais d'expérience en tant que journaliste. Je ne savais pas comment bien écrire au clavier non plus. Je pouvais seulement taper environ 300 mots à l'heure. Je ne sais pas comment j'ai pu continuer à faire cela à l'époque. Je passais beaucoup de temps à étudier le Fa. En apparence, c'était comme si je n'avais rien d'autre à faire, mais dans le fond, j'avais du temps, et encore plus important, je ressentais qu'une sorte de force m'aidait.


Je me souviens qu'au début, lorsque je participais aux conférences de presse dans certaines communautés chinoises, ces dirigeants étaient très surpris de voir un journaliste d'Epoch Times, ils ne cessaient de nous féliciter en disant à quel point nous faisions du bon travail. Pour les êtres, je ferai de mon mieux. En ce temps-là, en plus d'être journaliste, j'occupais aussi la fonction d'éditeur. Des pratiquants qui travaillaient comme journalistes d'actualités écrivaient quelques fois des articles pour partager des capacités techniques, et celles-ci devenaient automatiquement mes matériaux d'enseignement. J'ai appris le reportage en grande partie grâce à ma pratique du terrain.


En fait, ce qui m'a le plus aidé est l'élévation dans ma cultivation. Mon expérience est que lorsque j'étais calme, je pouvais bien faire les choses. Lorsque j'étais très concentré, je pouvais très bien écrire les articles. Quelques fois, après avoir fini d'écrire un article, je pensais : "Cela aurait pu être mieux si j'avais écrit quelque chose de cette façon-là, ou si je l'avais exprimée de cette manière-là." Cependant, lorsque je relisais l'article, je sentais que ce que j'avais écrit au départ était encore mieux. Par la suite, j'en suis venu à comprendre que ceci était lié à mon état de cultivation, qui transcende l'état humain ordinaire. Je me sens si chanceux d'être un pratiquant.


En même temps, en allant faire des reportages sur différents niveaux du gouvernement, j'étais souvent obligé d'utiliser l'anglais. Auparavant, j'avais juste besoin de lire en anglais; mais je n'avais pas beaucoup d'opportunités de parler. Faire des reportages est devenu pour moi une précieuse opportunité d'utiliser l'anglais. Petit à petit, mon niveau de confiance a augmenté.

On touche le plus les gens lorsqu'on utilise son cœur pour faire les choses

Être un journaliste nécessite d'agir rapidement. Bien que je n'avais pas de professeur, tout ce que je faisais était d' utiliser mon cœur pour le faire du point de vue de la cultivation. Je tapais les discours de tout le monde lors de la conférence de presse et j'enregistrais les interviews. Lorsque je rentrais chez moi, j'écoutais tous les enregistrements. Cela demandait beaucoup de temps et impliquait beaucoup de difficultés. Je crois que j'éliminais beaucoup de karma dans le processus. Cependant, le fait de mettre mon cœur en faisant mon travail a eu pour conséquence que quiconque lisant mes articles était très heureux et que tout le monde me félicitait en disant que mes articles reflétaient la vérité.


Bien sûr, si l'on prend trop de temps pour écrire un article, cela ne marchera pas non plus. Quelqu'un a dit que le meilleur moyen pour un journaliste d'écrire des articles d'actualité est d'écrire les points clés. Puis, une fois rentré chez soi, on écrit l'article en suivant ces points, et on écoute les enregistrements si c'est nécessaire. Par la suite, j'ai pris l'habitude de préparer un brouillon lors des conférences de presse. Puis, sur le chemin du retour, je commençais à organiser la structure de l'article. Après être rentré chez moi, j'avais seulement besoin d'écouter la partie qui m'était vraiment utile, de manière à pouvoir finir l'article en un temps plus court. Cependant, j'insistais sur le fait de me concentrer sur les interviews, sans prendre de notes. Après être rentré chez moi, j'écoutais la partie des enregistrements dont j'avais besoin. Cette approche n'était peut-être pas la meilleure pour un journaliste, mais j'ai choisi de faire ainsi parce que cela correspondait à mon état de cultivation. Cependant, en faisant ainsi, j'ai gagné la confiance des gens que j'interviewais; beaucoup d'entre eux faisaient des remarques et disaient que je faisais les reportages avec un haut degré de précision. En même temps, ils me disaient que telle ou telle personne d'un autre journal était si négligente et que ce qu'elle écrivait ne reflétait pas ce que les gens interviewés avaient dit.


J'ai souvent ressenti que leur confiance dans notre journal est ce que nous voulions. Cette approche fonctionne encore plus efficacement lorsque nous interviewons un expert. Je me souviens qu'après avoir fini d'interviewer un expert, celui-ci m'a demandé de lui envoyer l'article avant qu'il ne soit publié, afin d'éviter des erreurs. Je lui ai dit que je lui avais posé toutes les questions que je voulais lui poser et que je suivrais les enregistrements pour écrire l'article.


Par la suite, j'ai interviewé de plus en plus d'experts. Mettre mon cœur dans tout ce que je faisais m'aidait à mieux comprendre leurs domaines et à gagner la confiance de certains d'entre eux. Ils pouvaient me parler plus ouvertement et savaient que si j'avais une question à leur poser, je la leur posais et leur demandais davantage de clarification. Si je voyais quoi que ce soit d'inapproprié, je ne l'utilisais pas pour écrire mon article.


La cultivation m'a permis d'être plus concentré au travail. En particulier durant les interviews, je pouvais clairement sentir ce qu'ils pensaient; par conséquent, je réussissais à découvrir davantage d'histoires touchantes à partir de mes interviews. J'ai interviewé des pratiquants de Chine continentale, des pratiquants qui avaient obtenu la Loi au Canada et des Chinois non pratiquants. Les histoires racontant comment ils avaient commencé la pratique, comment ils s'étaient élevés pendant la pratique, et comment ils avaient traversé la persécution en Chine continentale, me touchaient profondément. En écrivant ces articles, j'étais souvent en larmes.


La pression est une bonne opportunité pour s'améliorer dans la cultivation

Lorsque The Epoch Times a embauché des journalistes à plein temps, j'avais travaillé dans une société ordinaire pendant plus de 2 ans. Je venais juste de recevoir ma promotion, et la sécurité du travail était bonne. En ce temps-là, la présidente de The Epoch Times m'a contacté pour que j'occupe un poste de journaliste à plein temps, et elle a réussi à persuader aussi ma femme.


Par coïncidence, ma femme avait un travail sûr à cette époque, et nous venions juste de terminer de rembourser notre prêt immobilier, ce qui m'a aidé à prendre la décision de travailler à temps plein pour le journal The Epoch Times.


Cela demande vraiment du courage de décider de travailler pour Epoch Times. D'un autre côté, c'est une grande opportunité. Lorsque l'on travaille pour une entreprise de média dans la société ordinaire, en tant que journaliste, on vous laisse seulement faire des reportages de base, tels que traduire et réviser les nouveaux scripts que l'on vous a assignés. Mais en travaillant pour Epoch Times, j'avais l'opportunité de jouer de nombreux rôles. Alors que je sentais que je n'étais pas encore suffisamment expérimenté, on m'a demandé de participer à la réunion avec le Premier Ministre Canadien. Durant la réunion, j'avais la responsabilité de poser des questions aux Premier Ministre de la part d'Epoch Times. A l'époque, mon anglais n'était pas fluide. J'étais si nerveux que je répétais "Falun Dafa Ha (est bon) " dans ma tête pour me calmer. C'était apparemment une bonne opportunité de cultiver.


Lorsque j'étais responsable de couvrir des conférences de presse politique, j'étais aussi responsable des photos, alors même que mes ressources et mes connaissances concernant la photographie étaient limitées à l'époque. Je devais prendre beaucoup de photos, de manière à m'assurer d'avoir de bons clichés. Les autres photographes professionnels prenaient beaucoup de photos de façon à obtenir de "bons" clichés. J'en prenais beaucoup aussi. Mais à cause de l'éloignement et du peu de lumière, beaucoup de mes photos n'étaient pas suffisamment claires. Si je ne prenais pas suffisamment de photos, nous pouvions ne pas avoir la moindre photo pour le reportage.


Mais, chaque fois qu'il y avait un évènement de presse important, au moins l'une des bonnes photos était de qualité suffisante pour être utilisée pour le reportage. Par la suite, en en apprenant davantage au sujet de la photographie, j'ai réalisé qu'avec l'appareil photo que j'avais à l'époque, dans ces situations, il aurait du être totalement impossible d'obtenir la moindre prise de vue utilisable.


Je veux remercier le Maître pour ses arrangements, ses encouragements, sa protection et son attention. J'ai pu perfectionner mes capacités en photographie grâce à ces opportunités. Comme je devais me concentrer sur la prise de photos, j'étais incapable de vraiment me concentrer sur les discours. Alors, je devais écouter les enregistrements plus tard, ce qui m'a aidé à améliorer mon anglais. Plus important encore, j'avais amélioré mon état de cultivation dans le processus, et ma confiance dans la cultivation a aussi été renforcée .


Epoch Times en est venu à exiger des critères encore plus élevés pour la publication d' articles, et de nombreux interviews se faisaient par téléphone. Comme mon anglais s'était amélioré, j'avais plus confiance dans le fait de faire des interviews par téléphone. On peut dire que mes capacités professionnelles se sont améliorées autant qu'Epoch Times se développaient.


En plus de faire des reportages sur différents thèmes qui peuvent sortir du domaine de nos connaissances, l'un des défis les plus difficiles en tant que journaliste est de respecter les dates limites. Il y a eu de nombreuses fois où, je devais finir le reportage avec un temps extrêmement court avant la date limite. Des fois, la date limite se rapprochait juste lorsque je devais emmener mon enfant à son cours de musique. Il est difficile de décrire ce que je ressentais dans ces moments-là. Je ne veux pas dire que c'était dur parce que c'étaient de bonnes opportunités pour la cultivation. La plupart du temps, j'essayais simplement de me calmer et de nier l'interférence, ainsi je pouvais terminer mon reportage juste à temps.


En me rémémorant ces expériences, je réalise que je ne faisais vraiment rien d'intentionnel. Je marchais simplement sur le chemin de cultivation arrangé par le Maître—j'étais devenu un journaliste d'Epoch Times, et en même temps, j'étais sur mon chemin de cultivation.


Apprendre à regarder en soi et à penser aux autres

Je travaille à domicile, et je m'occupe de mon fils qui est à l'école élémentaire. Lorsque je travaillais pour une entreprise de la société ordinaire, il y avait un membre de ma famille plus âgé qui s'occupait de mon fils, je n'avais donc pas besoin de m'en préoccuper autant. J'ai compris par la suite que m'occuper de mon enfant était aussi une bonne opportunité pour cultiver.

En tant que journaliste, je travaillais souvent seul, les opportunités d'interagir avec d'autres personnes étaient donc limitées. C'était peut-être la raison pour laquelle mon fils n'aimait pas étudier à l'école, et il prenait du retard pour faire ses devoirs. Son professeur nous a demandé de l'aider à faire ses devoirs.


J'étais très occupé avec mon travail de journaliste. Je rappelais simplement à mon fils de faire ses devoirs à la maison, au lieu de l'aider. Mais mon fils ne savait pas du tout comment faire ses devoirs, alors il ne pouvait pas les finir, et il avait peur d'aller à l'école. Par conséquent, je dus passer du temps pour l'aider à faire ses devoirs. J'ai vu que je devais lui apprendre tout ce qu'on lui avait enseigné à l'école, c'était comme s'il n'écoutait pas du tout les cours à l'école. Cela prenait beaucoup de temps. J'ai dû l'aider de cette façon pendant pas mal de temps jusqu'à ce que je réalise que cela devait avoir un lien avec ma propre cultivation.


Pendant ce temps, on me demandait d'interviewer des spécialistes de l'éducation, ce qui m'a permis de trouver de nombreuses bonnes méthodes pour éduquer les enfants. J'essayais ces méthodes avec mon fils. C'était simple. Je devais être patient, et essayer de vraiment comprendre mon enfant de manière à l'aider. J'ai soudain réalisé que le problème venait de la pensée que mon enfant monopolisait mon temps précieux que je devais consacrer à des choses importantes. Mon fils n'était pas coopératif parce que j'étais impatient avec lui. Je suis un pratiquant, je devrais regarder en moi-même lorsqu'un problème surgit et penser aux autres.


Après cela, lorsque mon fils semblait frustré et impatient, je lui faisais mes excuses, lui disant que c'était de ma faute. Alors, il est devenu de plus en plus tranquille. Je lui disais que j'aimais l'aider, alors il me faisait confiance, et il a commencé à étudier davantage tout seul. Cela devenait aussi plus facile pour moi, et je pense que c'était le résultat de mes progrès dans la cultivation. En même temps, je voyais les résultats positifs mentionnés par les spécialistes de l'éducation—Mon fils commençait à me parler de ses amis et de ses professeurs à l'école, et il me racontait même ses secrets qu'il me demandait de ne pas mentionner aux autres.


J'ai soudain réalisé ce qu'était la cultivation—cela consistait à être altruiste, et à penser véritablement aux autres.


Les mêmes principes s'appliquent au travail. J'avais l'habitude de me mettre en colère lorsque je voyais que mon article n'avait pas été publié longtemps après l'avoir remis. J'ai compris que j'aurais dû comprendre la situation de l'éditeur car j'avais été moi-même éditeur par le passé. En même temps, j'entendais les mêmes plaintes venant d'un autre journaliste. Alors, j'échangeais patiemment mes compréhensions de la Loi avec ce journaliste, et je lui faisais part de la situation du point de vue d'un éditeur. Peut-être l'avais-je convaincu. Mais une chose est sûre, je m'étais convaincu moi-même. Après cela, il y eut un incident lorsque mon article ne fut pas publié dû au manque de communication préalable. Je ne me suis pas plaint. La cultivation est si miraculeuse.


Voir l'impact des médias dans le salut des êtres

C'est une lourde tâche que de travailler pour Epoch Times. Je dois souvent travailler sept jours sur sept parce que nous n'avons pas suffisamment de journalistes. Comme je suis devenu journaliste à plein temps, je devais abandonner les autres projets pour lesquels je travaillais dans le passé. Je m'inquiétais au début du fait qu' en tant que journaliste, je ne pouvais pas clarifier la vérité directement comme le faisaient les autres pratiquants.


L'Enseignement de la Loi donné par le Maître lors de la réunion du journal Epoch Times m'a encouragé . Maître a dit:"Ça ne va pas, réfléchissez, si personne n’a plus besoin d’aller travailler dans les entreprises des gens ordinaires pour résoudre le problème de gagner sa vie, que votre journal puisse résoudre cela, et que vous puissiez y mettre tous vos efforts, si ce journal peut devenir un travail normal de la société des gens ordinaires, où vous pouvez recevoir un salaire normal, alors ne faites-vous pas non seulement ce que les disciples de Dafa doivent faire, mais assurez aussi financièrement votre vie ? N’est-ce pas formidable ?"


Ecouter les partages d'expériences des compagnons de pratique sur comment Epoch Times avait vraiment changé les points de vue de beaucoup de personnes ordinaires, me faisait sentir qu'Epoch Times avait vraiment travaillé très efficacement pour le salut des êtres. J'ai interviewé récemment un pratiquant occidental qui m'a raconté son histoire de cultivation dans laquelle sa vie était dans une situation désespérée jusqu'à ce que la pratique du Falun Dafa la change complètement. C'est par le biais d'Epoch Times qu'il avait découvert le Falun Gong.

Maître a dit dans "Enseignement de la Loi donné lors de la Réunion d'Epoch Times"
"Si vous pouvez bien gérer le journal, vous aurez un effet plus puissant sur le salut des êtres et sur la validation de la Loi." (traduction de l'anglais)


J'ai vu que beaucoup de Chinois connaissaient la relation entre Epoch Times et le Falun Gong. En tant que journaliste, je pense que mieux je fais mon travail, plus de gens seront d'accord avec Epoch Times, et meilleure sera leur mentalité envers Dafa. Je mets encore plus d'efforts concernant les interviews et l'écriture des articles car cela est mon chemin de validation de la Loi et du salut des êtres.


Le directeur d'une association chinoise m'a demandé de lui envoyer un lien de mon interview avec lui après l'avoir publiée. Il a dit qu'il enverrait le lien à ses subordonnés.


Il y a vraiment beaucoup de Chinois qui ont vu vu la véritable nature du PCC en lisant The Epoch Times, et ont fait les "trois démissions" [quitter le Parti et ses organisations affiliées]. Ils ont changé d'attitude envers le Falun Gong. Malgré cela, il y a une distance entre l'influence du journal et les attentes du Maître. Sur le chemin qui nous reste , il y a de nombreux défis. En regardant en arrière, je crois que dès que l'on croit en Maître et en Dafa, on marchera sûrement sur le chemin arrangé par le Maître et sera capable d'honorer son ancien serment.


(Présenté à la Conférence de partages d'expériences de cultivation du Falun Dafa au Canada 2013)

Version anglaise :
lFollowing the Natural Course, Walking on the Path Arranged by Teacher


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