Diffuser les principes de Vérité-Compassion-Tolérance dans ma classe, mes élèves obtiennent la sagesse

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Avant que la persécution du Falun Dafa en Chine ne commence, le 20 juillet 1999, on pouvait voir un peu partout le matin des gens pratiquer les exercices de Falun Gong.


Les dirigeants de nombreuses entreprises avaient pu remarquer que les pratiquants de Falun Gong étaient non seulement en bonne santé, mais aussi des employés dévoués, qu'ils prenaient légèrement titres, promotions et bonus et ne se battaient plus pour leur propres intérêts, évitant beaucoup de tracas aux responsables. Beaucoup donnaient un espace aux pratiquants pour pratiquer leurs exercices pendant leurs pauses et ils propageaient aussi le principe de Vérité-Compassion-Tolérance.


Un jour, aprés une réunion de routine, le principal de l’école a demandé à deux professeurs qui pratiquaient le Falun Gong de l’enseigner à tout le monde. C'est à la suite de cela que j'ai commencé la pratique.


À l’automne 1998, l’école a mis en place une classe intérim pour préparer les étudiants à un concours national de mathématiques. Le principal m’a désigné pour enseigner cette classe. Je faisais face à trois défis: Le premier, les étudiants sélectionnés n’étaient pas aussi qualifiés que dans les autres écoles. Ils n’avaient jamais été entrainés pour un concours de mathématique alors que les autres écoles l'étaient depuis trois ans. Deuxièmement, je n'avais donné des cours de maths ordinaires mais n'avais jamais entraîné les étudiants pour des concours de mathématiques. Troisièmement, ni l'école ni moi-même n'avions de documents pour le concours e maths. Nous devions apprendre des autres écoles quoi utiliser et comment trouver des exemples de questions de concours. Je craignais de ne pas pouvoir satisfaire aux attentes, alors j'ai partagé mon inquiétude et mes difficultés avec le principal et lui ai demandé de trouver un autre professeur. Mais il a refusé, j'ai alors pensé que j'étais pratiquant de Falun Gong et devais assumer la tâche qui m'était confiée.


Maître Li nous enseigne:

Que ce soit un projet de recherche ou une tâche confiée par le chef ou tout autre travail, nous les menons à bien avec l’esprit clair. C’est seulement lorsqu’il s’agit de nos intérêts personnels et de conflits entre les gens que nous prenons les choses avec légèreté. (Zhuan Falun – Neuvième leçon)


En tant que professeur dont la tâche est de préparer ses élèves à une compétition de mathématiques, j’ai suivi l’enseignement du Maître. Je ne me suis pas focalisé sur les résultats, je me suis juste attaché à faire un bon travail. J’ai recherché les sujets, sélectionné les problèmes et évalué les réponses. Bien que très occupé, j’étais calme et serein. La plupart du temps, je pouvais trouver une solution aux problèmes sans difficulté. Je ne ressentais pas ce dont les autres se plaignaient à propos des concours : “que les problèmes de mathématiques sont difficile à faire peur”. En enseignant, j’ai appris les principes et les techniques que je n’aurais pas pu apprendre dans une classe normale de mathématiques et cela, j’ai pu le transmettre à mes étudiants de façon à ce qu’ils le comprennent. N'ayant aucune expérience pour encadrer un concours de maths, je ne pouvais que remercier Maître Li de m’avoir donné la sagesse.


Dans les trois derniers mois avant le concours, les étudiants ont suivi un entraînement intensif et avaient 10 classes chaque jour, étudiant du matin au soir. J’étais le seul professeur pour la classe et je devais prendre en charge les états émotionels des étudiants et leurs comportements. Cependant, j’étais si occupé à selectioner les problèmes, trouver les solutions, créer des tests et les corriger que je ne pouvais pas intéragir avec eux un à un.


À cette période, l’éducation morale à l’école n’était souvent qu’une formalité. Les mots vides et les clichés n’avaient aucune résonance pour les élèves. Ils faisaient semblant d’être obéissant, mais ils n’étaient pas convaincus. Ils faisaient comme il leur plaisait dés que le professeur avait le dos tourné. J’ai décidé de les guider avec les principes du Falun Dafa: Vérité-Compassion-Tolérance.


Un soir, j’ai amené des photos de personnes pratiquant le Falun Dafa partout dans le monde. Les étudiants ont ainsi appris comment Falun Dafa s’était propagé dans le monde entier et ils ont compris ce que voulait dire Vérité-Compassion-Tolérance. Ils ont aussi lu des histoires de professionels dans les domaines scientifique et technologique ayant obtenu la sagesse en pratiquant le Falun Gong et ayant obtenu des accomplissements remarquables dans leurs domaines .


Tous les étudiants ont adopté les principes de Vérité-Compassion-Tolérance et voulaient apprendre le Falun gong. Je leur ai dit que vu le peu de temps qu’ils avaient dans le contexte du concours, nous devrions suivre ces principes de Vérité-Compassion-Tolérance dans nos vies de tous les jours et que nous apprendrions les exercices pendant les cours d’éducation physique, aprés le concours.


Dès lors, les étudiants ont suivi le principe de "compassion" dans leurs relations mutuelles. Ils s’aidaient au lieu de se battre. Ils étaient à l’aise les uns avec les autres, bien qu'issus de classes différentes. Ils ne regardaient plus de haut ceux qui étaient plus faibles et n’enviaient plus ceux qui faisaient mieux. À la pause, ils m’aidaient à organiser mes notes, mes papiers d'examens, et les aides d'enseignement, sachant à quel point j’étais occupé.


Ils étaient "authentiques" dans leurs études. Ils étaient honnêtes et posaient des questions lorsqu’ils ne comprenaient pas quelque chose. Lorsqu’ils avaient des examens,personne ne trichait, même si je n’avais pas le temps de surveiller. L’entrainement intensif était pénible et fatiguant. Les élèves étaient "tolérants". Ils étaient diligents en pratiquant en classe et après la classe, ils s’enfermaient dans leur dortoir pour étudier et ne permettaient pas aux autres étudiants de venir les perturber. Lorsque les résultats étaient annoncés, ceux qui avaient de bonne notes ne le mettaient pas en avant et ceux qui en avaient de moins bonne cherchaient à faire mieux. Un jour, un étudiant a essayé de savoir pourquoi il n’avait pas bien réussi son examen. Il a alors découvert son erreur en étudiant de nouveau la leçon. Il s’est aussi rappelé son mauvais comportement un peu plus tôt lorsqu’il a cassé un bâton de bambou dans le jardin de ses voisins.


Certains étudiants se sentaient nerveux avant le concours. J’ai partagé avec eux l’enseignement de Maître Li consistant à se focaliser sur le processus et pas sur les résultats. Je leur ai dit qu’en tant qu’étudiant, leur responsabilité était de faire de leur mieux et de répondre à chaque question. S’ils se souciaient du résultat, leur vanité les distrairaient et affecteraient leurs résultats de manière négative. Les étudiants n’étaient plus nerveux aprés cela.


Au concours national, ils ont répondu aux questions calmemement. En vérifiant les réponses après le concours, deux étudiants ont cru qu’ils avaient tout bon. En fait, ils ont tous les deux gagné le Grand Prix National pour réponse parfaite. En plus, dix étudiants ont gagné le premier prix, dix autres le second prix et cinq étudiants ont gagné le troisième prix. Cela a été considéré comme un miracle dans mon école. Les résultats étaient meilleurs que dans toutes les écoles qui avaient eu de très bons résulats dans les concours précédents. Je savais que c’était Maître Li qui avait donné aux élèves la sagesse parce qu’ils avaient suivi les principes du falun Dafa et pratiqué Vérité-Compassion-Tolérance.


À la conférence d’échange sur les expériences au travail, j’ai partagé ma compréhension. Chaque professeur souhaite que ses élèves réussissent. Cependant, les étudiants ne deviendront pas nécessairement bons s’ils ne comprennent pas pourquoi ils doivent bien se comporter. Lorsque je leur ai appris les principes du Falun Dafa :Vérité-Compassion-Tolérance, les étudiants sont devenus de vraiment bons étudiants, ce qu'ont reconnu les autres professeurs et leur parents, parce qu'ils se comportaient bien qu'ils fussent au milieu des autres ou seuls.


Après le concours, les professeurs qui pratiquaient le Falun Gong à l’école et les étudiants de ma classe lisaient les livres du Falun Gong, pratiquaient les exercices et partageaient leurs expériences ensemble. C'était vraimment un temps incroyablement joyeux et gratifiant où chacun bénéficiait physiquement et mentalement. Malheureusement, le groupe de pratique a cessé le 25 avril 1999.


Je me demande ce que sont devenus ces étudiants aujourd’hui. Si le Parti communiste chinois (PCC) n’avait pas interdit le Falun Gong, tous seraient devenus de trés bonnes personnes!


Traduit de l'anglais
Spreading the Principles of Truthfulness-Compassion-Forbearance in My Class, My Students Obtain Wisdom


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