Essais, Documents, Rapports d'enquêtes, Opinions et commentaires

  • Ce que nous pouvons comprendre du "Roi Singe répudié par son Maître"

    Dans la tradition classique chinoise, Sun Wukong, également connu comme le Roi Singe, cultivait avec un maître taoïste. Comme il avait une très haute qualité d'éveil, il alla demander à son maître de lui enseigner le Tao et les capacités supranormales. Cependant, ses compagnons n’avaient pas la même relation prédestinée pour recevoir de tels enseignements. Encouragé par eux, le Roi Singe leur montra ce qu'il avait appris de son maître. Il fut en conséquence répudié par son maître. Bien que cela ne soit qu'une toute petite partie de l'histoire du Roi Singe, cela révèle certains aperçus profonds...
  • Rapport annuel 2008 du Centre d’Information du Falun Dafa, 6ème partie : interférences arbitraires sur la vie privée, les familles, leur domicile ou leur courrier

    Les adhérents du Falun Gong ont continué à être surveillés de manière régulière et très intrusive par des agents de la sécurité chinoise, notamment des surveillances jour et nuit, ainsi que l’écoute des conversations téléphoniques et e-mail. Ces surveillances ont augmenté dans les mois précédant et suivant les Jeux olympiques. Les récits d’adhérents du Falun Gong en Chine font souvent état de surveillance par les forces de sécurité, et particulièrement le bureau 610. La commission exécutive du Congrès sur la Chine a trouvé des preuves d’ordres internes stipulant la nature des surveillances à opérer sur les Falun Gong.
  • Rapport annuel 2008 du Centre d’Information du Falun Dafa, 5ème partie : Refus d’un procès public équitable

    Cette année a vu un accroissement des peines de prison infligées aux adhérents de Falun Gong, nombre d’entre elles survenant après la fin des Jeux Olympiques et après des mois de détention en attente d'un procès. La plupart des condamnations allaient de trois à cinq ans, bien que des condamnations allant jusqu'à treize ans ont été enregistrées. Les avocats qui défendaient les adhérents de Falun Gong ont continué à faire face à l’intimidation et au harcèlement.
  • Rapport annuel 2008 du Centre d’Information du Falun Dafa, 4eme partie : Arrestation ou détention arbitraire

    De décembre 2007 à mai 2008, le Centre d’Information de Falun Dafa a reçu des rapports de plus de 8 037 adhérents de Falun Gong étant emmenés en détention. Selon les rapports, de nombreuses arrestations ont suivi un schéma commun, dans lequel les agents du poste de police local ou de la branche du Bureau de la sécurité publique ( BSP), se sont rendus au domicile ou sur le lieu de travail du pratiquant, cherchant tout matériau lié à Falun Gong, et ont emmené la personne en garde-à-vue dans le centre de détention du district.
  • Rapport annuel 2008 du Centre d’Information du Falun Dafa, 3ème partie : tortures et autres traitements inhumains, dégradants ou sévices

    Dans son rapport de mission en Chine en 2005, le rapporteur spécial des Nations Unies sur la torture, Manfred Novak, a déclaré que 66 pourcent des rapports de torture en Chine reçus par son bureau venaient de pratiquants de Falun Gong qui en étaient victimes. Des photographies valant pour preuves venant de l’intérieur de la Chine, des déclarations d’anciens prisonniers de conscience, des enquêtes par des avocats des droits de l’homme et des témoignages d’ancien personnel de la sécurité indiquent l’utilisation très répandue de la torture contre les adhérents du Falun Gong dans le but de les forcer à renoncer à leurs convictions ou leur extraire des informations sur d’autres pratiquants.
  • Rapport annuel 2008 du Centre d'Information du Falun Dafa, 2ème partie : Disparitions

    Depuis 2006, les éditeurs de minghui.ca, un site Internet en langue chinoise tenu par des pratiquants de Falun Gong d'outermer, avec un réseau étendu de sources, a maintenu une base de données de pratiquants rapportés disparus par des amis et des parents. Parmi eux, beaucoup ont disparu à la suite d'arrestation et de détention, et d'autres après avoir été forcés à la clandestinité pour échapper à la persécution. Depuis que Minghui a commencé le travail de compilation des données, 1300 cas ont été répertoriés.
  • Rapport annuel 2008 du Centre d’Information du Falun Dafa, 1ere partie : privation arbitraire ou illégale de la vie

    Vous trouverez dans ce document un tableau complet des noms et les détails disponibles entourant ces cas connus. Il a été compilé à partir d’une variété de sources, y compris des témoignages de proches ou d’amis à propos de la personne décédée, de preuves photographiques, et d’un suivi d’appels téléphoniques par des enquêteurs auprès de la police ou des autorités de prison concernées. Au total, depuis 1999, le Centre d’information de Falun Dafa a documenté les cas de 3.242 pratiquants de Falun Gong qui sont décédés en résultat de diverses formes de persécution. Etant donné le secret entourant de tels cas, le chiffre réel de morts est probablement beaucoup plus élevé.
  • Le journal Ming Pao, un porte parole du Parti communiste chinois outremer, met fin à ses publications

    Le 31 janvier 2009, Ming Pao Newspaper-US East Daily a mis fin à ses publications, suivant les instructions de leurs quartiers généraux à Hong Kong d’ “abandonner sa queue pour survivre”. Le 25 février le Ming Pao Newspaper-US West Daily a également arrêté ses publications. Quelques jours plus tard, le soir du 9 février 2009, un bâtiment attaché au côté nord du nouveau bâtiment de CCTV à Pékin a pris feu et brûlé pendant presque six heures. En surface ce sont deux incidents séparés et sans connexion, mais à les examiner de près, ils ont quelque chose en commun....
  • Rapport annuel 2008 du Centre d’information de Falun Dafa: Sommaire et recommandations du bureau

    La répression de Falun Gong en Chine continentale s’est considérablement accrue en 2008. Un ensemble significatif de preuves ‘’incluant des récits de première main d’adhérents, des déclarations du gouvernement chinois ainsi que des sources émanant de tierce parties fiables’’ indiquent que l’escalade a été rendue largement possible par les Jeux Olympiques. Les fonctionnaires chinois, sous le prétexte d’ ‘’assurer des Olympiades sans problèmes’’, ont utilisé l’environnement de sécurité intensifiée pour détenir, torturer et condamner arbitrairement des adhérents de Falun Gong dans toute la Chine, à jusqu’à 2 ½ ans de rééducation dans les camps de travail ou jusqu’à 13 ans de prison.
  • Violence sanctionnée par l’état contre les femmes qui pratiquent Falun Gong

    Les Nations Unies ont commencé à célébrer la Journée internationale des femmes le 8 mars 1975. Deux années plus tard, en décembre 1977, l’assemblée générale a adopté une résolution, proclamant qu’une Journée des Nations Unies pour la paix internationale et les droits des femmes soit observée n’importe quel jour de l’année par les Etats Membres, en accord avec leurs traditions historiques et nationales. En adoptant cette résolution, l’assemblée générale a reconnu le rôle des femmes dans les efforts pour la paix et le développement, et incité à une cessation de la discrimination et à un accroissement du soutien pour la participation pleine et équitable des femmes. Le Parti communiste chinois (PCC), cependant, ignore les valeurs universellement acceptées et les principes des droits de l’homme, en particulier dans sa persécution brutale du Falun Gong ...
  • L’avocat des droits de l’homme Tang Jitian: Les condamnations des pratiquants de Falun Gong sont 100% injustes

    Fin 2008, deux procès illégaux se sont déroulés à la cour du nouveau district Shenbei de l’agglomération de Shenyang, province du Liaoning contre quatre pratiquants de Falun Gong. Les lourdes condamnations prononcées allaient de six à onze ans. Les membres de famille des pratiquants n’ont pas pu accepter un verdict aussi arbitraire décidé sans observer aucune procédure légale. L’époux de Wang Sumei a dit : ‘’La police et les centres de détentions concoctent des mensonges. Il n'y a sur la liste du procureur que de faux témoins. Je veux les traduire en justice.’’
  • Phœnix TV, le porte-parole du PCC à Hong Kong, détourne l’attention des gens

    Phoenix TV, porte-parole du PCC à Hong Kong, a diffusé de longs articles calomniant le Falun Gong, le 4 mars. Ils ont déclaré que l’information provenait d’un ‘’expert’’ étranger non nommé, de ‘’représentants Chrétiens’’ en Chine, etc. La propagande de Phœnix TV, qui tente de créer une fausse impression et de discréditer des innocents, contribue au but principal du PCC de poursuivre la persécution de Falun Gong. Ces mensonges renvoient à la fabrication de ‘’ l’incident de l’auto immolation de Tienanmen ‘’ par le PCC, que le régime de Jiang a utilisé pour monter un coup contre le Falun Gong, début 2001
  • Une responsabilité inéluctable

    Récemment, après avoir lu les mémoires d’un soldat japonais qui a tué des civils chinois durant la seconde guerre mondiale, mes émotions m’ont submergé. Le nom du soldat était Mizorogi. L’histoire débute par l’entraînement qu’il reçoit à tuer les Chinois. Le commandant du peloton qui entraînait les nouvelles recrues décrivait trois fermiers chinois comme leurs ‘’principaux ennemis’’ à tuer à tout prix. Quiconque manquait du courage de tuer n’était pas digne d’être un soldat impérial. On devait au moins être capable de poignarder l’ennemi avec un couteau. Donc, Mizorogi et d’autres, pour protéger leur propre vie, être promus et obtenir une bonne réputation, ont maltraité collectivement et tué les trois chinois...
  • Réflexions sur les cinquante millions de démissions du PCC

    En 2009 la vague de retraits du PCC s'est accélérée. Les bannières proclamant "Le Ciel élimine le PCC", "Démissionnez du PCC ", et "Retirez-vous du PCC pour votre sécurité" ne sont plus déchirées aussi vite qu'avant. De plus en plus de gens soutiennent l'activité et sont devenus porteurs du message "Quittez le PCC". Dans les Centres d'aide aux démissions du PCC à travers l'Europe, des fonctionnaires chinois ont ouvertement démissionné du parti en groupes, pavant la voie pour leur propre avenir.
  • CCTV joue avec le feu et se brûle

    La Télévision centrale de Chine (CCTV) est le porte-parole du Parti communiste chinois (PCC). Le soir du 9 février 2009, un immeuble attaché au côté nord du nouveau bâtiment de CCTV a pris feu. Le feu a brûlé presque six heures. Plus de dix étages de l'atrium à l'intérieur du bâtiment se sont effondrés. Des feux d'artifice allumés par CCTV sur un terrain vague jouxtant le coin sud ouest de l'immeuble ont apparemment causé l'incendie. On pourrait voir ça comme CCTV se brûlant en jouant avec le feu...