Forum des pratiquants

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  • Règles de base de l’écriture journalistique ( 2e Partie)

    Aujourd'hui beaucoup de gens lisent les nouvelles à la hâte. Quand ils tombent sur un long article difficile à lire, ils jettent un coup d'œil rapide et ne le lisent pas. Pour prendre cela en considération lorsque l'on écrit un article, on doit faire court et concis, formuler des phrases directes. De plus, l'organisation des phrases, des paragraphes doit être claire et simple. Les gens peuvent comprendre tout de suite et n'ont pas besoin de lire plusieurs fois pour comprendre. Certaines personnes lisent les actualités pour se détendre et se distraire. Si on les « teste » en grammaire et en syntaxe, ils pourraient perdre l'opportunité d'apprendre la vérité.
  • Réflexion sur la pratique des exercices du Falun Gong

    « J’ai découvert qu’un pratiquant que je connais et qui est diligent dans l’étude de la Loi, diligent dans la cultivation de son Xinxing et qui fait aussi bien les exercices, a des pensées droites très puissantes. Il n’a pas besoin d’émettre intentionnellement des pensées droites ; il traite toute chose avec des pensées droite. Quand nous envoyons ensemble la pensée droite pour éliminer les influences démoniaques, il y a une légère séparation au milieu des micro particules et il y a une substance comme une ceinture transparente pendant la séparation . Ceci apparaît parce que beaucoup de son corps physique a été transformé en substance de haute énergie. Lorsqu’il élimine les influences perverses, il a un potentiel d’énergie très élevé et stable. Ainsi ses pensées droites sont très puissantes et il ne se fatigue pas facilement. »
  • Commentaire du site Minghui : Penser sur la base d'un esprit sobre et avec un point de départ droit

    En s'opposant à la persécution, tout ce que les pratiquants de Falun Gong ont fait a été de présenter les faits et de faire appel à la rationalité des gens, ce n'est pas quelque chose de nouveau pour la société ordinaire. La seule différence est que le sens profond et la connotation sont plus purs. Cependant, au cours de résister à la persécution, puisque quelques pratiquants ont eu des contacts fréquents avec des groupes qui ont des intentions politiques, ils ont graduellement développé des attachements des gens ordinaires. Seulement si nous, pratiquants, avons des mentalités pures et calmes, pouvons nous améliorer la clarification de la vérité aux gens. C'est parce que nos mots et actions purs manifestent notre point de départ et notre but final.
  • Prendre un chemin droit: gérer le Travail de Dafa et l’étude (Conférence de la Loi de Berlin 2003)

    "Je n'ai pas finalisé mon devoir ni ne l’ai imprimé jusqu'au matin du jour prévu. Bien que le temps fût très serré, mon esprit était calme et paisible. Le professeur m'a donné une bonne note sur ce devoir. Cette bonne note est différente des bonnes notes que je recevais avant la 'cultivation'. Avant j’avais plus ou moins l'attachement de rechercher une bonne note et obtenais des choses par la recherche. Cette bonne note est venue parce que j’avais renoncé à moi-même et à mes notions. Ce que j'ai obtenu était beaucoup plus qu'une bonne note, j'ai obtenu une occasion de me rectifier et de valider le pouvoir de la Loi. C'est ce grand, bienveillant et tolérant pouvoir qui rend tout cela possible. "
  • Se retourner et découvrir ce qui m’a amené à la situation actuelle pour faire de vrais progrès

    "Je découvre que j’ai développé de la paresse, de l’apathie, n’ai plus eu de volonté de faire ce qui est difficile à faire, etc., tout ce qui m’amène de gros problèmes. Mais un bien plus grand problème surgira si je ne fais pas un retour en arrière et ne le reconnais pas. A savoir, je mettrai trop l’accent sur la situation présente et échouerais à voir la racine du problème et la vérité de la situation dans son ensemble. Puis, j’essaierai de résoudre ce problème particulier de façon têtue sans voir ce qu’il en est de façon plus profonde."
  • Le moine Jigong sauve tout un village d’un désastre imminent

    "Chers amis : Aujourd’hui les pratiquants de Falun Gong font de leur mieux pour vous faire comprendre par tous les moyens imaginables que le Falun Gong est bon, et que les pratiquants de Falun Gong souffrent d’atroces tortures et l’injustice . Ils essaient d’exposer la vérité en suspendant des bannières contenant des messages clarifiant la vérité, en collant des affiches clarifiant la vérité, en diffusant des programmes clarifiant la vérité sur la télévision chinoise, etc. Si pour une certaine raison vous n’approuvez pas ces actions, veuillez penser à Jigong, qui a du prendre des mesures inhabituelles pour sauver la population de tout un village."
  • Expériences en créant le programme de Radio Suédoise "l'Heure du Falun Gong" (Conférence de Loi de Berlin 2003)

    J'ai compris que si le consulat voulait arrêter notre programme, cela signifiait que notre émission "l'Heure du Falun Gong" devait continuer. Le consulat nous a montré combien notre émission est importante pour présenter le Falun Gong et exposer la perversité. Ils ont certainement très peur qu’on dévoile ce qu'ils ont essayé de cacher. Notre émission permet vraiment à des milliers de gens de retourner leur opinion d’autant plus que maintenant par l’intermédiaire de l’Internet, on peut l' écouter aux quatre coins du monde, y compris au Consulat chinois. C’est pour cela qu’à la fin de chaque émission hebdomadaire, nous remercions non seulement nos auditeurs normaux mais aussi notre consulat chinois de nous avoir écouté.
  • Créér le programme radio suédois “l’heure du Falun Gong” (Cf de Loi de Berlin – 2003)

    Cela fait presque deux ans que nous avons crée une émission de Radio nommée « L’Heure du Falun Dafa », depuis le 4 janvier 2002, de ne rien posséder à nos débuts jusqu’à maintenant où tout est équipé, nous sommes passés d'une langue à trois langues. Grâce à cette diversité, nous pouvons dire aux auditeurs ce que nous voulons. Mais tout le processus ne s’est pas fait sans épreuves...
  • Après avoir appris le Falun Gong pendant trois jours, j’ai jeté la canne que j’utilisais depuis huit ans

    Je suis tombée malade au point de ne plus pouvoir quitter le lit alors que je n’avais que 33 ans. Le diagnostique de l’hôpital Capital de Beijing déclarait que j’avais une malformation due à une pression sub-crasnienne. Plus tard ma condition s’était un peu améliorée. Malgré cela, pendant huit ans d’affilée je n’avais pas été capable de sortir sans ma canne. Par le fait d’une relation prédestinée, j’ai assisté au troisième groupe d’étude et de pratique du Falun Dafa de notre région en avril 1996. Jamais je n’aurais pu imaginer pouvoir me débarrasser de ma canne en trois jours.
  • Former les caractères Zhen Shan Ren à Wuhan, Chine, avant 1999

  • S’agissant de croire fermement en la Loi

    J’ai soudain compris que voir un pratiquant qui d’une certaine façon paraissait incapable de changer me testait moi-même pour voir si je croyais vraiment du fond de mon cœur que Dafa peut vraiment changer le cœur des gens, et si je croyais vraiment que Dafa a le pouvoir [de fondre le cœur des gens] comme une fournaise en fusion fait fondre des éclats de bois, j’ai commencé à me poser certaines questions à propos de la foi. Par exemple, pourquoi ne puis-je m’empêcher de pointer les insuffisances des autres ?
  • La compassion du Maître touche le coeur des gens

    Maître Li portait une simple veste de velours côtelé lorsque qu’il est venu à Jinan, dans la province de Shandong donner des conférences. Il était très amical et abordable. Les élèves ont pris des photos avec lui. Cela prenait du temps pour arranger les chaises et Maître Li était très patient attendant tranquillement à côté de nous. J’avais rencontré d’autres maîtres de Qigong dans le passé. Ils étaient habituellement entourés d’une foule de gens et attiraient l’attention par leur ostentation et leur extravagance ...Le régime de jiang déforme les choses pour qu’une personne bonne et formidable apparaisse mauvaise. Voilà ce qu’ils font ! C’est pourquoi tant de gens sont allés clarifier la vérité à Beijing, sans se soucier des menaces pour leurs vies !
  • Réflexions sur la façon de clarifier la vérité aux Chinois d’outremer.

    j’appris que Mme A était dure à l’égard de plusieurs personnes, ainsi qu’avec certains de mes amis du monde ordinaire. Ce qui était bizarre est qu’elle ne s’était jamais emportée avec moi. Au contraire elle me traitait comme si j’étais son meilleur client. Plus tard je compris qu’il était très rare qu’un client ramène les cassettes vidéos avant la date limite. Petit à petit j’eus l’occasion de discuter avec elle de choses et d’autres. J’appris qu’elle avait horreur de l’injustice comme du poison et qu’elle avait du mal à pardonner à ceux qui commettaient des erreurs. Aussi pendant la conversation je lui expliquais les principes de la compassion et de la droiture. Apres avoir laissé passer une longue période, j’estimais que c’était le bon moment. Je mis un T-shirt jaune de Dafa en allant rendre les cassettes. Quand Mme A. vit le T-shirt jaune, elle fut ahurie et ouvrit de grands yeux. Elle ne pouvait articuler un seul mot. Elle n’avait jamais imaginée que le client modèle pouvait être un pratiquant de Falun Gong ...
  • La propagande diffamatoire cause un tort incommensurable à la société

    Même après que Les Presses Chinoises aient été poursuivies en 2002 et qu’il leur ait été ordonné d’arrêter leur diffamation, elles ont continué à rapporter les articles intégraux venant de Chine continentale qui diabolisent le Falun Gong. Mais, deux questions subsistent toujours ; quel genre de rôle Les Presses Chinoises ont elle joué en diffamant le Falun Gong, et quel tort ont-t-elles causé aux plaignants ?
  • Quelques réflexions sur le non-égoïsme

    "Un jour, alors que je travaillais dans un jardin d’enfant, une autre maîtresse était occupé à écrire des remarques pour les parents avant que les classes ne s’achèvent. N’ayant rien à faire, j’ai décidé de balayer le plancher. Comme le balayage relevait en fait de la responsabilité de la maîtresse, ce que j'avais fait donnerait à penser aux autres que c’était une action compatissante. En balayant le plancher, j’ai commencé à réaliser que l’état d’esprit qui m’avait amené à cette décision n’était pas pur..."