Ce nétait pas la première fois que ces villes étaient visités par un circuit automobile SOS. En 2001, Minghui, l enfant dune pratiquante de Grande-Bretagne se vit refuser un passeport chinois. Les pratiquants de Dafa dAngleterre organisèrent alors leur premier circuit SOS afin dapprendre à la population anglaise la vérité de la persécution de bébé Minghui par lambassade de Chine Face à la condamnation du gouvernement Anglais, du parlement, du ministère des affaires étrangères et de différents médias, lambassade Chinoise neut dautre choix que de délivrer un passeport à la petite Minghui. Cette fois-ci, les pratiquants de Grande Bretagne ont de nouveau visité ces villes afin de lancer un appel à la libération de 3 de leur proches et amis qui sont déraisonnablement emprisonnés et persécutés en Chine et dans lespoir que les autorités locales, les médias et le grand public puissent apprendre un peu plus ce qui arrive aux pratiquants de Falun Gong chinois.
Durant ce voyage, les pratiquants ont écouté les conférences de Maître Li et envoyé des pensées droites. Bien que le programme du voyage fut très serré, les choses se sont tout de même bien passées.
A notre arrivée, nous sommes dabord allés au bureau dun journal local. Le rédacteur était très intéressé par le Falun Gong et nous lavions déjà rencontré lors du cas de Minghui. Il nous a complimenté pour notre persévérance et notre combat pacifique pour la justice, la vérité et les droits humains surtout après quon lui ait appris le procès intenté au dictateur chinois a Chicago pour crime de génocide. Le rédacteur était très content et a demandé beaucoup dinformations pour mieux connaître le Falun Gong.
Puis nous sommes allés au siège du conseil municipal, un conseiller nous a reçus gentiment et a accepté volontiers les lettres dappels que nous avions écrites pour chacun des conseillers, il a écouté attentivement ce que nous avions à lui dire à propos de la campagne de secours aux membres de nos familles persécutés. Durant cette période de temps, nous avons eu quelques brèves interviews avec des reporters et dautres représentants de médias.
Puis nous avons roulé environ deux heures jusquà la ville suivante. Comme dhabitude nous nous sommes rendus au siège du journal local. Un journaliste a enregistré notre conversation avec le Rédacteur.
nous sommes allés ensuite dans les locaux du Conseil Municipal. Comme le Maire nétait pas là, un représentant sest chargé de transmettre les lettres dappel à chaque membre du conseil. Finalement, les pratiquants ont eu un interview avec un journaliste à lextérieur du bâtiment du Conseil Municipal. Le journaliste a posé de nombreuses questions auxquelles nous avons répondu entièrement.
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