Des reporters de CCTV ont aussi interviewé des touristes à Beijing et dans certaines autres villes touristiques. .En les interviewant, les reporters de CCTV ont soigneusement évité de toucher au sujet du SARS. Par la suite ces interviews ont été diffusés en conjonction avec des reportages spéciaux sur comment le SARS a été « contrôlé » afin de tromper la populace chinoise et de les convaincre que les étrangers ne voient pas de problème à venir en chine faire du tourisme. A présent les reportages étrangers sur le développement du SARS ont été complètement bloqués.
On a rapporté de Beijing que Jiang et ses acolytes ont délégué un « envoyé spécial » à CCTV pour superviser la couverture de la guerre en Iraq et du SARS. Jiang a personnellement commandé à CCTV de couvrir la guerre en Iraq. Le développement du SARS a été classifié « top secret ». Les briefings sont exclusivement contrôlés par une équipe de propagande qui les rapporte à Jiang. On a appris que les hauts dirigeants chinois sont à présent divisés sur la politique concernant les rapports sur le SARS.
Les autorités chinoises ont maintes fois prétendu que cette grave maladie infectieuse a été effectivement continue en Chine. A Beijing, un docteur du nom de Jiang Yanyong de lhôpital général N°301 de lArmée de Libération du Peuple (PLA) a envoyé des lettres aux médias dinformation condamnant la dissimulation des départements de la santé public chinois.
BBC a cite le Dr Jiang Yanyong disant que dans le seul hôpital N° 301 du PLA, 60 patients du SARS avaient été admis pour un traitement le 3 avril, sept dentre eux étaient morts. Daprès les chiffres fournis par Zhang Wenkang, Ministre de la Santé Publique de Chine, il ny avait que 19 cas de SARS, dont 4 étaient morts à Beijing. Le Dr Jiang a dit aux journalistes que lui et dautres médecins et infirmières étaient furieux à lannonce des chiffres publiés par Zhang Wenkang.
Le Dr Jiang a de plus indiqué que dès le début de Mars, lorsque le Congrès du Peuple et la Conférence de Consultation politique du Peuple Chinois se réunissaient à Beijing, les hauts fonctionnaires du ministère de la santé publique ont convoqué les directeurs des plus grands hôpitaux à une réunion , annonçant que les cas de SARS étaient déjà présents à Beijing. Les hôpitaux ont reçu lordre de garder le silence pour aider à maintenir la stabilité durant les deux conférences. Les médecins à Beijing ont révélé que leurs hôpitaux respectifs sont complètement pleins de patients suspectés dêtre infectés par le SARS. Selon ces estimations, il est absolument impossible quil ny ait que 19 patients du SARS à Beijing.
Le Time magazine, Associated Press, et Voice of America ont aussi rapporté que lOrganisation Mondiale de la Santé a de nouveau recommandé au gouvernement chinois de fournir un rapport complet et public sur le nombre de patients du SARS et des morts qui y sont liées.
Le gouvernement chinois a été ouvertement critiqué pour la lenteur de sa réaction à la propagation du SARS et sa non transparence. La Chine avait le premier cas de SARS dans sa province de Guandong dès novembre ; mais na publié aucune information au monde extérieur avant février, contribuant directement à une plus large propagation de linfection à Hong Kong et dans dautres régions du monde. Certains intellectuels chinois et des spécialistes étrangers de la Chine ont commenté que dans les 13 années de lautorité de Jiang, le gouvernement chinois a recourut au mensonge et à la dissimulation dans nombre de questions importantes. Les exemples incluent la répression du 4 juin en 1989, lincident du poison dans la ville de Nanjing, la répression du Falun Gong, la collision des avions chinois et américains, etc, incluant la récente couverture de la guerre en Iraq. Maintenant que le SARS sest propagé autour du globe touchant les vies de tous, lhabituelle tromperie employée par le régime de jiang a été complètement exposée.
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